Jean Rigal est un théologien d’avant-garde qui sévit depuis trop longtemps au sein de l’Eglise en France (Préparer l’avenir de l’Église, Cerf, 1990). Ce prêtre, né en 1929, fut longtemps professeur d’ecclésiologie à l’Institut catholique de Toulouse et auteur de nombreux ouvrages dans ce domaine qui ont influencé bon nombre d’évêques, notamment sur la liturgie qu’il a contribué à dénaturer
- Artisans d’une Église nouvelle, 1976
- L’Église, obstacle et chemin vers Dieu, 1983
- Le courage de la mission, 1985
- Services et responsabilités dans l’Église, 1987
- Le mystère de l’Église, 1992
- L’Église en chantier, 1994
- L’ecclésiologie de communion, 1997
- Horizons nouveaux pour l’Église, 1999
- L’Église en quête d’avenir, 2003
- L’Église à l’épreuve de ce temps, 2007
Donc La Croix a sortir Jean Rigal de sa naphtaline pour qu’il vienne interpréter l’année de la Miséricorde sous l’angle maçonnique :
En 2016, la famille de pensée maçonnique, en dépit de ses divisions, est bien représentée en France avec 150 000 adultes des deux sexes, en toutes régions. Ce sont des personnes qui vivent souvent des valeurs morales et citoyennes affirmées. Pourquoi ne pas multiplier les occasions de dialogue ?
On sait que beaucoup de maçons se veulent a-dogmatiques (opposés aux dogmes). Peut-être est-il utile de rappeler que la foi chrétienne ne porte pas d’abord sur des formules mais sur la découverte de « Quelqu’un ». Qu’en pensent les catholiques maçons ?
Dans le contexte actuel, le débat ne serait-il pas plus bénéfique qu’une condamnation ? Comment ne pas situer cet appel dans l’interpellation lancée par l’Année jubilaire sur la miséricorde ? « Qu’à tous, croyants ou loin de la foi, écrit le pape François, puisse parvenir le baume de la miséricorde comme signe du Règne de Dieu déjà présent au milieu de nous. “La miséricorde est le propre de Dieu dont la toute-puissance consiste justement à faire miséricorde.” Ces paroles de saint Thomas d’Aquin montrent que la miséricorde n’est pas un signe de faiblesse, mais bien l’expression de la toute puissance de Dieu ».
À l’occasion de l’Année de la miséricorde, pourquoi ne pas écarter définitivement cette accusation de « péché grave », imputée uniquement, du moins de cette façon, aux « initiés » des obédiences maçonniques ?
Quelle ignorance. Au-delà de la condamnation bien connue, Jean Rigal ne connaît pas ce texte de la Congrégation pour la doctrine de la foi qui explique pourquoi un catholique ne peut pas adhérer à la franc-maçonnerie :
À propos de 1’affirmation sur 1’impossibilité de conciliation des principes, on objecte parfois de ci de là que ce qui est essentiel dans la maçonnerie serait précisément de n’imposer aucun «principe», au sens d’une position philosophique ou religieuse représentant un lien pour tous ses adhérents, mais de réunir les uns aux autres, au-delà des frontières des diverses religions et visions du monde, des hommes de bonne volonté sur la base de valeurs humanistes compréhensibles et acceptables par tous.
La maçonnerie représenterait un élément de cohésion pour tous ceux qui croient en l’Architecte de l’Univers et qui se sentent engagés vis-à-vis de ces orientations morales fondamentales définies par exemple dans le Décalogue; elle n’éloignerait personne de sa religion mais représenterait, au contraire, une incitation à y adhérer davantage.
On ne peut pas discuter ici les nombreux problèmes historiques et philosophiques qui se dissimulent dans de telles affirmations. Que par ailleurs l’Église catholique cherche à parvenir à une collaboration entre tous les hommes de bonne volonté, il est superflu de le souligner depuis le IIe Concile du Vatican. Qu’elle s’associe à la maçonnerie va cependant nettement au-delà de cette collaboration légitime et aurait une signification bien plus marquée et déterminante.
