Voeux de Mgr Rey à l’occasion du 10° anniversaire de l’OSP
L’évêque de Toulon a souhaité une bonne année aux collaborateurs de l’Observatoire socio-politique du diocèse et en profite pour rappeler quelques éléments sur la défense et la promotion du bien commun :
Dans quel monde vivons nous ? Les évêques veulent se mêler de politique , alors que nous attendons un discours sur le Christ et son message, suffisamment extraordinaire , pour le faire vivre stricto sensu .
Nous ne vivrons dans un monde de paix que si nous vivons dans un état laïque , qui tout en respectant chaque religion, permet à tous de vivre en paix avec les autres .
Ce ne sont pas les politiciens qui vont remplir les églises et donner l’Eucharistie ! .
Ne nous mêlons pas du radicalisme
des autres , regardons nos propres dérives intégristes et parfois à l’opposé notre politiquement correct sans saveur , sans intérêt qui confine à la bêtise –
VOUS ETES PRETRE OU SENATEUR ? IL FAUT CHOISIR !
Cet prélat ne paraît pas sortir de son rôle. Il laisse à César sa part.
Par contre, si les prélats se contentaient d’être des potiches à disposer autour de César pour son décorum, pour le faire valoir, ils ne seraient plus au service de Dieu mais au service de César.
Dans quel monde vivons nous ? Les évêques veulent se mêler de politique , alors que nous attendons un discours sur le Christ et son message, suffisamment extraordinaire , pour le faire vivre stricto sensu .
Nous ne vivrons dans un monde de paix que si nous vivons dans un état laïque , qui tout en respectant chaque religion, permet à tous de vivre en paix avec les autres .
Ce ne sont pas les politiciens qui vont remplir les églises et donner l’Eucharistie ! .
Ne nous mêlons pas du radicalisme
des autres , regardons nos propres dérives intégristes et parfois à l’opposé notre politiquement correct sans saveur , sans intérêt qui confine à la bêtise –
VOUS ETES PRETRE OU SENATEUR ? IL FAUT CHOISIR !
“Rendez donc à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu” Luc, 20, 25
Cet prélat ne paraît pas sortir de son rôle. Il laisse à César sa part.
Par contre, si les prélats se contentaient d’être des potiches à disposer autour de César pour son décorum, pour le faire valoir, ils ne seraient plus au service de Dieu mais au service de César.