En mai 2016 les évêques philippins s’étaient déjà fortement opposés au projet du président Duterte souhaitant rétablir la peine de mort abolie en 2006 dans le pays. Pour le président, il s’agit d’un acte de plus dans le dispositif de lutte anti-drogue.
Très provocateur, mais aussi tout puissant par une élection sans appel, le président hostile à l’Eglise catholique avançait même l’idée d’un quota mensuel et d’un exécution par pendaison pour économiser les munitions.