Le conseil presbytéral du 02 mars a été l’occasion pour Mgr Blanchet d’annoncer la nomination d’un nouveau vicaire général au 1er septembre 2016. Mgr Blanchet à l’issue de la célébration de son ordination épiscopale en juillet 2015, avait reconduit les pères Duboz et Bouhélier dans leur service, en qualité de vicaires généraux. Le prêtre appelé par Mgr Blanchet à devenir vicaire général du diocèse est le Père Didier Sentenas.
Le Père Didier Sentenas est né à Montbéliard le 24 octobre 1968. Il est le benjamin d’une famille de 4 enfants. Ses parents sont originaires de Haute Marne. Son père est ouvrier chez PSA. Diplômé en mécaniques et automatismes industriels, Didier Sentenas est salarié pendant 9 mois à la société STEIM de Chèvremont avant de rejoindre l’usine PSA de Sochaux. Il y est employé pendant 3 ans.
En 1990 , il commence sa formation vers le ministère presbytéral avec les Groupes de Formation Universitaire. Il fait ensuite son entrée au séminaire Saint Irénée à Lyon pour sa formation théologique.
Voici son parcours ministériel dans le diocèse de Belfort Montbéliard :
- 1998 : Didier Sentenas est ordonné diacre le 14 juin à la cathédrale de Belfort.
- 1999 : Il est ordonné prêtre le 27 juin à l’église Saint Maimboeuf de Montbéliard. Le Père Sentenas est alors nommé vicaire à la paroisse Saint Paul. Il devient prêtre accompagnateur des Aumôneries de l’Enseignement Public et aumônier des Scouts et Guides de France. Conjointement, il est aumônier de la Jeunesse Indépendante Chrétienne et d’Action Catholique des milieux Indépendants.
- 2003 : Il est nommé à la Pastorale des Jeunes et s’installe à Belfort.
- 2009 Il est nommé curé de la paroisse Saint Antoine à Danjoutin et fait son entrée au Conseil Episcopal.
- 2012 : Il est nommé curé de la paroisse Sainte Trinité à Chèvremont.
- Le père Didier Sentenas est doyen pour le doyenné de Chèvremont. Il est le délégué épiscopal à la Pastorale des Jeunes pour le diocèse.
Photo : messe dans la salle commune de la maison de retraite NAAL avec l’Evêque et le père Sentenas
Je rêve ou on a sur cette photo un évêque qui célèbre la Messe sans chasuble et avec une “patène” et un “calice” d’une matière interdite?
Sans parler de l’étole “camouflage” du deuxième larron…
La chasuble figure la robe nuptiale ; c’est, en effet, dommage.
Dieu vous garde
Garmon.
Comme le dit Philippe de Villiers dans son dernier livre : ont célèbre la messe sur une table à repasser avec un verre à moutarde. C’est nouveau, il y a quarante ans que cela dure!
Toute ma jeunesse!
C’est très moche mais c’est émouvant de retrouver le style années 70,pourquoi ont-ils publié un nouveau Missel?