Paul Bhatti, frère et héritier politique de l’ancien ministre ministre des minorités, Shahbaz Bhatti, assassiné en 2011 perçoit un changement net au Pakistan.
Je crois que la situation des chrétiens ou des autres minorités est directement proportionnelle à la situation générale du Pakistan. Si au Pakistan il y a la paix, les chrétiens eux aussi vont bien. Si au Pakistan il n’y a pas la paix, les chrétiens, qui sont les plus faibles et les plus marginalisés dans la société, souffrent plus. Mais actuellement, ma sensation est une sensation d’espérance. Je vois une espérance parce qu’il y a des actes concrets de la part des militaires, de la part du gouvernement, de la part des politiques pour éliminer ce terrorisme : il ont éliminé tellement d’écoles religieuses, ils ont éliminé de nombreux lieux où l’on fabriquait les armes, il ont fermé de très nombreux centres terroristes extrémistes, et de nombreuses personnes commencent à parler de changer la Constitution en faveur des minorités. Ceci, alors, est un pas positif, c’est un changement.
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