“Je considère que le Premier ministre est dans son rôle quand il s’agit d’alerter sur un certain nombre de risques”, a indiqué le dirigeant du CFCM, considérée comme représentative de l’islam en France, pays où vivent quatre à cinq millions de musulmans. Mais “sur le terrain, nous ne voyons pas de signaux qui confortent cette hypothèse d’un raz-de-marée de la pensée extrémiste et salafiste”, a ajouté Anouar Kbibech, estimant même qu'”on ne peut pas dire que ces groupes ont le monopole de la communication et de l’action sur les réseaux sociaux”.
Le président du Conseil français du culte musulman (CFCM), Anouar Kbibech, a mis en garde contre les prises de position “clivantes” et “anxiogènes”
Source Lepoint.fr