La politique et la religion ne s’excluent pas: ce sont deux faces d’une même médaille, c’est-à-dire le service à rendre aux autres de façon désintéressement. Max Weber dans le ”Savant et le politique” distingue deux façons de faire de la politique: 1. ”vivre de la politique”, c’est-à-dire faire de la politique un gagne-pain, une occasion pour s’enrichir au détriment de son peuple…2. ”vivre pour la politique”, c’est-à-dire faire de la politique un sacerdoce, un sacrifice pour le bien de ceux dont on a la charge…
En effet, c’est une bonne blague, d’autant que si un prêtre peut être élu (il n’y en n’a plus, mais il reste encore un frère des Ecoles chrétiennes au Sénat, le sénateur de Wallis et Futuna Robert Laufoaulu), les obligations d’un évêque le mettraient en danger permanent de collision entre ses obligations épiscopales et ses décisions temporelles.
si mes souvenirs sont exacts, c’est à la suite du deuxième concile du Vatican qu’il a été interdit aux clercs d’exercer un mandat politique, encore qu’on n’ait pas osé toucher à celui de l’évêque d’Urgel qui à ma connaissance est toujours prince d’Andorre
l’histoire politique de la France est pleine de prélats ou de simples prêtres qui y ont joué un rôle
pourquoi un évêque contraint à la démission suite aux décisions de ce même concile ne reprendrait-il pas le flambeau ?
cela ne pourrait pas faire de mal
Excellent poisson !
Dommage que ce ne soit qu’un poisson – la politique aurait bien besoind’hommes comme le père di falco
magnifique! enfin de l’humour dans notre monde!
merci pour tout ce que vous apportez
La politique et la religion ne s’excluent pas: ce sont deux faces d’une même médaille, c’est-à-dire le service à rendre aux autres de façon désintéressement. Max Weber dans le ”Savant et le politique” distingue deux façons de faire de la politique: 1. ”vivre de la politique”, c’est-à-dire faire de la politique un gagne-pain, une occasion pour s’enrichir au détriment de son peuple…2. ”vivre pour la politique”, c’est-à-dire faire de la politique un sacerdoce, un sacrifice pour le bien de ceux dont on a la charge…
Cela m’a amusé.
Ne soyons pas crispés.
Dieu vous garde
Garmon
En effet, c’est une bonne blague, d’autant que si un prêtre peut être élu (il n’y en n’a plus, mais il reste encore un frère des Ecoles chrétiennes au Sénat, le sénateur de Wallis et Futuna Robert Laufoaulu), les obligations d’un évêque le mettraient en danger permanent de collision entre ses obligations épiscopales et ses décisions temporelles.
Poisson d’avril sans doute
mais on aimerait entendre davantage la parole de Mgr di Falco Léandri
Plaisanterie ou ballon d’essai ?
N’oublions pas le chanoine Kir (1876-1968) :
https://fr.wikipedia.org/wiki/F%C3%A9lix_Kir
Prêtre, résistant et homme politique, maire de Dijon.
Donc ce n’est peut-être pas une plaisanterie ou alors une demi-plaisanterie.
La meilleure politique de nos Evêques serait de défendre LA VIE, et non de faire des discours qui font pleurer.
si mes souvenirs sont exacts, c’est à la suite du deuxième concile du Vatican qu’il a été interdit aux clercs d’exercer un mandat politique, encore qu’on n’ait pas osé toucher à celui de l’évêque d’Urgel qui à ma connaissance est toujours prince d’Andorre
l’histoire politique de la France est pleine de prélats ou de simples prêtres qui y ont joué un rôle
pourquoi un évêque contraint à la démission suite aux décisions de ce même concile ne reprendrait-il pas le flambeau ?
cela ne pourrait pas faire de mal
Pouvez-vous citer le texte qui interdit aux ecclésiastiques d’exercer des fonctions politiques ? Merci d’avance. Cela m’intéresse.