Perepiscopus

Le cardinal Barbarin soutient l’Institut de Civilisation Musulmane

Commentaires (14)
  1. yves LE MAITRE dit :

    trahison totale, ou plan pour que l’ennemi se dévoile ?
    dans tous les cas, c’est reconnaitre l’islam, qui converti pendant que l’église n’évangélise plus.

  2. Le Pog dit :

    Nos politiciens n’y suffisent pas, le clergé français maintenant collabore avec cette république corrompue à l’islamisation de notre pays.

  3. IRENEE dit :

    Ce cardinal à perdu complètement la foi catholique.Son communiqué est une pure apostasie publique.
    Il est devenu une honte pour l’Église catholique.
    Peut- être devrions nous l’appeler : Mohamed Barbarin, le grand moufti de Fourvière !

    1. Jacquesjacques dit :

      Mais est-il le seul à avoir perdu la foi catholique ?
      On juge l’arbre à ses fruits.
      L’arbre ne produit plus de fruits…

  4. montecristo dit :

    Je veux bien que l’on évoque, à la rigueur, une civilisation arabe en souvenir du passé !
    Mais une  » Civilisation musulmane  » … c’est une hérésie totale !

  5. LE GUEN dit :

    Est ce que les imans, rabins, évangélistes, pentecôtistes et tout et tout soutiennent les projets catho, car y’en a marre qu’on fasse des courbettes à tout le monde, notamment aux musulmans, et c’est tjrs à sens unique. Et j’en ai marre qu’on s’excuse de tout parce qu’on est français, blanc, parfois, catho, et on doit s’excuser de tous les crimes de la terre, que des gens qui n’ont rien à voir avec moi, parce que par exemple les allemands de ma génération ne sont pas responsable de la venue d’Hitler et les russes de ma génération pas plus du sanguinaire Staline et consorts. Est ce que les communistes de l’époque qui soutenaient Staline se sont excusé d’avoir idôlatré ce sanguinaire, j’attends, les jeunes turcs eux, ce sont eux qui remettent en cause la non-demande de pardon de leur gouvernement sur le génocide arméniens. Les jeunes turcs en ont ras le bol qu’on leur cache la vérité. Prenons l’esclavage, c’est bien connu que ce sont les méchants blancs européen. Et les hébreux en esclavage en Egypte, et les musulmans étaient très forts dans ce domaine, mais chut, et ce avant bien les européens. Les guerres de religions, c’est bien connu que ce sont les méchants cathos qui ont tués les gentils protestants innocents, j’ai eu vent sur une émission d’arte, que les protestants cherchaient la bagarre depuis fort longtemps et voulaient aussi bouffer du catho. D’ailleurs regarder du côté de l’Angleterre. D’ailleurs les souverains britanniques n’ont jamais demandé pardon aux catho qu’ils ont torturés, massacré pdt des siècles. J’arrête ma liste.