Il faut rappeler en premier lieu que la communauté des «maçons libres» et ses obligations morales se présentent comme un système progressif de symboles d’un caractère comportant un strict engagement. La discipline rigide de l’occulte qui y règne renforce par ailleurs le poids de l’interaction de signes et d’idées. Ce climat de secret comporte par dessus tout pour les inscrits le risque de devenir 1’instrument de stratégies qui leur demeurent inconnues.
Même si l’on affirme que le relativisme n’est pas assumé en tant que dogme, on propose cependant en réalité une conception symbolique relativiste et, ainsi, la valeur relativisante d’une telle communauté morale-rituelle, loin de pouvoir être éliminée, apparaît au contraire déterminante.
Dans un tel contexte, les diverses communautés religieuses auxquelles appartiennent chaque membre des Loges ne peuvent être considérées que comme de simples institutionnalisations d’une vérité plus vaste et insaisissable. La valeur de ces institutionnalisations apparaît donc comme inévitablement relative en regard de cette vérité plus vaste qui se manifeste au contraire plutôt dans la communauté de la bonne volonté, c’est-à-dire dans la fraternité maçonnique.
Toutefois, pour un chrétien catholique, il ne lui est pas possible de vivre sa relation avec Dieu de deux façons, c’est-à-dire en la scindant sous une forme humanitaire: supraconfessionnelle, et sous une forme interne: chrétienne. Il ne peut entretenir de relations de deux sortes avec Dieu, ni exprimer son rapport avec le Créateur par des formes symboliques de deux natures. Ceci représenterait quelque chose de totalement différent de cette collaboration, évidente pour lui, avec tous ceux qui sont engagés dans l’accomplissement du bien, même à partir de principes différents. D’autre part, un chrétien catholique ne peut pas, simultanément, participer à la pleine communion de la fraternité chrétienne et considérer son frère chrétien, par ailleurs, selon l’optique maçonnique, comme un «profane».
Même, comme on l’a déjà dit, s’il n’y avait pas obligation explicite de professer le relativisme en tant que doctrine, la force relativisante d’une telle fraternité, en raison de sa logique intrinsèque elle-même a cependant en soi la capacité de transformer la structure de l’acte de foi si radicalement qu’elle ne serait plus acceptable pour un chrétien «auquel sa foi est chère» (Léon XIII).
Ce bouleversement de la structure fondamentale de foi s’opère en outre, en général, de manière atténuée et sans que l’on s’en aperçoive: la solide adhésion à la vérité de Dieu, révélée dans l’Église, devient simple appartenance à une institution considérée comme une forme expressive particulière à côté d’autres formes expressives – également plus ou moins possibles et valables – de l’orientation de l’homme vers l’éternel.
La tentation d’aller dans cette direction est aujourd’hui d’autant plus forte en raison du fait qu’elle correspond entièrement à certaines convictions qui prévalent dans la mentalité contemporaine. L’opinion que la vérité ne peut être connue est une caractéristique typique de notre époque et, en même temps, un élément essentiel de sa crise générale.
C’est précisément en considérant tous ces éléments que la Déclaration de la S. Congrégation affirme que l’inscription aux associations maçonniques «demeure interdite par l’Église» et que les fidèles qui s’y inscrivent «sont en état de péché grave et ne peuvent accéder à la Sainte Communion».
Par cette dernière expression, la S. Congrégation indique aux fidèles qu’une telle inscription constitue objectivement un péché grave, et en précisant que ceux qui adhèrent à une association maçonnique ne peuvent accéder à la Sainte Communion, elle veut éclairer la conscience des fidèles sur la conséquence grave de leur adhésion à une loge maçonnique.
Mais peut-être veut-il dédouaner les franc-maçons parmi ses connaissances ? Voudrait-il nous donner les noms de ces proches, notamment mitrés, qui auraient adhéré à cette secte ?
Ou bien ils sont franc-maçons et n’ont pas encore compris le vrai but de cette organisation. Ou alors ils ont vraiment compris et cherchent par tous les moyens à affaiblir L’Eglise. Ou bien ils se disent catholiques mais ils ne connaissent pas leur catéchisme. Ou encore ils n’ont pas la Foi.
Il y a suffisamment d’anciens franc-maçons qui sont revenus à l’Eglise et qui ont écrit des livres (Caillet, Flipo, Viot, Abbad-Gallardo) pour comprendre vraiment la nature profondeur de la Franc-maçonnerie. L’ayant moi-même pratiqué, je peux attester aujourd’hui de toute la lucidité de l’encyclique de Léon XIII “Humanum Genus”.
