L’Observatoire socio-politique de Fréjus-Toulon organise ses prochaines universités d’été à la Sainte-Baume du 24 au 27 août. Ces 3 jours de prière, de formation et des réflexion porteront cette année sur le thème “Cultiver nos identités ?”
Le père Louis-Marie Guitton, responsable de l’OSP, explique :
Le mot identitaire n’a pas bonne presse : il est devenu synonyme de fermeture et d’étroitesse d’esprit. L’affirmation de soi et de sa propre identité rendrait inapte à un véritable échange. Pourtant la question de la recherche de l’identité ne s’est jamais posée avec autant d’acuité qu’aujourd’hui. L’incapacité à dialoguer en vérité et la violence de moins en moins latente sont souvent l’expression d’une réelle ignorance. Celle-ci engendre la peur et rend incapable d’entrer en relation de manière apaisée.
Pourtant, pour entrer en relation et être capable d’un vrai dialogue, il apparaît nécessaire de bien se connaître. Sachant qui je suis, mes racines, mon histoire, ma culture, je peux offrir ce que j’ai de meilleur à l’autre et permettre de vrais échanges. Encore faut-il se placer au bon niveau, celui de l’être et pas seulement de l’agir.
Ces identités sont plurielles : à la grande question anthropologique (qu’est-ce que l’homme ?) s’ajoutent de nombreuses questions sur l’identité sexuelle (qu’est-ce qu’un homme ou une femme ?) familiale, religieuse, nationale, européenne…
Nous nous poserons d’abord la question de l’homme augmenté et de la tentation du transhumanisme, puis nous aborderons celle de notre pays. Qu’est-ce que peut signifier une identité française ou européenne?
Si le mot identitaire est devenu synonime d”étroitesse d’esprit et de repli , l’église en est bien aussi responsable.Si nous ne sommes pas pour l’oecuménisme de rassemblement, nous sommes accusés d’étroitesse d’esprit et de repli.
Je crois en la Sainte Eglise qui ne disparaîtra jamais mais plus maintenant en l’église pervertie de Rome, asservie la judéomaçonnerie.
“Qu’est-ce que peut signifier une identité française ou européenne?”
Effectivement plus grand chose, de même que l’identité catholique, plus grand chose non plus, puisque pour François, le catholicisme n’est plus qu’une “manière ” de reconnaitre Dieu. Jésus, dans le fourre tout des manières !
Pape et francs maçons : le même combat.