Nos amis de la Campagne Québec-Vie ont publié le 19 mars, la traduction d’un article de John Jalsevac, du magnifique site étatsunien Life Site News, qui a reproduit la lettre pastorale de Mgr Samuel Aquila, archevêque de Denver (Colorado), le 22 janvier 2013 à l’occasion du 40ème anniversaire de l’arrêt Roe contre Wade de la Cour suprême des États-Unis autorisant l’avortement.
Le nouvel archevêque de Denver, Colorado, est connu pour son activisme pro-vie, et nous savons maintenant pourquoi.
Pour marquer le 40e anniversaire de Roe vs. Wade, Mgr Samuel Aquila a publié une lettre pastorale très personnelle dans laquelle il raconte deux événements troublants liés à l’avortement qu’il a vécus alors qu’il était étudiant en médecine et qui ont fait de lui un membre du mouvement pro-vie.
Mgr Aquila explique que, à son entrée à l’université à la fin des années 1960, il n’était pas pratiquant. Il a passé ses trois premières années d’études à travailler comme aide-soignant et à aider en salle d’urgences.
« Quand j’ai commencé ce travail, je n’avais pas encore beaucoup réfléchi à la souffrance ou à la dignité humaine », écrit-il.
Mais tout a changé le jour où le futur archevêque est entré dans une unité chirurgicale peu après l’assouplissement des lois sur l’avortement.
« Je suis entré dans une pièce extérieure et là, abandonné dans un évier, j’ai vu le corps d’un petit bébé non né qui avait été avorté », raconte Mgr Aquila. « Je me souviens d’avoir été abasourdi et d’avoir pensé que je devais baptiser cet enfant. »
Mais l’archevêque juge sa deuxième rencontre encore plus troublante.
« Le deuxième avortement m’a encore plus choqué », écrit-il. « Une jeune femme entra dans la salle des urgences en hurlant. Elle expliqua qu’elle venait de subir un avortement. Le docteur la renvoya chez elle en lui disant qu’elle évacuerait naturellement les restes de son bébé. Elle saignait quand le docteur, son ami, l’infirmière et moi-même la déposâmes sur la table », raconte-t-il.
« Je tenais une bassine pendant que le docteur extrayait un petit bras, une petite jambe et le reste du corps meurtri d’un petit bébé non né. J’étais bouleversé et triste pour la mère et l’enfant, pour le médecin et l’infirmière », ajoute-t-il.
« Aucun de nous n’aurait fait cela si ce n’avait pas été une urgence », avoue-t-il. « J’ai été témoin de la destruction violente d’un petit être humain. »
« Ces souvenirs me hantent », conclut l’archevêque. « Je n’oublierai jamais que j’ai assisté à des actes d’une brutalité sans nom. »
« J’ai vu la mort de deux petites personnes qui n’ont jamais eu la chance de respirer. Je ne pourrai jamais oublier cela », écrit-il. « Et je n’ai plus jamais été le même. Ma foi était faible à cette époque. Mais j’ai su grâce à ma raison et à ce que j’avais vu qu’une vie humaine avait été détruite. Ma conscience avait découvert la vérité sur la dignité de l’être humain dès la conception. Je suis devenu pro-vie et j’ai fini par retrouver la foi. »
« J’ai appris ce qu’était la dignité humaine quand je l’ai vue impitoyablement ignorée. Je sais sans l’ombre d’un doute que l’avortement est un acte violent de meurtre et d’exploitation. Et je sais que notre responsabilité est d’œuvrer et de prier sans cesse pour sa fin. »
L’archevêque (lunettes de soleil), à la tête de 1 800 catholiques, mène une procession du Saint-Sacrement autour de l’avortoir de Planned Parenthood à Denver (Colorado) le 5 mars 2016 pendant la campagne des 40 Days for Life (10 février-20 mars)
Mgr Aquila ne s’est pas contenté de constater que l’avortement est un meurtre, il agit pour faire cesser le génocide et n’a pas peur de faire des processions autour des avortoirs. Que font certains catholiques, partisans de “l’enfouissement” et du profil bas en France? Critiquer ceux qui se battent contre l’avortement. Préférer faire un don au téléthon ou à l’UNICEF plutôt qu’à la Fondation Jerôme Lejeune ou aux associations aidant les mères à garder leur enfant. Voter pour des partis politiques promoteurs de la culture de mort. Et caetera.
Pourquoi l’Eglise a t elle combattu mollement il y a plus de 40 ans la légalisation de l’avortement ?
Pourquoi a t elle combattu du bout des lèvres le mariage pour tous, il y a 3 ans en France ?
Bien sûr il reste un noyau dur dans l’Eglise qui manifeste et fait des processions, et des prières.
Mais rendez les donc, vous qui avez des médailles de la légion d’honneur, à cet Etat, ennemi de Notre Seigneur Jésus.
Ne profitez pas des largesses fiscales de cet Etat, ennemi de Dieu.
Et les yeux des chefs de l’Eglise verront mieux ce qu’il faut faire.
Tout d’abord calculer le prix du bébé : je renvoie à l’annexe du Lévitique, ceux qui sont intéressés par cette question.
” Tu ne feras pas cuire un chevreau dans le lait de sa mère ”
Moïse avait compris, mais depuis qui a compris cet ordre venant de Dieu ? Nos frères Juifs, certainement pas eux qui croient obéir à Moïse en séparant les instruments de cuisine, ou bien pour les plus fortunés d’entre eux en installant deux cuisines, l’une pour la cuisson des aliments à base de lait et l’autre pour le traitement des mets de viande.
Ne comprenez vous donc pas que Moïse parlait d’avortement en ce jour-là ?
La France pourrait demander à l’UNESCO que les enfants trisomiques 21 soient patrimoines de l’Humanité, cela serait un premier pas très intéressant.
Car en voyez vous encore beaucoup de ces petits enfants trisomiques, dans nos rues, dans nos villages, dans nos églises ? Et l’on voudrait que la Vierge Marie fasse des miracles pour la France et le Monde, alors que l’on poursuivrait nos coutumes abominables : tuer le petit qui veut vivre dans le sein de sa mère
Prions pour changer de moeurs et alors nos prières pour notre salut sur terre seront efficaces !
Nos législateurs sont aveuglés par la théorie d’un faux bien-être + + +
Catholiques français, donnez à SOS MAMANS UNEC ! (1151 bébés sauvés en 20 ans)