  6. Ce prélat est devenu complètement fou !
    Sans l’islam on n’ aurait jamais édité des livres comme « Reconquista ou Mort de l’Europe », de René Marchand, ou « Musulmans, vous nous mentez », d’Hubert Lemaire… et ne serait pas harcelé juridiquement.
    Sans l’islam, la France ne subirait pas Hollande, élu grâce au ‘survote’ de 93 % de musulmans, depuis deux ans et demi.
    Sans l’islam, notre pays n’aurait pas été confronté à des attentats sanglants en 1986 et en 1995, avec plein de morts et de mutilés à vie.
    Sans l’islam, Ilan Halimi serait toujours vivant, et n’aurait pas été torturé à mort durant trois semaines par le barbare mahométan Fofana et sa bande.
    Sans l’islam, Hervé Gourdel serait encore vivant.
    Sans l’islam, Merah n’aurait pas assassiné trois militaires et quatre juifs, dont des enfants, à Toulouse et à Montauban.
    Sans l’islam, des milliers de psychopathes ne seraient pas partis en Irak et en Syrie pour apprendre à nous faire la guerre sainte et à nous tuer quand ils reviendront.
    Sans l’islam, il y aurait moins de coups de couteau à la gorge dans la rubrique faits divers.
    Sans l’islam, la France ne serait peuplée que de citoyens croyants, agnostiques ou athées, mettant de côté leurs spécificités et oeuvrant pour mettre en commun ce qui rassemble, au nom d’une République laïque, sociale et démocratique.
    Sans l’islam, jamais Brigitte Bardot, Michel Houellebecq, Charlie Hebdo, Fanny Truchelut, Pascal Hilout, Pierre Cassen, Renaud Camus, Christine Tasin, Dominique Jamet, Jacques Philarchein, Ivan Rioufol et bien d’autres isolés n’auraient été traînés au tribunal, comme des malfrats, par des commissaires politiques de l’antiracisme ou des musulmans rêvant d’instituer la charia en France.
    Sans l’islam les médecins et infirmières ne seraient pas quotidiennement insultés ou frappés par des barbus arriérés refusant qu’on soigne ou accouche leurs femmes.
    Sans l’islam, il n’y aurait pas deux mille agressions et deux cents viols par jour en France, selon les chiffres de Laurent Obertone, dans « France Orange Mécanique ».
    Sans l’islam, il n’y aurait pas d’appels quotidiens à la haine religieuse et à la discrimination dans une grande partie de la population, ce qui détruit tout espoir de cohésion sociale et d’entente cordiale.
    Sans l’islam, il n’y aurait pas eu de guerre d’Algérie, car la France n’aurait pas eu à intervenir dans la région en 1830, pour mettre fin aux barbaresques. Les pays d’Afrique du Nord ne seraient pas si désagréables à vivre et ne nous enverraient donc pas tant de délinquants et de criminels.
    Sans l’islam, il n’y aurait donc pas eu non plus de traite atlantique, donc pas de repentance pour un phénomène que l’occident, d’une manière générale a en fait combattu et vaincu.
    Sans l’Islam, les jeunes filles et les femmes de France pourraient vaquer dans la rue avec un taux « normal » de sollicitations plus ou moins galantes.
    Sans l’Islam, des dizaines d’adolescentes pourraient poursuivre des études et mener des existences libres sans se voir razziées ici et mariées là-bas, la plupart du temps avec des vieux vicelards qui pourraient être leurs grands-pères.
    Sans l’islam, le professeur Robert Redeker ne vivrait pas comme un prisonnier dans son propre pays depuis 2006.
    Sans l’islam, les autochtones ne seraient pas obligés de quitter leurs banlieues natales, où ils y avaient tous leurs souvenirs, leurs repères, leur avenir et dont ils ont financé les infrastructures, les équipements sportifs, les établissements et services publics par leurs impôts et ceux de leurs aïeuls.
    Sans l’islam, ils ne seraient pas obligés de s’installer en milieux rural, loin de leurs lieux de travail, au prix de nombreux sacrifices, pour se mettre eux-mêmes, et surtout leurs enfants, à l’abri des islamo-racailles.
    Sans l’islam et ses incessantes requêtes liberticides, la France serait toujours le pays de la liberté d’expression.
    Sans l’islam, on ne confondrait pas critique d’une religion avec racisme.
    Sans l’islam, nous ne verrions pas ce spectacle pathétique depoliticiens collabosse prostituant pour avoir les voix des disciples d’Allah.
    Sans l’islam, nous ne serions pas agressés dans la rue par des voiles qui insultent la condition des femmes, font savoir que celles qui les portent sont réservées aux seuls musulmans, injurient les hommes, suspectés de ne pas être capables de se contrôler, et surtout constituent un marqueur sexiste incompatible avec nos valeurs.
    Sans l’islam, la France n’aurait pas été obligée de faire face à l’offensive du voile à l’école, dès 1989, et à des dizaines de provocations contre les équipes enseignantes, de la part de jeunes filles soutenues par les associations dites antiracistes.
    Sans l’islam, notre pays n’aurait pas été obligé de mettre sur pied la commission Stasi contre les signes religieux à l’école (en fait seul le voile posait problème), en 2009, et la mission Gérin, en 2009, contre le niqab.
    Sans l’islam, la France ne serait pas confrontée à la présence prosélyte du voile à l’université, et à la multiplication de procès contre des employeurs qui le refusent sur leur lieu de travail.
    Sans l’islam, personne ne contesterait les sapins de Noël dans la rue, ni les crèches dans les mairies.