Rigal veut s’offrir, ainsi qu’à ses semblables semeurs de l’ivraie, destructeurs de l’homme et de la planète : miséricorde et absolution sans confessionnal et en continuant à travestir la vérité et vivre dans le mal. Va de retro, va de retro Satanas.
Ce que ce serpent fait semblant de ne pas voir, c’est que même si, par ses ruses, il obtenait que l’Église renonce aux sanctions contre ceux qui adhèrent à cette organisation sataniste, l’adhésion resterait un péché.
Parce que la loi naturelle s’oppose ce que l’on vive dans une perpétuelle hypocrisie, un double-face institutionnalisé. Par exemple, les maçons font semblant de ne pas se connaître, alors qu’il se livrent à leurs simagrées ridicules ensemble et se connaissent très bien. Ce n’est qu’un exemple.
C’est publié dans La Croix ? Ce quotidien est vraiment l’auxiliaire du diable.
La Croix ?
Je crois que depuis déjà bien longtemps cet organe de propagande aurait dû s’appeler “La Croix inversée”.
Il ne s’agit pas là d’un jeu de mots; c’est une triste réalité.
Mais il en est de même de beaucoup d’organes de communication de l’Eglise moderniste. Aletéia en est un exemple récent.
Je vais peut-être radoter … mais à propos du journal la croix, Louis Pauwells disait déjà ” ma plus grande croix c’est de la lire … ”.
Encore un effort et vous allez donner la bonne orthographe: Louis Pauwels
S’adressant à l’Église le 20 avril 1884, le Pape Léon XIII publia une magnifique encyclique : « Humanum Genus ».
Reprenant l’analogie de Saint Augustin à propos des deux cités sur la terre qui constituent le Royaume de Dieu et le Royaume de Satan, le Pontife passe en revue les progrès de la Franc-maçonnerie et écrit :
« Il est à présent de notoriété publique que les francs-maçons ont l’intention de ruiner la Sainte Église, ainsi que de déposséder, si possible, toutes les nations Chrétiennes de tous les dons accordés par Notre Sauveur Jésus Christ. »
« Ainsi, en l’espace d’un siècle et demi, la secte des francs-maçons a accompli d’incroyables progrès. Par la ruse et l’audace, la maçonnerie a envahi tous les rangs de la hiérarchie sociale, et a commencé de s’emparer du pouvoir au sein des États modernes, ce qui est presque l’équivalent de la souveraineté. »
https://henrymakow.wordpress.com/2015/09/05/le-pape-a-revele-que-la-franc-maconnerie-est-du-satanisme/
Ce texte de la Congrégation pour la doctrine de la foi, qui exige une lecture attentive et n’est pas à la portée de n’importe qui, doit passer largement au-dessus de la cervelle fatiguée de ce pauvre Jean Rigal.
Que nous importe finalement des vieilleries comme ce “théologien d’avant-garde” ?
Il aura d’ici peu un grand besoin de la miséricorde de Dieu.
NON aux suppôts de Satan
Mr Jean Rigal est bien connu bien qu’il soit du diocèse voisin pour ses prises de positions, il faut savoir que les prêtres du diocèse de Rodez l’appellent l’hérésiarque. Quant à ses livres comme disait un prêtre que j’ai bien connu: “c’est facile, pour faire des livres, on change les phrases de place et les mots aussi ce qui fait qu’on a un nouveau livre mais qui a le même contenu”! je pense comme bcp et je souscris à la dernière phrase du commentateur. Quant à dire qu’il est d’avant-garde, je dirai plutôt d’une arrière garde périmée et soixante huitarde moisie qui on se demande s’ils sont pas là pour détruire l’Eglise. Si les FM veulent la miséricorde qu’ils se repentent aillent se confesser et sortent de cette secte secrète.
“les catholiques maçons” sont excommuniés et iront en enfer pour y retrouver le maître qu’ils servent. Les jésuites “maçons” y seront en bonne place !
Ne veut-il pas dire: vive le relativisme?
