L’université d’Al-Azhar est, à l’heure actuelle, l’instance officielle et savante, avec qui l’Eglise catholique dialogue le plus en vue de la paix et de rapprochements pour lutter contre ce qu’il est convenu d’appeler la radicalisation islamique.
Et pourtant, un de ses professeurs appelle clairement au viol des femmes prisonnières de guerre