    Sans l’islam, nous ne subirions pas la présence de 2.500 mosquées, à raison d’une nouvelle par semaine, payées tantôt par les émirats du Golfe, tantôt par les pays d’Afrique du Nord, et trop souvent avec nos impôts.
    Sans l’islam, autour de ces mosquées, nous n’assisterions pas à la mise en place d’un Etat dans l’Etat, où le petit Etat islamique ronge de plus en plus le grand Etat républicain et lui impose ses codes.
    Sans l’islam, nous n’assisterions pas à une recrudescence d’agressions homophobes, antisémites et sexuelles, encouragées par les textes sacrés du Coran et la vie de Mahomet.
    Sans l’islam, nous n’assisterions pas, dans certaines périphéries urbaines, à la mise en place d’une politique de Grand remplacement, de changement de peuple et de civilisation.
    Sans l’islam, Saint-Denis serait toujours la ville des rois de France.
    Sans l’islam, nos policiers ne subiraient pas une guerre quotidienne, visant à saper l’édifice de l’Etat français.
    Sans l’islam, nous n’aurions pas de halal dans l’armée française, ni des militaires musulmans qui refusent de se battre contre leurs frères.
    Sans l’islam, nous n’aurions pas, sur le territoire français, la mise à mort barbare d’animaux égorgés sans étourdissement (halal), qu’on laisse agoniser pendant un quart d’heure.
    Sans l’islam, nous n’aurions pas l’impression, dans certains quartiers, d’avoir changé de continent.
    Sans l’islam, le Qatar ne serait pas en train d’acheter des pans entiers de la France.
    Sans l’islam, nous ne subirions pas sur les plateaux de télévision les enfumeurs comme Tariq Ramadan, Malek Chebel, Dalil Boubakeur, Dounia Bouzar et bien d’autres, qui roulent dans la farine les ignorants en leur faisant le coup de la RATP.
    Sans l’islam, un Français d’origine pourrait aimer une née-musulmane sans être obligé par sa belle-famille de se convertir.
    Sans l’islam, nos médecins et l’ensemble du personnel médical ne risqueraient pas de se faire agresser par des maris violents qui refusent qu’un homme observe leur épouse.
    Sans l’islam, nous n’aurions jamais subi, dans un pays laïc, des prières musulmanes sur nos trottoirs ou dans les rues, afin de marquer la volonté d’occupation de l’espace public.
    Sans l’islam, les enfants juifs pourraient encore aller dans les écoles publiques en Seine Saint-Denis.
    Sans l’islam, on pourrait enseigner la Shoah et parler de Charles Martel dans nos écoles.
    Sans l’islam, nous n’aurions pas d’appel au muezzin par haut parleur, comme à Nanterre.
    Sans l’islam, nous n’aurions pas de revendications alimentaires dans nos cantines scolaires, dans les entreprises.
    Sans l’islam, nous n’aurions pas d’accompagnatrices marquant leur religion par un voile lors des sorties scolaires.
    Sans l’islam, nos enfants ne seraient pas en danger, lorsqu’ils mangent halal sans que leurs parents ne le sachent, à cause du bacille e-coli, comme nous en alerte le docteur Alain de Peretti.
    Sans l’islam, il y aurait davantage de places dans nos prisons.
    Sans l’islam, les Français ne connaîtraient pas la souffrance de voir leur pays défiguré. Sans l’islam, ils pourraient savourer les douceurs, les insouciances délicieuses et les frivolités légères qu’offre souvent la vie.
    Sans l’islam, les chers souvenirs resteraient doucement mélancoliques et ne seraient pas devenus des regrets brûlants de nostalgie et de rancoeur.
    Sans l’islam, le passé ne serait pas si présent, sans l’islam, l’avenir ne serait pas si terrifiant…
    Sans l’islam, nous ne subirions pas dans la rue les tenues guerrières des salafistes en djellaba ou en kamis.
    Sans l’islam, il y aurait beaucoup moins de bénéficiaires de la CMU et de l’AME, considérée comme une nouvelle version des razzias du 21e siècle dans l’esprit de certains musulmans.
    Sans l’islam, on pourrait consacrer davantage d’argent à nos malades et à nos retraités, sans oublier toutes les aides utiles qui font avancer une société.
    Sans l’islam, nous ne subirions pas, un mois par an, le cirque du ramadan, avec le bruit, les violences et les entreprises désorganisées.
    Sans l’islam, après le ramadan, il y aurait moins d’absentéisme à l’école
    Sans l’islam, nous n’aurions pas des abattoirs mobiles où les jeunes garçons prennent l’habitude de voir égorgés des animaux de manière barbare.
    Sans l’islam, nous n’aurions pas des clips agressifs, sexistes et racistes de rappeurs haineux.
    Sans l’islam, les sites internet ne seraient pas pollués par des messages haineux et menaçants, qui nous menacent de mort, disent qu’ils vont faire la loi dans notre pays, et que nous sommes foutus.
    Sans l’islam, nous ne partagerions pas les angoisses de Michel Onfray, jugeant que dans cinquante ans, notre pays sera intégralement sous domination musulmane.
    Sans l’islam, il n’y aurait plus de péril fasciste en France, et nous pourrions jouir de tous les charmes d’un pays formidable.
    Sans l’islam, nos enfants ne seraient pas confrontés à un choix terrible : devenir résistants ou dhimmis, avec forcément beaucoup de dégâts dans les deux cas.
    La France ne redeviendra un pays formidable que quand elle se sera débarrassée définitivement de l’islam.

