Pascal Balmand, le secrétaire général de l’Enseignement catholique s’est interrogé, mardi 4 octobre, « sur le choix pédagogique d’une certaine forme de violence » du « manuel » de bioéthique publié par la Fondation Jérôme-Lejeune. Interrogé lors de sa conférence de presse, Pascal Balmand a défendu « la liberté pour la Fondation Jérôme-Lejeune de penser ce qu’elle croit devoir penser, de dire ce qu’elle croit devoir dire ».
Mais il a fait part, « en tant que responsable éducatif », de ses « interrogations »...
« Je m’interroge sur le titre de ce document. Le terme « manuel » prête à confusion. Ce n’est pas un manuel au sens de manuel scolaire ».
« Je m’interroge également sur la tonalité de certains passages qui, me semble-t-il, reposent davantage sur l’affirmation de principes et exclusivement sur l’affirmation de principes, plutôt que sur l’empathie, la bienveillance, le respect de la personne ».
Enfin, le secrétaire général de l’Enseignement catholique dit s’interroger « sur le choix pédagogique d’une certaine forme de violence ». Et de conclure : « On n’est pas là en présence d’un outil de dialogue ».
De quoi a-t-il été menacé pour se coucher ainsi devant l’intelligentsia de gauche ?