Depuis des mois nous relayons dans nos colonnes les persécutions que subissent quotidiennement de par le monde les chrétiens.
Le Vatican dénonce désormais publiquement une situation insupportable à plusieurs niveaux : liberté religieuse ; culturel ; ou encore la persécution et la discrimination.
Déjà en 2014, le cardinal Parolin (numéro 2 du Saint-Siège) pour sa part « a dénoncé publiquement devant le même auditoire les exactions d’une « atrocité inouïe » commise par « l’État islamique » : « meurtres de masse, décapitation de ceux qui pensent différemment, vente des femmes sur le marché, enrôlement des enfants pour les combats, destruction des lieux de cultes ». Rappelant qu’« il est licite d’arrêter l’agresseur injuste » pour l’Église « mais dans le respect du droit international », il a une nouvelle fois appelé à l’urgence de l’engagement de la communauté internationale pour une solution politique. »