Le cas des Franciscains de l’Immaculée est revenu sur le devant de la scène à l’occasion de la clôture de l’année de la vie consacrée, qui a eu lieu le 2 février dernier. Le cardinal Braz de Aviz préfet de la congrégation des Religieux a accordé une interview à l’agence de presse SIR surnommée l’« agence de presse officieuse de la Conférence épiscopale italienne ». La partie qui concerne les Frères Franciscains de l’Immaculée (FFI) se limite à une seule question, mais elle fait allusion à tout un ensemble de faits peu connus de ce côté-ci des Alpes.
La question donne le la : le journaliste parle d’un pacte de sang et de marques au fer rouge… Il faut savoir que depuis le mois de novembre dernier s’est déclenchée à l’initiative du Corriere della Sera une violente campagne de presse contre le père Stefano Manelli. Ce dernier est accusé d’avoir contraint des sœurs à signer un vœu de fidélité envers lui avec leur propre sang, d’avoir approuvé la pratique de marquer le sigle IHS au fer rouge et d’autres accusations plus “mineures”, sans oublier les habituels accusations relatives à l’argent et à de supposées attitudes déplacées. Le hic est que l’ensemble des accusations proviennent d’anciennes sœurs – au nombre exorbitant de… 3 –, que les accusations sont matériellement inexactes (le vœu « sanglant » de fidélité à la personne du fondateur n’apparaît sur aucun des documents fournis), qu’elles remontent à plus de vingt ans et que les sœurs actuelles les démentent – elles sont 300. Le sur hic est que le même cardinal-préfet a signé un décret qui libère les FFI et les Sœurs Franciscaines de l’Immaculée d’un tel vœu privé de fidélité au père Manelli, décret dans le corps duquel apparaît l’inévitable référence au pape François actuellement régnant. Or, aucune enquête canonique n’a été menée sur ce point, le père Manelli n’a jamais été interrogé sur le sujet et aucune autre congrégation éventuellement compétente (Doctrine de la Foi ?) n’a prononcé un quelconque jugement. Enfin des religieuses actuelles ont catégoriquement démenti, même à la télévision, de telles allégations. Nous avons là l’exemple d’une condamnation sans enquête préalable, ce qui est toutefois en cohérence avec toute cette affaire depuis le début. En effet la campagne de presse a fini par arriver sur le petit écran qui fit évidemment ses choux gras d’une telle affaire. En d’autres termes le cardinal-préfet se range au jugement… d’émissions de télévision people et de magazines du style Le Nouveau Détective. La décadence de la Curie romaine n’est pas qu’un mythe ! La prudence – et le bon sens – en la matière, commanderait d’attendre la conclusion de l’autorité judiciaire.
Le volet judiciaire de l’affaire des FFI concerne aussi les SFI puisque les associations propriétaires des biens qui servaient pour l’apostolat aidaient indifféremment les branches masculines et féminines. Il est bon de spécifier que ces associations ont été voulues par le père Stefano pour vivre la pauvreté radicale – pas de propriété pour les frères et les sœurs, ni personnellement ni communautairement sur l’exemple de saint Maximilien Kolbe. Les procédures contre ces associations ont été déclenchées à l’initiative de certains FFI : ni le Saint-Siège ni le Ministère public ne les ont engagées. Sans entrer dans les détails, des procédures sont effectivement en cours, mais le cardinal-préfet se garde bien de préciser que certaines sont déjà achevées et que les sentences finales sont en faveur de ces dites associations. Par ailleurs le père Stefano a systématiquement porté plainte pour diffamation contre les anciennes sœurs qui se répandaient à la télévision. La justice italienne pourrait bien finalement donner tort à tous les accusateurs du père Stefano… dont fait maintenant partie le cardinal Braz de Aviz. Et n’oublions que feu le père Volpi a échappé à une condamnation civile “grâce” à sa mort subite. Par ailleurs, le fondateur ne se laisse pas faire et a déposé le 2 mars dernier une plainte contre certains responsables actuels des FFI – pas les commissaires – pour « association de malfaiteurs, calomnie et diffamation »… Dans la plainte une sombre histoire de fausse mort – rien de nouveau depuis saint Athanase – et des démentis formels à certaines allégations diffusées d’abord sur certains blogues et ensuite sur le petit écran.
En conclusion, la Congrégation des Religieux semble s’embourber de plus en plus dans une affaire dont les motifs véritables demeurent encore cachés – et donc inavouables car bien peu catholiques – et qui dépasse largement les capacités des commissaires des FFI et des SFI dont l’action semblent se borner à deux choses : la destruction du charisme (la fameuse “normalisation” de type bolchevique du cardinal) et la récupération des biens. Par ailleurs leur silence médiatique les rend objectivement complices d’une campagne de presse qui vise en fait la vie religieuse en général – les accusations et les ”ficelles” sont d’une banalité confondante.
Pas de pessimisme, dans l’interview le cardinal nous donne des raisons d’espérer : il semble que certains ne sont pas d’accord avec cette “normalisation”. Prions Notre-Dame Immaculée qu’Elle donne à ses chevaliers en bure azur de combattre le bon combat !
