Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille et président de la Conférence des évêques de France, déclare à La Provence :
“Il faut continuer à résister à toute forme de violence et à pratiquer le dialogue. Faire entendre que le dialogue est le seul chemin pour éviter la guerre n’est pas toujours facile car il y a cette peur en nous qui nous dresse facilement les uns conte les autres. Et ce gros travail sur nous-mêmes pour ne pas laisser la peur nous prendre est essentiel aujourd’hui. Nous sommes tous des artisans de paix et de dialogue. On pourrait d’ailleurs énumérer des actes d’amitié innombrables !
La place du dialogue interreligieux, après l’appel du Camp des Milles notamment, se trouve plus que jamais indispensable ?
Oui, le dialogue interreligieux est renforcé comme étant la seule option possible. Si les religions sont utilisées pour dresser les gens les uns contre les autres, il faut manifester qu’il n’y a pas de solution durable, paisible, sans que les religions ne dialoguent. Je conteste que la religion soit la cause de la violence. Elle est souvent menée par des gens qui ont de mauvaises intentions et se servent de ça. Les religions font partie des solutions. Il faut que les responsables religieux conduisent leur communauté dans le dialogue, le respect et la démarche de foi. Ne pensons pas qu’on pourrait s’en sortir sans les religions et sans le facteur religieux.
À condition que les religions se parlent. Quels sont ces lieux de dialogue ?
À Marseille on dialogue à deux, catholiques avec juifs, avec musulmans, Arméniens, bouddhistes, on a en plus Marseille Espérance, qui fait que nous nous rencontrons chaque fois que c’est nécessaire. Et puis il y a des lieux où on dialogue par nécessité, c’est dans les quartiers où chrétiens et musulmans habitent ensemble, et au quotidien ça se passe pas si mal. Et puis dans l’enseignement catholique nous avons une quinzaine d’écoles où il y a plus de 60 % d’élèves musulmans, et ça ce sont des lieux de dialogue quotidien.
La notion de laïcité aujourd’hui est-elle mise à mal ?
Il faut que la laïcité de l’État demeure la laïcité de l’État. Il respecte la liberté de conscience, de croire et il surveille qu’il n’y a pas d’atteinte à l’ordre public dans l’expression de telle ou telle religion, et ça nous y tenons car c’est le meilleur moyen de créer ce concept de citoyen. Car on est tous des citoyens, quelle que soit notre religion ou notre non religion. Mais il ne faut pas que l’État en fasse plus sinon il finit par devenir une religion et il s’impose à tous en disant “voilà mes valeurs, adoptez-les, et les autres taisez-vous, chez vous si vous voulez mais pas dehors”. Et cela, ça va pas, ça envoie un message de suspicion à tous les croyants en disant “vous êtes dangereux et nous on va faire la religion de la laïcité.” Par contre on a besoin de la laïcité de l’État, c’est la garantie de pouvoir vivre ensemble. Et c’est à nous de créer la fraternité car la fraternité, ça ne se commande pas par des lois. La liberté et l’égalité peut-être, mais la fraternité, il faut la vouloir, et c’est ça qui est en jeu aujourd’hui : c’est de vouloir la fraternité. Quand on était moins divers, elle allait presque de soi, mais maintenant qu’on est divers, il faut la vouloir. Et c’est un des enjeux qu’ont réveillé les événements dramatiques ; on a vu une masse de gestes de fraternité autour des victimes, on a vu des choses magnifiques au moment des attentats de novembre. […]”
La laïcité n’est garante ni de la liberté religieuse des Chrétiens ni d’aucune valeur. Il faudra malheureusement que la République devienne islamiste et anti-chrétienne pour que les évêques s’en rendent compte.
Trois mots pour qualifier Mgr Pontier : apostat, hérétique, renégat.
Si Mgr Pontier était honnête il quitterait l’Eglise catholique dont il est l’ennemi.
Mais bien évidemment il accomplit son travail de destruction de la Foi dirigé par les loges maçonniques à l’intérieur de l’Eglise avec beaucoup plus d’efficacité.
Saint Michel Archange qui avez combattu Satan combattez aujourd’hui les évêques modernistes qui sont les agents de Satan.
