«Depuis six ans, Pâques, en Syrie, se célèbre malheureusement dans un climat de guerre, mais cette année on semble entrevoir la fin du tunnel, a affirmé Mgr Zenari. Il y a des signaux qui font espérer, et ces signaux sont donnés par la cessation des hostilités dans une partie du territoire syrien. Une cessation qui s’est assez bien maintenue depuis trois semaines. Ne plus être sous les bombes est déjà un grand soulagement», a-t-il le nonce à Damas.
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«Je dirais donc que c’est un Vendredi Saint que vivent tous les Syriens. Il faut prier et espérer que ce soit le dernier Vendredi Saint, le dernier Vendredi de Passion, que la croix puisse être allégée et que la Syrie puisse aussi arriver au jour de Pâques, une Résurrection après ces six années de Vendredi Saint», a conclu Mgr Zenari.
Source Radio Vatican