Avant :
Après :
Explication de Véronique Larat :
Dans la continuité de celle des médias diocésains, le nouveau logo du diocèse reprend le rouge, le gris et le blanc sous le regard bienveillant de Notre-Dame de Pontmain.
Le rouge vient de la croix de Pontmain, le gris épouse le rouge, neutre, doux et reposant. Il dialogue avec lui, en une belle harmonie. Il dit l’Eglise, avec tous ses visages, ses joies, ses heurts ; ses beautés, son Histoire. Discrète derrière son Fils, Notre-Dame de Pontmain pose son regard bienveillant sur le diocèse. Tout devant, la croix du Christ, rouge du sang versé, rassurante, illumine l’ensemble.
On voulait un logo qui réponde à l’identité du diocèse de Laval ; qu’il exprime l‘unité diocésaine avec chacune de ses entités, ses visages, ses communautés de chrétiens. Notre-Dame de Pontmain est apparue comme une évidence… ! On aime son visage pur et doux, moderne et discret, et surtout son regard posé sur le graphisme “Diocèse de Laval Eglise catholique en Mayenne”. Un beau travail affiné par Patrick Pereira, graphiste au service du diocèse.
On voulait un graphisme pur et sobre. Entre les deux polices choisies et le gris, le compromis est trouvé. Le mot « diocèse » apparaît en grand, parce qu’il exprime toute la communauté catholique du territoire mayennais. On l’accompagne de « Laval » parce qu’historiquement un diocèse porte le nom de la ville où habite son évêque. En-dessous, ma mention « Eglise catholique en Mayenne » précise que c’est bien de toute la Mayenne qu’il s’agit.
Les deux parties distinctes, graphisme et dessin, forment un ensemble harmonieux. Mais la charte graphique pourra, sous certains critères, autoriser de les séparer. Pourquoi pas en effet, apposer la partie graphique sous un logo paroissial ? Voyez l’exemple avec la paroisse ND-sur-la-Varenne. Ou à l’invers, conserver le dessin en apportant d’autres mots. Exemple ici, le nouveau logo de la commission diocésaine d’Art sacré.
Un jour, qui sait, placera-t-on le visage bienveillant de Notre-Dame de Pontmain tout en haut des sept voiles d’un bateau. Mais l’exemple est mauvais, car en ce cas, aucun critère n’autorisera d’en ôter le Diocèse de Laval !