En attendant le retour des rogations dans la liturgie…, une quinzaine d’évêques de France se rendront au salon de l’agriculture, le 29 février à Paris. Ils tiendront des conférences et proposeront des solutions face à la crise agricole en se basant sur Laudato Si’, l’encyclique du Pape François.
L’agriculture française subit en effet une crise, liée à un certain nombre de facteurs (subventions de l’UE, embargo russe, etc.) parmi lesquels le désintérêt continu des politiques pour cette activité.
Mgr Philippe Mousset, évêque de Périgueux-Sarlat, fera partie de la délégation. Il est l’auteur d’une lettre intitulée “la crise agricole, nous sommes tous concernés”.
c’est de N’IMPORTE QUOI…..ça continue…
Et le Bon Dieu on en parle quand ???????????????????
Mais justement ! Pourquoi ne pas parler de Dieu et témoigner dans ce milieu. De nue reçu agriculteurs et résidents de nos campagnes sont encore chrétiens. D’autres ont besoin d’entendre la Parole de Dieu. Je ne vois pas du tout oú est le problème. À l’invitation du pape, les pasteurs sont appelés à annoncer le Christ aussi en dehors des églises. Comme les premiers apôtres.
De nombreux, voulais je dire. Erreur de saisie
…”À l’invitation du pape, les pasteurs sont appelés à annoncer le Christ aussi en dehors des églises. Comme les premiers apôtres”.
Vous croyez vraiment que l’objectif sera de parler de Dieu au salon de l’agriculture ?
Ils parlerons du “vivre ensemble” et de l’urgence de gérer les richesses terrestres, qu’il faut d’accueillir les migrants même s’ils apportent la déstabilisation dans nos pays ; rien que des discours sociaux et au ras des pâquerettes, Dieu sera le grand absent comme d’habitude !
A mon avis, et j’espère toujours me tromper, il ne sera question que de la sauvegarde de la Planète (pour conforter ceux qui pensent que le Paradis peut être que terrestre).
Sept évêques autour de Mgr Aillet.
Quinze évêques au salon d e l’agriculture.
Cette hiérarchie de intérêts est parlante ! Où est Dieu ?
Tout bien réfléchi, on risque moins au milieu des vaches que parmi les excités de la société de mort.