La franc-maçonnerie prône le relativisme doctrinal. Autrement dit les vérités profondes concernant l’homme et sa destinée ne peuvent être connues avec certitude. A ce sujet, il n’y a donc ni vérité définitive ni vérité universelle – ils croyent à un certain dieu, ils sont des relativistes et des diabolistes!.
Le contraire, le croyant en affirme : ” Jésus Christ est le Chemin, la Vérité et la Vie.” Mais le croyant authentique ajoutera aussitôt : ” Si en Jésus Christ, j’atteins la vérité, cette vérité, je la reçois ; ensuite je suis appelé à la connaître toujours plus et m’efforter pour Le suivre, et avec sa grêce en obtenir la vie eternelle, comme il’ a dit à celui qui était crucifié à sa côté!
La franc-maçonnerie, d’une manière générale, refuse jusqu’à la possibilité d’une révélation divine et certaines obédiences soutiennent que l’intelligence humaine peut affirmer l’existence de l’Etre suprême. Mais aucun franc-maçon n’acceptera jamais que Dieu ait parlé aux hommes, leur donnant une lumière venant des profondeurs de son Amour, une lumière confiée à l’Eglise pour être transmise fidèlement à tous les hommes et les sauver à la fin!
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“Donc La Croix a sorti Jean Rigal de sa naphtaline”
A bon? Il n’est pas mort ce soixante-huitard au cerveau mangé par les mites? Vous êtes surs qu’il n’ont pas sorti sa dépouille empaillée et qu’ils la font parler?
S’il est encore vivant, prions pour sa conversion.
Les franc-maçons mettent en danger leur salut éternel et ils jouent avec le feu (de l’enfer).
Patience Dieu va bientôt remettre de l’ordre à commencer par le Vatican
il et inadmissible que le journal La Croix se fasse l’écho d’une position aussi contraire à la doctrine de l’Eglise!
Mais dans une certaine mesure cela ne m’étonne pas car ce n’est pas la première fois que ce genre de chose arrive!
JEAN RIGAL ?
D’où est-il? LE DIOCESE DE RODEZ !!!!!!!!!!!!
Et Mgr Fonlupt est content de cela ? Vraiment méprisant pour les catholiques de l’Aveyron Au secours !!!!!
Le serment maçonnique de solidarité s’oppose aux devoirs d’impartialité et de justice. Par exemple pour les magistrats. Pour les avocats, il s’oppose au secret professionnel.
Pour tous les hommes à la liberté naturelle.
Cette secte est directement opposée au droit naturel et à la liberté humaine.
Le texte de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi édulcore encore la vérité de ce qui se passe dans de (trop) nombreuses Loges (l’infect “A bas la calotte” a encore cours).
Cependant, le Maître (certes pas le V:.M:. !) m’a confié au hasard de mes lectures des Écritures : “Voici, Je vous envoie comme des brebis au milieu des loups […]” (Mt X,15).
Quelques conversions à la Vraie Lumière (opérées par Lui Seul, peut-être par le canal que je représentais) plus tard, j’ai la faiblesse de penser qu’Il m’a demandé d’être l’un de ses apostoloï.
La Parole de Vérité peut toucher au Cœur.
Le Maître (toujours pas le V:.M:., pas de risque !) dînait avec les parias. Quel endroit idéal qu’une Loge, pour suivre son exemple ! Il s’agit d’entendre le “N’ayez pas peur !” de S. J-P II et d’être certain que -avec Lui- même les montagnes marchent.
Et, d’ailleurs, qui n’est pas le paria d’un autre, aujourd’hui ?
In Christo
B’E
Aborder la maçonnerie sans mentionner l’existence des 3 serments maçonniques
relève d’une manipulation, car non justifiable:
Serment d’obéissance, serment de secret, serment de solidarité”sélective”.
Par cette omission volontaire,le journal La Croix se révèle complice
Il y a au moins deux manières de dénoncer la maçonnerie,l’une plus efficace que l’autre.
1. Sur le fond,il va de soi que la maçonnerie est fondamentalement anti chrétienne.
Cependant,pour le comprendre,il faut disposer d’une connaissance minimale
à la fois de la maçonnerie et du christianisme. Situation, hélas, propre à une minorité.
2.Sur la forme, la maçonnerie est une tromperie à plusieurs titres:
D’une part, les frères se cachent des non-frères, ce qui dans bien des cas,est mensonger.
