Lundi, Libération, publiait un article fracassant : « Le regret d’être mère, ultime tabou », écho d’une étude[1] sur le phénomène du regret de la maternité. Thérèse Hargot, philosophe et sexologue, auteur du livre Une jeunesse sexuellement libérée (ou presque) réagissait sur les réseaux sociaux, reprochant au quotidien de ne pas aller au bout des remises en question que son analyse impose.
Contactée par Gènéthique, elle s’explique ici.