C’est une information de l’AFP reproduite par La Croix, ici.
L’enseignement a été jugé « lourd de carences » en histoire et en sciences, notamment en sciences de la vie.
Les élèves n’auraient pas les moyens d’avoir un regard critique sur l’histoire (parce qu’ils le sont dans le cadre de l’enseignement obligatoire et officiel ?). Quant aux sciences de la vie, notamment en 4e et 3e, ils comportent au programme l’étude de la sexualité et de la reproduction humaine sous l’angle de la contraception, de l’avortement, de l’évitement d’enfant et de la fourniture d’adresses de planning familial.
Cela fait quelque temps que les exigences en matière de respect des programmes, de la laïcité et de la pensée unique sont inscrites dans la loi. Ces dispositions légales, je l’ai toujours pensé, constituent une bombe à retardement contre les droits des parents de choisir une éducation en conformité avec leur foi et leurs convictions.
Dès lors qu'on a un stylo et un papier, ou un clavier de lap-top, il faut protester auprès des décideurs, faire monter son indignation et la leur extérioriser. Sinon nous laissons les politiques du moment ouvrir une brèche dans un principe par laquelle, tôt ou tard, d'autres sauront s'engouffrer. On ne peut pas laisser l'Etat juger au fond de l'instruction des enfants lorsqu'une question de foi ou de morale est en jeu. C'est la doctrine de l'Eglise. Parents, bougez, demain il sera trop tard.