Bienvenus chez les fous !
https://www.youtube.com/watch?v=KGI9yRRVQm8
C’est plutôt amusant et j’ai vu pire et bien plus laid.. Le prêtre n’a pas célébré la messe “en roulettes”. Il les a quittées quand il est monté à l’autel.
Imaginons que son aube ait été plus longue…Un spectacle étrangement immatériel…Ne soyons pas trop sévères ni scandalisés.
Mgr Pontier, afin de respecter vat2, faut il s’entraîner à faire la danse du ventre pour Noël prochain, avec Mgr de Barbarin dans l’Eglise bientôt transformée en mosquée ?
Finalement , je crois qu’il-y-a un concourt !
https://www.youtube.com/watch?v=eE5_OAtQ6F0
Dialogue qui tourne en rond , avec les mêmes , recyclant l’idéologie du “politiquement correct” républicain et maçonnico compatible ?
Cela s’appelle , en fait , un MONO-logue
L’expression de la pensée de Mgr Pontier se fait dans un français approximatif.
Exemple:
« Et cela, ça va pas, ça envoie un message de suspicion à tous les croyants en disant « vous êtes dangereux et nous on va faire la religion de la laïcité. » Par contre on a besoin de la laïcité de l’État, c’est la garantie de pouvoir vivre ensemble. »
On peut traduire en français:
Cela n’est pas admissible. C’est un message implicite de suspicion envers tous les croyants. C’est un peu comme si l’État tenait ce discours: « Les croyants sont dangereux. Nous allons en conséquence imposer la religion de la laïcité. » En revanche nous avons besoin de la laïcité de l’État. Elle est la garantie de pouvoir vivre ensemble.
Ne parlons pas du fond. Le désordre du discours (dissimulé sous le débraillé du style) témoigne d’une non-maîtrise du sujet.
Je me permets de résumer ce que je crois avoir compris de Benoît XVI, du cardinal Bertone, du concile Vatican II, et de mes souvenirs de lecture (par exemple cardinal Antoniano).
Nous ne pouvons que constater que l’humanité est divisée de croyances. Le dialogue ne peut avoir les croyances pour références. Les croyances étant différentes et ne pouvant se discuter, nous n’avons comme outil de dialogue que la raison universelle de l’homme. (Si je prétends: “Dieu à ordonné cela.” et que mon interlocuteur prétende l’inverse. Il n’y a, dès lors, aucun dialogue possible. Chacun n’a plus qu’à retourner chez soi.)
Cette raison universelle de l’homme ne nous interdit pas de juger les croyances. Au contraire, elle nous y invite. Elle ne nous empêche pas non plus d’adhérer publiquement individuellement ou collectivement à celle qui a les motifs de crédibilité les plus forts.
Objectivement, la raison universelle de l’homme n’empêche en rien l’adhésion de la société politique à une croyance pourvu que celle-ci respecte l’ordre public des droits universels de l’homme.
Votre explication est limpide. A mon sens, le christianisme est la religion qui respecte le plus les droits universels de l’homme, les religions asiatiques semblent respecter l’ordre public et les droits universels de l’homme en Occident mais beaucoup moins en Asie (problèmes des castes, des maltraitances aux filles et aux femmes), quant à l’Islam: NON, c’est de la barbarie et de l’obscurantisme.
Merci du compliment, chère amie.
Nous pouvons dialoguer avec les hérétiques en discutant sur l’Ancien et le Nouveau Testament, nous pouvons discuter avec les juifs en invoquant l’Ancien Testament.
Mais avec les autres nous n’avons de commun que la raison universelle de l’homme. C’est ce que je crois avoir compris du Contra Gentes de saint Thomas d’Aquin.
L’Eglise, l’Etat laïc, les différentes religions non catholiques sont des blocs politiques par nature concurrents. L’Etat se méfie des religions, l’Eglise se méfie de l’Etat, les religions se méfient les unes des autres : c’est tout à fait normal et tout à fait inévitable. Dans cet état de guerre, qui est permanent et ne cessera qu’au Jugement dernier, il est frivole de rêver de paix. Ce qu’il faut, c’est choisir son camp.
