Mgr Olivier de Germay a célébré vendredi 15 juillet au soir une messe à la cathédrale d’Ajaccio pour les victimes et leurs familles :
« L’Eglise qui est en Corse s’associe à l’immense clameur qui monte vers le Ciel suite à l’attentat meurtrier qui a fait tant de victimes à Nice le 14 juillet au soir. Nous prions pour les personnes qui ont perdu la vie, pour celles qui sont entre la vie et la mort, pour les blessés, pour les familles, les proches, tous ceux qui porteront longtemps les stigmates de cette tragédie.
Les mots sont faibles pour qualifier cette barbarie aveugle et inhumaine. Mais nos paroles veulent être avant tout des paroles d’espérance. Car nous ne voulons pas nous laisser vaincre par le mal ni nous laisser voler l’espérance. Les rassemblements et les prières qui se sont organisés spontanément un peu partout sont le signe de ce que nous ne nous laisserons pas entrainer dans la spirale de l’absurde. Face à la violence gratuite et à la haine, nous voulons nous rassembler et faire le choix d’un monde plus juste, un monde dans lequel la différence n’est pas source de divisions, un monde où l’on apprend à vivre ensemble et à s’aimer. L’amour aura le dernier mot. »
A Nice, une Messe de requiem. A Ajaccio, la Messe du jour en ornements verts, “en hommage aux victimes” nous apprend-on de source officielle (cf. page Facebook de RCF Corsica).
Un dialogue vrai avec l’Islam est indispensable dans un lieu solennel que représente un tribunal international dont la mission serait de juger le Coran pour incitation à la haine et au mètre
Et au meurtre
encore un évêque dans le “padamalgam”. Il n’y a rien d’absurde dans l’attentat du 14 juillet 2016 à Nice. Il y a les préceptes coraniques qui ensanglantent partout où ils s’expriment.
En 1938 il y avait aussi des”pasteurs” du niveau de Mgr de Germay: Chamberlain, Daladier…
Henri-Charles LAMBERT
Politiques, prélats … ils sont dépassés par la machine qu’ils ont lancée, par intérêt pour les premiers, par naïveté imbécile pour les seconds.
Commenter pour ne rien dire…
Mgr de Germay est pourtant un bon pasteur, mais son “grain de sel” sur l’affaire de Nice est sans valeur ajoutée.