Quand un candidat aux élections se présente,il se doit d’être transparent sur son engagement/serment.
Il ne peut pas exister de vraie démocratie sans transparence.
En d’autres temps un type comme lui aurait été excommunié,encore un fruit du concile!
Les Francs-maçons sont opposés aux dogmes, ils construisent leurs savoirs, et trouvent eux-mêmes leurs vérités. J Rigal dit la foi c’est la découverte de quelqu’un, la religion ne porte pas sur des formules, il y voit une analogie avec la maçonnerie!! Jésus Christ a dit: “Je suis le chemin et la vie nul ne va au Père que par moi”, Il a mis 3 ans à expliquer à ses apôtres comment trouver ce chemin en Le suivant. La démarche du croyant est à l’opposée de celle des francs-maçons, pour cette “découverte de quelqu’un”, comme dit J Rigal, il faut d’abord recevoir l’héritage spirituel de Jésus Christ
Pour ceux qui croiraient que les condamnations nettes et franches des Papes, à l’image de Léon XIII, (avant lui et après lui) sont toujours d’actualité; il faut bien réaliser que cette condamnation, qui était exprimée officiellement dans le droit canon a disparu de ce droit canon, sous Saint Jean-Paul II. Benoit XVI a apporté un correctif à la portée de cette disparition en 1984. On pourrait dire que ce correctif n’engage que lui. La loi officielle de l’Eglise ne le spécifie plus. Pourquoi ?
L’abbé Luigi Villa a donné sa version de l’évolution de l’Eglise dans ses revues “Chiesa viva”.
Pour ceux qui ne connaitraient pas, vous pouvez faire connaissance ici :
https://blogdelamesange.wordpress.com/2014/08/19/les-ecrits-de-don-luigi-villa/
Dans l’Eglise catholique, il y a 2 parties :
– l’Eglise enseignante, composée du Pape et des Evêques unis à lui ;
– l’Eglise enseignée, composée de tous les autres catholiques, dont les prêtres.
Un théologien, prêtre ou pas, fait partie de l’Eglise enseignée, comme vous et moi ! Il est semblable à un mineur qui extrait du sol un caillou particulier. Il le donne au propriétaire de la mine qui, lui, dira si c’est un bloc de vulgaire charbon ou une pépite d’or.
Le théologien extrait du champ de ses recherches ce qui lui paraît une trouvaille intéressante, mais c’est l’Eglise ENSEIGNANTE qui nous dira si c’est bon et en accord avec la foi, ou si c’est une théorie erronée. Ce Père RIGAL n’a strictement aucune autorité par lui-même, et il devrait bien s’en souvenir un peu, dans l’humilité et l’obéissance.
Les catholiques ‘enseignés’ doivent être conscients que le maître n’est pas celui qui se déclare comme tel, mais celui ou ceux que le Christ lui-même a institués pour cette mission.
Le ‘Père’ Rigal n’a pas reçu le privilège de l’infaillibilité, et n’a aucun droit à se faire ‘enseignant’ pour l’Eglise. Quand il le fait, il n’est rien d’autre qu’un usurpateur.
Il y a une totale incompatibilité entre la foi catholique et l’engagement maçonnique. L’Eglise a bien compris le piège maçonnique depuis l’encyclique du Pape Clément XII en 1738. Je démontre régulièrement cette incompatibilité entre le chemin de foi et le serment maçonnique dans les nombreuses conférences que je donne, suite à la parution de mes livres ( “J’ai frappé à la porte du Temple” éd Tequi 2014 et “Je servais Lucifer sans le savoir” éd Tequi 2016 ). Ancien franc maçon, Vénérable Maître, Membre des Ateliers de Hauts Grade j’ai démissionné lorsque j’ai retrouvé le chemin du Christ et que j’ai compris l’incompatibilité de ces deux voies.
En outre je démontre par mon témoignage et plus de 200 écrits publics ou privés maçonniques que la franc-maçonnerie est une voie Luciférienne.
Je vous donnerai juste un exemple: je démontre que le rituel de l’initiation maçonnique est une négation implicite de l’infusion de l’Esprit Saint lors du Baptême.
Et je témoigne à visage découvert et sous mon véritable nom.
SERGE