Chiche Mgr Pontier, voulez-vous “dialoguer” avec les traditionalistes? Et oui, je sais bien, vous pensez comme vos frères en loge que tout dialogue avec eux est impossible! Mais pourquoi? Parce qu’ils adhèrent à une Vérité transcendante que vous, vous refusez, Monseigneur et vos frères en loge de même. Pas de dialogue possible.
C’est pourquoi dans la religion universelle de l’Antéchrist, la seule qui sera bannie, c’est le catholicisme, c’est l’Eglise fondée par Jésus, le Messie.
C’est à désespérer de voir les évêques parler de DIEU !!!
A croire que la F.M. ecclésiale les a tous enténébrés, ce genre de personnage n’a plus que le politiquement correct pour justifier sa fonction !!! Si les catholiques témoignent de leur FOI, LE DIALOGUE RELIGIEUX se fera de lui même, pas besoin des évêques mais qu’ils s’occupent de former les baptisés ce sera
Suite… (le commentaire est parti tout seul)
Donc je termine la phrase :
… qu’ils forment les baptisés ce sera déjà très bien et c’est tout ce qu’on leur demande. Vouloir s’occuper d’unifier ou comparer les religions ne fait pas partie de leur mission.
Sur les propos sans reelle surprise, autant dire convenus, de Mgr Ponthier, deux petites remarques. L’une sur la laïcité : à quoi sert-elle si “les religions” comme il dit, se donnent finalement le même but, servir de faire-valoir ou en tout cas d’allié fidèle au pouvoir en place( quel qu’il soit). Et faire la promotion de ses objectifs ( actuellement le “vivre-ensemble”) ? Et à peu près rien d’autre. L’autre : à quoi servent des écoles catholiques avec 60% d’élèves musulmans?
Y’a vraiment un concours abominables d’abus liturgiques, voire d’apostasie. Inutile de se demander où ça a été concocté ? bien sûr dans les loges maçonniques
Le dialogue avec juifs*1 et musulmans*2…déjà été fait et sans résultat !
Mgr Georges Pontier est un “Bisounours” qui mène tout droit ses brebis sous le couteau de l’égorgeur “halal”!
Quand à la “LAÏCITÉ”…c’est une belle escroquerie : “Mot trompeur ayant changé de sens à la fin du XXe siècle ; à l’origine, séparation de l’Eglise et de l’Etat ; aujourd’hui, soutien apporté par les collectivités publiques à l’exercice des religions autres que chrétienne & Exemple: « laïcité positive , traduction : soutien à l’islam”.
*1-cf. DIALOGUE DE SAINT JUSTIN AVEC LE JUIF TRYPHON (Justin de Naplouse ou Justin de Néapolis IIe siècle ap. J.-C.)
*2-cf. CORAN sourate 3 Verset 85 : « Et quiconque désire une religion autre que l’Islam, ne sera point agrée, et
il sera, dans l’au-delà, parmi les perdants* »
* cf. Le Verset du Sabre abroge tous les versets dans lesquels Allah incite les croyants à patienter face aux mécréants (sourate 5 – Verset 3) & Mouhammad ‘ibn Ahmad, rahimahoullah a dit dans son Tafsir à propos du verset du sabre : « Ceci abroge les versets qui parlent de la tolérance envers les mécréants et de la patience face à leurs provocations. La dernière Parole d’Allah à ce propos est le verset avec lequel
Il ordonne le Djihad contre les polythéistes : «tuez les polythéistes»
Evêque Pontier, vous avez raison de dire que le dialogue et la paix sont préférables au conflit.
Mais un pan entier du problème semble échapper à votre esprit.
Ce pan entier, c’est que chaque année, en France, entrent :
-légalement, 200 000 immigrants, flanqués d’un titre de séjour.
-Illicitement, entre 30 et 40 000 immigrants.
90 % ce cet “apport” est musulman.
Or si les musulmans ne sont pas tous des islamistes et encore moins des terroristes, tous les islamistes et tous les terroristes sont bel et bien issus des musulmans.
Il s’agit donc bien, d’abord et avant tout, il s’agit donc, d’abord et en priorité, d’arrêter ce flux continu d’entrées.
