La parentalité positive, c’est le nouveau concept à la mode qui consiste à ne pas reproduire la parentalité probablement négative, entendons celle qui punit.
“J’ai eu une éducation basée sur l’autorité et la punition. Je ne voulais pas reproduire”, explique Rabia.
Et pour cela vous pourrez suivre un atelier de “parentalité positive”, organisé un samedi matin dans un local du XIIe arrondissement de Paris.
Parmi les thématiques abordées, au choix, les alternatives à la punition, les façons d’aider les enfants à faire face à leurs sentiments et de les inciter à coopérer.
Sachez-le donc si vous êtes des tenants de l’autorité parentale vous risquez bien d’être affublés du nouveau discrédit à la mode, la parentalité négative.
Cela vous parait trop incongru ? Jetez un oeil ici
Nous sommes dans la droite ligne de la déstructuration familiale vue comme autorité machiste.
Peut-être pourrions-nous nous demander simplement ce qu’éduquer veut dire avant de noyer nos enfants d’idéologie.
QUELLE RIGOLADE
Je suis d’accord avec le 1er article, mais pas avec le second, les références sont trop mauvaises.
Les punitions ou menaces de punition sont sans effet sur mon petit-fils, par contre l’appel à sa responsabilité et la discussion portent des fruits positifs.
on peut étendre le concept de l’apprentissage positive à la conduite automobile (on imagine les discussions avec le moniteur) et puis la discussion avec le percepteur, le patron avec son contremaître lui-même avec les ouvriers : ne pas traumatiser personne. En Irak ou en Syrie la méthode diffère un peu: la conversion ou la valise
Je croyais, dans ma candeur naïve, qu’aucun parent normal n’éprouvait particulièrement l’envie d’humilier son enfant ou de lui faire peur.
Parfois, lui faire peur est utile, quand il faut lui inculquer précisément la peur d’un comportement dangereux.
Parfois, peut-être, chez un enfant qui manifeste une envie perpétuelle de se faire remarquer, l’humiliation (tout à fait occasionnelle) peut-être utile.
Mais ce n’est évidemment pas une méthode d’éducation permanente.
Mais il n’est pas mauvais que l’enfant constate que ses parents ne sont pas toujours comme il les voudrait, qu’ils ont le droit d’être fatigués, énervés, en colère ou simplement mécontents de son comportement.
Et que parfois une tape sur les fesses ou une privation de dessert (oh, les vilaines punitions !) sont plus efficaces que tous les raisonnements du monde qu’un tout petit, de toute façon, ne comprend pas…
Il n’y a pas “une méthode d’éducation”, il y a tel enfant, et tel autre, et ce qui convient à l’un ne convient pas à l’autre.