Le coup porté aux Franciscains de l’Immaculée par le sinistre Volpi, appuyé sur l’hypocrite cardinal Braz de Aviz, et dont je ne puis croire qu’il n’avait pas été porté à la connaissance du Pape François, a été en ce qui me concerne la première cause de doute sur la valeur du nouveau pontificat.
Ca suffit maintenant ce scandale initié depuis des années par Bergoblio … Si ce dernier ne prend pas immédiatement la décision d’arrêter l’immonde haine qu’il entretient personnellement contre la congrégation des Franciscains de l’Immaculée il faut demander sa démission immédiate d’évêque de Rome et arrêter le scandale qu’il continue à entretenir et de démolir ce qui reste de la Ste Eglise Catholique et le chasser du siège de Rome qu’il occupei llégalement .
Le Saint Padre Pio a encouragé les Franciscains de l’Immaculée,il semble que,comme lui, le fondateur et ses frères et soeurs doivent également passer par l’épreuve de la Croix à l’exemple de Notre Seigneur.
Le pape en cette année de la Misericorde a fait exposer les corps de St-Padre Pio et de St-Léopold Mandic,deux Saints Capucins du XX° siècle,martyrs du confessionnal,tout cela n’est guère logique de la part du Pape.
Le Pape Jean-Paul II canonisé par François avait une très grande estime pour cette belle et jeune famille religieuse,Sa Sainteté le Pape Benoît XVI n’a pas non plus jugé bon de les condamner,en fait lorsqu’un homme comme le Père Manelli atteint un certain âge et doit mener une telle oeuvre il est bien naturel qu’il puisse perdre un peu le sens de l’humilité,qui peut le juger?
Le Pape est manipulé,choisi hors de la curie il arrivait sans connaissance des réalités vaticanes il y a trois ans de cela,il est toujours inclassable,un pur produit de Vatican II,un Jésuite déformé et non pas un véritable fils de St-Ignace,est-il responsable de ce qu’il n’a pas reçu?
Ce n’est que l’impression que tout cela donne,je ne suis pas dans le saint des saints,prions afin que l’Eglise soit de plus en plus digne ,comme chacun de nous,de la mission que Notre-Seigneur nous confie,il y a un monde à évangéliser et cela suppose que nous aspirions tous à la sainteté.
Il y a déjà plus d’un an que l’âme damnée de cette affaire, le P Alfonso Bruno fait courir ces bruits de “pacte avec du sang” sur le site officiel des FFI (site dont il est le responsable et qu’il a retourné contre les FFI fidèles au P Manelli). Ces bruits reposent sur des témoignages confus et contradictoires et qui sont copiés presque à la lettre des accusations portées contre le Padre Pio dans les années soixante.
C’est le P Alfonso Bruno qui ne voulait pas de retour à la messe traditionnelle et a déclenché cette persécution immonde. Il veut rester dans l’ombre, se retranche derrière le pape, le feu P Volpi, le cardinal Braz de Aviz, les journalistes, etc… pour vomir son venin et sa haine contre le fondateur, le P Manelli. C’est lui qui avait menacé de poursuites judiciaires Riposte Catholique et tous les blogs italiens qui s’opposaient à sa manœuvre. Il n’aime pas que son nom apparaisse dans les sales magouilles qu’il téléguide.
Les franciscaines avaient fait appel des abus de pouvoir auprès du Tribunal de la signature apostolique du Cardinal Burke qui déclara recevable la plainte et qui se fit virer peu de temps après. Son successeur depuis novembre 2014, le cardinal Mamberti, ne semble pas pressé de reprendre le dossier. Il est corse, mais pas téméraire…Tout est fait pour que les victimes ne puissent pas faire valoir leurs droits.
Rien à attendre de Braz de Aviz, il refuse tout arbitrage, toute médiation. Pas de miséricorde l’année de la miséricorde pour les FFI. Gestion du dossier par la terreur et la calomnie. Menaces envers les évêques qui ont accueilli des FFI. Tiens, ce n’est pas une “maladie” diagnostiquée par le docteur Francisco?
Et, vos conclusions d’une malhonnêteté affligeante.
Ces accusations semblent effectivement grotesques ! Ce qui n’empêche pas le torchon “Golias Hebdo” de les répandre avec gourmandise… Dans son numéro 425 du 24 mars 2016, page 14, il rapporte que des religieuses auraient été forcées de se prostituer pour de généreux donateurs, que seraient pratiquées des punitions humiliantes (nettoyer le sol avec la langue), et qu’il y aurait des agressions sexuelles de la part de moines contre des religieuses. Plus c’est gros, plus ça passe !!!
Il faut envoyer cela au site “l’envers du décors” qui , comme Golias , s’empressera de reprendre tout cela avec gourmandise en demandant que l’Eglise face indéfiniment repentance et surtout ……se taise , adore César , le “prince de ce monde” et cesse d’évangéliser