De quoi avoir la nausée. Ce fait d’éluder totalement, par des baratins aussi amples et grandioses que fétides et en réalité complètement creux mais toujours politiquement corrects, que l’Exhortation introduit bel et bien la possibilité pour les divorcés vivant une nouvelle union adultère de communier. Ceci est radicalement contraire à l’enseignement du Christ fidèlement retransmis depuis 2000 ans par l’Eglise.
Tout cela est une insulte à Jésus et à la raison donnée à la personne humaine par son Créateur pour qu’elle puisse le connaître et l’aimer, donc le suivre.
Vraiment cet entretien est hallucinant et glaçant. Ne nous laissons pas impressionner et engageons -nous dans la résistance pour la défense de la foi. Crions la vérité, dénonçons le mensonge et l’aberration de ces discours d’Eglise qui ne sont qu’imposture.
Le prince de l’Église éternelle pose, l’air morne, dans sa grande tenue de prélat (costard SNCF, croix en fer-blanc, visage terne de comptable centriste) et se prête au jeu des questions brûlantes. Alors, bien sûr, on ne retrouvera guère les accents d’un Bloy ou d’un Bernanos dans les acquiescements prudents et les vociférations tranquilles du cardinal. Mais on constatera avec bonheur qu’il ne renonce pas sur l’essentiel, alors pourtant que l’épiscopat français s’acharne depuis un demi-siècle à se donner l’air pitoyable d’une grosse ONG socialiste. Cela suffit-il ?
Ce qui m’a le plus frappé, c’est son identification de l’Eglise à un supermarché.
C’est exactement mon constat depuis plusieurs années: l’Eglise est une chaîne de supermarchés, avec son PDG, ses DG, animateurs paroissiaux et caissières.
Pour le reste, on ressent de plus en plus de flou et confusion-dispersion pastorale dans tous les sens.
Il n’y a pas de direction pastorale unifiée comme avant, mais tout est anthropologiquement centré sur les expériences diverses et variées où chaque adepte suit sa volonté propre subjective: c’est le culte de l’homme au point d’ignorer le chemin vers Dieu.
L’identité catholique ne finit pas de s’évaporer rapidement, c’est affligeant: disparition de la doctrine, effacement de la morale, et toute-puissance du libre examen protestant avec la bible pour unique règle de foi.
Et avec cette identité anéantie, l’unité de l’Eglise se trouve en grand danger.
D’un point de vue clérical, ici une fois de plus, tout semble perdu après avoir été détruit volontairement.
Comment ose t-il ainsi parler de sainteté toujours plus grande alors que la foi a presque totalement disparu en occident?
Pourquoi tant de haine de la sainte tradition catholique et apostolique?
et vous croyez que c’est avec cette guimauve qu’on va sauver le sacrement de mariage Pourquoi avons-nous tant d’évêques pleutres et de cardinaux à la parole ridicule dans ces temps de crise ? Nous en sommes à la veille de la chute de Constantinople !
Monseigneur, faut-il vous rappeler qu’il appartient aux pasteurs d’élever le peuple vers Dieu en aimant Jésus et son enseignement et non pas de s’abaisser en s’efforçant d’adapter la Parole Divine aux moeurs contemporaines par d’inutiles contorsions ? La vraie miséricorde, c’est : va et ne pêche plus…
De quoi avoir la nausée. Ce fait d’éluder totalement, par des baratins aussi amples et grandioses que fétides et en réalité complètement creux mais toujours politiquement corrects, que l’Exhortation introduit bel et bien la possibilité pour les divorcés vivant une nouvelle union adultère de communier. Ceci est radicalement contraire à l’enseignement du Christ fidèlement retransmis depuis 2000 ans par l’Eglise.
Tout cela est une insulte à Jésus et à la raison donnée à la personne humaine par son Créateur pour qu’elle puisse le connaître et l’aimer, donc le suivre.
Vraiment cet entretien est hallucinant et glaçant. Ne nous laissons pas impressionner et engageons -nous dans la résistance pour la défense de la foi. Crions la vérité, dénonçons le mensonge et l’aberration de ces discours d’Eglise qui ne sont qu’imposture.
Vingt-Trois nuances de gris :
Le prince de l’Église éternelle pose, l’air morne, dans sa grande tenue de prélat (costard SNCF, croix en fer-blanc, visage terne de comptable centriste) et se prête au jeu des questions brûlantes. Alors, bien sûr, on ne retrouvera guère les accents d’un Bloy ou d’un Bernanos dans les acquiescements prudents et les vociférations tranquilles du cardinal. Mais on constatera avec bonheur qu’il ne renonce pas sur l’essentiel, alors pourtant que l’épiscopat français s’acharne depuis un demi-siècle à se donner l’air pitoyable d’une grosse ONG socialiste. Cela suffit-il ?
http://www.bvoltaire.fr/arnaudflorac/vingt-trois-nuances-de-gris,247596
Ce qui m’a le plus frappé, c’est son identification de l’Eglise à un supermarché.
C’est exactement mon constat depuis plusieurs années: l’Eglise est une chaîne de supermarchés, avec son PDG, ses DG, animateurs paroissiaux et caissières.
Pour le reste, on ressent de plus en plus de flou et confusion-dispersion pastorale dans tous les sens.
Il n’y a pas de direction pastorale unifiée comme avant, mais tout est anthropologiquement centré sur les expériences diverses et variées où chaque adepte suit sa volonté propre subjective: c’est le culte de l’homme au point d’ignorer le chemin vers Dieu.
L’identité catholique ne finit pas de s’évaporer rapidement, c’est affligeant: disparition de la doctrine, effacement de la morale, et toute-puissance du libre examen protestant avec la bible pour unique règle de foi.
Et avec cette identité anéantie, l’unité de l’Eglise se trouve en grand danger.
D’un point de vue clérical, ici une fois de plus, tout semble perdu après avoir été détruit volontairement.
Comment ose t-il ainsi parler de sainteté toujours plus grande alors que la foi a presque totalement disparu en occident?
Pourquoi tant de haine de la sainte tradition catholique et apostolique?
et vous croyez que c’est avec cette guimauve qu’on va sauver le sacrement de mariage Pourquoi avons-nous tant d’évêques pleutres et de cardinaux à la parole ridicule dans ces temps de crise ? Nous en sommes à la veille de la chute de Constantinople !
Monseigneur, faut-il vous rappeler qu’il appartient aux pasteurs d’élever le peuple vers Dieu en aimant Jésus et son enseignement et non pas de s’abaisser en s’efforçant d’adapter la Parole Divine aux moeurs contemporaines par d’inutiles contorsions ? La vraie miséricorde, c’est : va et ne pêche plus…