L’Église ne s’est pas formellement prononcée sur le moment précis de l’animation de l’être humain, mais elle a toujours invité à respecter la vie dès sa conception. La distinction parfois suggérée dans certains textes juridiques internationaux entre être humain et personne humaine est artificielle et sans fondement scientifique, ni philosophique.
Pierre Olivier Arduin répond à ces trois points pour Aleteia
1. L’Église ne s’est pas expressément prononcée sur la question de l’animation de l’embryon.
2. Toutefois, l’Église avance que « les conclusions scientifiques fournissent une indication précieuse pour discerner rationnellement une présence personnelle dès cette première apparition de la vie humaine. »
3. L’Église rappelle qu’il est fallacieux de dissocier artificiellement les catégories d’être humain et de personne humaine.