Pour la première fois, un femme se présentait à la présidence du consistoire central, l’instance de représentation religieuse du judaïsme français. Evelyne Gougenheim agaçait du reste passablement le président sortant et réélu haut la main, Joël Mergui.
Les accusations de machisme ont terni la campagne, mais n’ont pas empêché ce dermatologue à poigne d’être réélu avec 156 voix contre 42 pour l’ex galeriste d’art contemporain.
Source Le monde.fr