Suite à mon article sur le nombre de séminaristes dans les diocèses de France, un lecteur témoigne de cette réalité :
Un jeune séminariste s’est vu récemment refuser l’entrée en cycle de théologie par son séminaire, après une propé, 2 années de philosophie, 2 années de mission et une année de stage en paroisse.
Sans raison objective, …, sinon celle que vous évoquez : la guerre entre les tendances tradis ou pas.
Ce jeune séminariste, bien intégré dans son diocèse, beaucoup d’avis positifs, avait adopté le rite de la communion dans la bouche, et à genoux, dans un séminaire réputé fortement opposé.
Si en plus de la baisse des vocations, on élimine les candidats au sacerdoce sur ces raisons, ca ne va pas s’arranger.