Décidément, les catholiques auront fait leur grand retour dans l’arène politique grâce, disons-le, au gouvernement de François Hollande, qui, à avoir voulu éradiquer l’ère chrétienne, sans comprendre que le christianisme est l’âme même de leur propre idéologie, un rien dévoyée, a finalement redonné la vigueur qui semblait jusque là faire défaut, aux chrétiens.
Persuadés que la bête était à l’agonie et qu’il suffirait de lui donner un vague coup de grâce, les socialistes, grisés du succès, improbable, des forces de progrès sont allés trop vite, trop loin. Terrés dans leur monde sans prise sur le réel, fait de poncifs et d’idéologie virtuelle, ils ont cru que l’idée même « d’humanité » avait vécu. Espérant enterrer les cathos avec la vérité anthropologique, ils ont fait du mandat Hollande, le quinquennat de la mort, comme avant eux les sections du même nom. Tout les sigles y sont passés, IVG, PMA, LGBT, GPA, gender et autres suicides assistés. Ils n’ont pas compris que nier le réel revient toujours comme un boomerang parce que seule la vérité rend libre et heureux. Une politique d’ersatz est une poudrière qui s’enflamme lentement, mais surement.