Refus d’inhumer Mgr Di Falco dans la basilique Notre-Dame du Laus
Voici 2 courriers, l’un concernant la demande de l’évêque de Gap et l’autre la réponse négative de la mairie, malgré l’accord du ministère de l’Intérieur :
Il est quasiment impossible de connaître la couleur de ce conseil municipal…
Ce que j’ai trouvé, sur le site du Ministère de l’Intérieur, c’est que le Maire actuel n’est arrivé que 5e sur la liste, en nombre de voix.
Mgr Di Falco a senti les odeurs du Laus, ce qui est un privilège rare accordé à quelques pèlerins et autres personnes pas nécessairement dévotes. Ces odeurs sont ravissantes. On peut être en compagnie d’autres personnes qui ne sentent rien, elles. Ce fut le cas de Mgr Di Falco. C’est sans doute pourquoi Mgr Di Falco a une si grande dévotion pour Le Laus.
C’est un lieu ravissant dédié à la confession. La bergère du Laus (Benoîte Rancurel) fut, sous la direction de la Sainte Vierge, une théologienne extraordinaire.
« En septembre, la Belle Dame apparaît de nouveau à Benoîte au lieu-dit Pindreau et lui dit: “ma fille, allez au Laus, vous y trouverez une chapelle reconnaissable à ses bonnes odeurs. C’est là que désormais vous me verrez et parlerez.”
Ainsi, c’est au Laus, dans la chapelle de “Bon Rencontre”, que Marie continue la formation spirituelle de Benoîte et lui dévoile son dessein: “je veux bâtir ici une église en l’honneur de mon Cher Fils. Beaucoup de pécheurs s’y convertiront”. Grâce aux dons des pauvres, l’église a été bâtie en 3 ans, de 1666 à 1669. »
Mgr Depéry était enterré sous un plaque de marbre sur laquelle on pouvait lire : “olim épiscopus, hodie cinis” Autrefois évêque, aujourd’hui cendre. C’est dommage de changer la plaque. Sans doute le latin offensait-il les yeux des modernes. Est-ce la raison du mouvement d’humeur du conseil municipal peut-être formé de ceux aiment les monuments légués par nos ancêtres et qui n’aiment pas qu’on les leur change. Moi je l’aimais bien cette plaque. Je la voyais depuis mon enfance où elle m’impressionnait et me fascinait…
Voilà un conseil municipal qui n’a pas froid aux yeux! Quatre courageux, deux lèche-bottes et cinq prudents. Si on pouvait avoir ce score aux élections présidentielles!
En effet, c’est de leur ressort d’autoriser ou non une inhumation hors cimetière communal.
L’orgueil de Mgr DFL en prend un coup.
Compte-tenu de la popularité de Monseigneur Di Falco je comprends fort bien que la Mairie s’oppose à son inhumation dans la basilique, cela ferait une mauvaise publicité à ce lieu très pieux et provoquerait certainement des nuisances pour les pèlerins.
Le conseil municipal a refusé avec raison une demande déplacée car inadaptée à un sanctuaire marial : évêque de Gap et Embrun, que ne se fait-il enterrer à Gap ou Embrun ?
En principe un évêque est inhumé dans un caveau à l’intérieur la cathédrale du diocèse,en dehors de l’évêque dont il est question dans ce courrier ou se trouvent les prédécesseurs de Mgr Di Falco?
En ce qui concerne la “popularité” de Mgr Di Falco il ne faut pas exagérer, il ne s’agit pas d’Elwis Presley ou de Napoléon I°!
Il est quasiment impossible de connaître la couleur de ce conseil municipal…
Ce que j’ai trouvé, sur le site du Ministère de l’Intérieur, c’est que le Maire actuel n’est arrivé que 5e sur la liste, en nombre de voix.
Mgr Di Falco a senti les odeurs du Laus, ce qui est un privilège rare accordé à quelques pèlerins et autres personnes pas nécessairement dévotes. Ces odeurs sont ravissantes. On peut être en compagnie d’autres personnes qui ne sentent rien, elles. Ce fut le cas de Mgr Di Falco. C’est sans doute pourquoi Mgr Di Falco a une si grande dévotion pour Le Laus.
C’est un lieu ravissant dédié à la confession. La bergère du Laus (Benoîte Rancurel) fut, sous la direction de la Sainte Vierge, une théologienne extraordinaire.
« En septembre, la Belle Dame apparaît de nouveau à Benoîte au lieu-dit Pindreau et lui dit: “ma fille, allez au Laus, vous y trouverez une chapelle reconnaissable à ses bonnes odeurs. C’est là que désormais vous me verrez et parlerez.”
Ainsi, c’est au Laus, dans la chapelle de “Bon Rencontre”, que Marie continue la formation spirituelle de Benoîte et lui dévoile son dessein: “je veux bâtir ici une église en l’honneur de mon Cher Fils. Beaucoup de pécheurs s’y convertiront”. Grâce aux dons des pauvres, l’église a été bâtie en 3 ans, de 1666 à 1669. »
http://www.sanctuaire-notredamedulaus.com/fr/activites-pelerinages/decouvrir/benoite-rencurel.html
Mgr Depéry était enterré sous un plaque de marbre sur laquelle on pouvait lire : “olim épiscopus, hodie cinis” Autrefois évêque, aujourd’hui cendre. C’est dommage de changer la plaque. Sans doute le latin offensait-il les yeux des modernes. Est-ce la raison du mouvement d’humeur du conseil municipal peut-être formé de ceux aiment les monuments légués par nos ancêtres et qui n’aiment pas qu’on les leur change. Moi je l’aimais bien cette plaque. Je la voyais depuis mon enfance où elle m’impressionnait et me fascinait…
Encore un souvenir qui s’en va…
Aussi pourquoi l’a-t-il appelé “Monsieur la Maire ” ?
Quelle négligence !
Voilà un conseil municipal qui n’a pas froid aux yeux! Quatre courageux, deux lèche-bottes et cinq prudents. Si on pouvait avoir ce score aux élections présidentielles!
En effet, c’est de leur ressort d’autoriser ou non une inhumation hors cimetière communal.
L’orgueil de Mgr DFL en prend un coup.
Compte-tenu de la popularité de Monseigneur Di Falco je comprends fort bien que la Mairie s’oppose à son inhumation dans la basilique, cela ferait une mauvaise publicité à ce lieu très pieux et provoquerait certainement des nuisances pour les pèlerins.
Le conseil municipal a refusé avec raison une demande déplacée car inadaptée à un sanctuaire marial : évêque de Gap et Embrun, que ne se fait-il enterrer à Gap ou Embrun ?
En principe un évêque est inhumé dans un caveau à l’intérieur la cathédrale du diocèse,en dehors de l’évêque dont il est question dans ce courrier ou se trouvent les prédécesseurs de Mgr Di Falco?
En ce qui concerne la “popularité” de Mgr Di Falco il ne faut pas exagérer, il ne s’agit pas d’Elwis Presley ou de Napoléon I°!