  7. Sami dit :

    Ouf !
    Votre formidable énumération à laquelle je souscris avec angoisse se termine par un appel à l’action libératoire.
    Mais il faut agir.

  8. Le Cardinal Raymond Burke : «Nous devons nous rappeler que l’islam est aussi un gouvernement, pas une simple religion. Cette religion dans sa dimension politique a l’ambition de gouverner le monde. Lorsqu’une population, par exemple en France, devient de plus en plus musulmane, il faut affronter la possibilité de vivre un jour sous un gouvernement islamique, avec toutes les conséquences que cela implique.» (http://goo.gl/ztP50y)

  9. Georges29 dit :

    Bonjour,
    J’espère que dans le cadre de cet institut, et à la disposition de tous, sera affichée la liste des meurtres et crimes dus aux enseignements du Coran, hadiths, etc …, (qui représente plus de 270 millions de morts pour une population mondiale bien plus faible qu’actuellement). Et cela continue….
    Voir : http://www.dreuz.info/2016/07/22/crimes-de-lislam-depuis-les-origines-une-liste-qui-fait-tourner-la-tete-ca-une-religion-de-paix-ils-se-foutent-de-nous/
    (cette liste est publiée depuis nombre d’années aussi sur d’autres sites …).
    et : http://www.dreuz.info/2016/07/22/40-ans-dattentats-par-des-musulmans-sur-le-sol-francais/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29
    Quant à l’Histoire de l’Islam, voir : http://legrandsecretdelislam.com/
    Merci de communiquer ces éléments au Cardinal Barbarin et à ses collaborateurs.
    Cordialement.
    GC

  10. joëlle dit :

    Monseigneur Barbarin est t-il un prêtre Catholique non à 100 pour cent , pourtant le Seigneur dans sa vocation de Prêtre lui à confier ses Brebis ( le troupeau du Seigneur ) , en tant que cardinal ( et Prêtre sa vocation première est de faire attention au âmes en les protégeant de cette ordure de Satan et en les éloignant de ce crétin de Satan ) . de toute façon à Lyon on en veux plus qu’il démissionne il est véreux jusqu’à la moelle, qu’il retourne à Madagascar la ou est sa religion !!! et qu’il arrête de lécher les bottes du Pape François . à son âge avancer il devenu gâteux .

  11. Marie dit :

    En 627, Mahomet à Médine, fit décapiter plus de 700 juifs
    Mahomet donne aux musulmans la possibilité d’avoir 4 femmes et autant de concubines que ses moyens le lui permettent (‘en France cela fait une épouse et 3 mères au foyer avec le RSA )
    Mahomet fit des expéditions tribales pour le butin
    Mahomet est un modèle de vie pour la jeunesse
    Mgr Barbarin serait la risée de ses paroissiens si ce n’était tragique. Est-il sain d’esprit?

    1. joëlle dit :

      vous avez tout à fait raison est-il sain d’esprit . oui en France il y à beaucoup de musulmans qui on 3 femmes ( ou 2 ) ils on la sécurité sociale , le RSA , APL , allocation pour les enfants ( et ce son des femmes pris pour des vaches à lait 4 à 12 enfants , prime par enfants entrer d’école en septembre , bouses pour enfants suivant l’âge , etc…………… pauvre église qui n’à plus de Saint Prêtres , pauvre France et fille aînée de l’église !!!

  12. LAMBERT dit :

    Le Cardinal Barbarin a besoin de gagner des points auprès de la bienpensance médiatique. Ne l’avait-il pas déjà fait après l’attentat du Bataclan en sanctionnant brutalement un prêtre de son diocèse qui avait eu le tort d’exprimer -sans doute inopportunément dans l’émotion de l’instant- son sentiment sur le spectacle auquel assistaient les victimes ?