Afin de faire face aux dépenses de fonctionnement et équilibrer les comptes, le diocèse doit augmenter le nombre des donateurs. Or, bon nombre d’anciens donateurs ont « oublié le rendez-vous » du Denier de l’Eglise. Ou alors ils donnent à une autre structure : un séminaire international, une congrégation…
Le prestataire choisi, spécialisé dans la collecte téléphonique de dons, travaille avec 35 diocèses et a recours à des opératrices implantées en France.
- Une téléopératrice contactera par téléphone, au nom du Diocèse, d’anciens donateurs et leur propose de renouveler leur don.
- A l’issue d’un échange, la téléopératrice, invitera les personnes contactées à faire une promesse de don.
- Un courrier postal (en-tête du Diocèse) sera alors adressé aux personnes intéressées avec un bulletin de participation joint.
Aucun don ne pourra être fait par téléphone et les donateurs réguliers ne seront pas sollicités. Cette opération débutera le 18 avril 2016 et se poursuivra sur deux semaines environ.
Nous ignorons le coût de cette opération.
“Ou alors ils donnent à une autre structure : un séminaire international, une congrégation…” Ne serait-il pas en effet intéressant de savoir si les donateurs anciens ne donnent plus, ou donnent à d’autres, et pourquoi ?
Jai lu plusieurs fois la décision de certains de ne plus donner à leur Diocèse lorsque celui-ci leur paraissait s’éloigner de ce que la communauté catholique attendait de lui. S’agit-il de cas isolés ? Si l’évolution des dons est négative depuis plusieurs années, il serait probablement judicieux d’en connaître les motifs.
ns avons déjà fait ce genre d’action sur le diocèse d’aix.Le résultat a été positif mais éphémère; Les appelants étaient des bénévoles (qui n’ont donc rien coûté à la paroisse).Ns n’avons que très rarement été mal reçus.
Mais qd on observe la passivité (pour rester courtois) de l’évêque de Marseille,je me demande si je vais continuer à cotiser