Dans un article fort intéressant du Figaro, Guillaume Perrault dénonce le projet de loi liberticide présenté par la gauche désormais sortante. Selon le journaliste du Figaro, ce projet n’est rien moins qu’une menace pour la liberté de la presse.
Une menace qui pourtant n’est pas nouvelle et plane bel et bien de plus en plus sur la presse, ou du moins une certaine presse. Les directives de surveillance adoptées dans le cadre des mesures contre le terrorisme, ont déjà fait leur preuve.
Pourtant, en parallèle, nous savons que sans les subventions directes et indirectes (abonnements des collectivités), les 3/4 des journaux disparaîtraient, faute de lectorat impliqué.
Et c’est bien ce qui, probablement, fait peur aux gouvernements, toutes couleurs confondues. La presse qui marche actuellement, comme autrefois du reste, est celle qui est militante et soutenue par des adhérents impliqués et concernés.
Mais cette presse s’oppose bien souvent aux obscurités des médias officiels, sous perfusion d’Etat.
Le déclin de cette presse et l’essor des médias alternatifs constituent pour les pouvoirs totalitaires en place, un véritable danger.