Mgr Hector Aguer, archevêque de La Plata (Argentine), que les lecteurs de Riposte catholique connaissent certainement, s’est insurgé contre certaines caractéristiques des derniers Jeux olympiques.
En effet, comme l’a souligné Le Figaro, l’archevêque
a estimé mardi qu’une «culture de la fornication» avait régné durant les JO de Rio dans le village olympique, pointant la distribution de 450.000 préservatifs.
Mgr Hector Aguer n’aurait pas mâché ses mots, car, selon la dépêche
«Quarante-deux préservatifs pour chaque athlète, pendant 17 jours de compétitions. La préparation (des compétitions) requiert l’abstinence, c’est logique, mais après chaque compétition, on baise athlétiquement», s’indigne dans une tribune publiée dans le quotidien El Dia, l’archevêque de La Plata, le très conservateur Hector Aguer.
«La culture de la fornication qui se répand sans aucun scrupule est un signe de déshumanisation», «de conduite animale», poursuit le prélat.
D’autres remarques ont été émises par Mgr Hector Aguer:
Récemment présenté par la revue argentine Noticias comme un «ennemi historique» du Pape François, Mgr Aguer s’offusque ensuite de la publication dans la presse d’articles sur les jeunes femmes «qui changent de fiancé cinq ou six fois par an». «On suppose qu’ils ne se donnent pas rendez-vous pour lire la bible», s’indigne-t-il.
Bref, il y a des pasteurs vigilants, dont le verbe reste fort. On croyait naïvement que le sport, c’était la maîtrise de soi… Mais on remarque que le lupanar envahit beaucoup de choses.
Source: Le Figaro.
On aimerait entendre nos évêques parler de la même façon, mais je crois qu’il ne faut pas rêver!
Texte : Bref, il y a des pasteurs vigilants, dont le verbe reste fort. On croyait naïvement que le sport, c’était la maîtrise de soi… Mais on remarque que le lupanar envahit beaucoup de choses.
Malgré la faiblesse de notre chair, sans pour autant devenir scrupuleux et si ça peut aider : Tout comme les costumes de nos nageurs et nageuses qui en cachent de moins en moins pour en montrer de plus en plus…
Approchons-nous du mode des jeux Olympiques d’origine ?