Parmi les nombreuses messes annoncées, notamment sur Le Salon Beige, en mémoire de l’assassinat du roi Louis XVI le 21 janvier 1793, je découvre qu’un évêque de France (mais peut-être y en a-t-il d’autres ?) célèbrera : il s’agit de Mgr Marc Aillet, évêque de Bayonne.
Il célèbrera donc une messe de requiem le 21 janvier à 18 Heures 30 en sa cathédrale de Bayonne.
Mgr Jean-Pierre ELLUL célébrera, lui aussi, la Messe du Souvenir pour le 220ème anniversaire du meurtre du bon Roy Louis et pour tous les autres martyrs de la “révolution”, ce mercredi 21 janvier à 19 heures, en la Basilique du Sacré-Cœur, 81, av. du Prado 13008 Marseille.
Le Ciel nous vienne en aide !
Et nos Saints Patrons, Michel & Jeanne, avec NS JC et sa Très-Sainte Mère !
B’E
Cet évêque est tout de même bien seul.
Soutenons-le sans perdre de vue le problème fondamental de l’illégitimité de la république en France depuis
la guerre civile de 1789 et la nécessité pour les catholiques cohérents et conséquents de rompre avec cette institution satanique, d’essence antichrétienne comme en témoignent les martyrs de la guerre civile sanglante puis rampante faite à DIEU, au roi aux catholiques depuis plus de deux siècles.
Il n’y a aucun signe que les “hommes de Rome” limitent leur compromission avec leurs persécuteurs tenant de la république antichrétienne (syndrome de Stockolm).
Ne nous faisons donc pas d’illusion sur le renouveau prétendu des oeuvres conciliaires pour nous sortir de l’ornière.
Qu’à DIEU ne plaise !
allegrovivace
C’est tres bien.
VIVE LE ROI…
Que Dieu bénisse les hommes d’Eglise qui n’oublient pas la france éternelle et ses rois.
Ce fût un grand Roi qui a toujours voulu épargné la vie de son peuple. Il est arrivé au mauvais moment il ne méritait pas la haine et la désinformation dont il est l’objet. Surtout quand on sait combien de nos concitoyens sont morts pour nos république successives qui elles n’ont jamais épargné le peuple.
Et tous les morts qui ont suivi, pour la démographie exsangue de la France en 1814
A partir de cet évènement la déchéance nationale de la France n’a cessé de croitre.