Sans quoi, on fait courir un risque grandissant au dialogue et à la paix civile que vous appelez de vos vœux, et nous aussi tout autant que vous.
Or le reproche que l’on peut vous faire, c’est ne jamais aborder cet aspect du problème.
il est vrai que si vous n’en êtes pas conscient, votre silence peut s’expliquer.
Mais venant d’un responsable religieux de premier plan, cette infirmité du discours (de la pensée ?) est regrettable et condamnable.
Dialoguer avec celui qui est en train de vous couper la tête ?
A l’attention des théologiens et des intellectuels laïcs catholiques qui fréquentent ce site, voici une pièce intéressante dans le processus apocalyptique qui est ouvert du fait du silence criminel de Rome et de la CEF sur l’islam …
Mais comme le Souverain Pontife l’a dit tout récemment, ce monde dans lequel nous vivons désormais ( nous, catholiques fondamentalistes assimilés aux islamistes fondamentalistes jusque dans l’encyclique ” Evangelii Gaudium ” ) n’est-il pas dur avec le pécheur et mou avec le péché ? …
Christianisme, socialisme et masochisme occidental
http://ripostelaique.com/christianisme-socialisme-et-masochisme-occidental.html
PS : à l’attention de M l’évêque de Marseille, ci-devant Président de la CEF, est-ce que lvotre dialogue avec les autorités de police de Marseille aurait été rompu à un moment ou à un autre et vous aurait empêché d’obtenir le rapport d’autopsie de M l’abbé Hugues Madesclaire, curé d’une paroisse de votre diocèse, qui se serait auto-égorgé en avril 2000 ?
Dialoguer oui, mais un dialogue entre ignorants ne reste qu’un message d’amitié qui s’effondrera devant les réalités. Pourquoi, Mgr Pontier n’organise pas des réunions d’information sur ce qu’est l’islam en se référant à ce qu’il dit de lui-même et à ce qu’en disent les chercheurs occidentaux comme Olaf et Gallez à la suite de bien d’autres?.
Du charabia moderniste et épiscopal!!!
Triste…
Pontier étant aussi franc-maçon vous avez tous compris la destruction de l’église est déjà amorcée depuis bien de nombreuses années mais Dieu le Père va bientôt tous les confondre et tout remettre dans l’ordre
Évangéliser, non ?
Est-ce que Jésus Christ allait dialoguer avec les Saducéens, ou les Romains et leur culte? avec la Samaritaine et les Samaritains il n’y a pas eu de dialogue car pas de répliques justifiant la religion des Samaritains, mais exposition de la part de Jésus. Pourquoi dialoguer, si ce n’est pas pour proclamer les évangiles, par peur que l’autre ne soit hostile, il le sera avec ou sans dialogue tôt ou tard
Ce qui a mis fin aux mauvais rapports entre l’Eglise et l’Empire romain, c’est la conversion de Constantin, autrement dit, la soumission du pouvoir temporel au pouvoir spirituel. Toute la question est de comprendre qui doit avoir le contrôle de la puissance temporelle : si c’est un homme quelconque, sans religion particulière, si c’est le plus grand nombre des citoyens, indépendamment de leurs idées religieuses, ou si c’est le chef de l’Eglise de Dieu, qui est dépositaire de l’autorité du Seigneur de l’Univers. Il est bien que les Chrétiens supportent d’obéir à une puissance politique non soumise à l’Eglise ; mais il est injuste et blasphématoire qu’ils ne réclament par pour l’Eglise une prépondérance qui lui revient de droit divin. Une chose est d’être roi et de souffrir patiemment d’être offensé par un usurpateur ; autre chose est d’être roi et de renoncer à la royauté. Jésus, devant Pilate, ne renonce pas à sa royauté. Il n’y a jamais renoncé et ce sera pour l’imposer qu’il reviendra en gloire le jour de sa Parousie.
L’Eglise, qui avait injustement été soumise à un Etat laïque après la Révolution a su pendant longtemps garder la fierté à laquelle elle était obligée par sa mission divine. Mais, de nos jours, elle est devenue le rempart de cette même idéologie démocratique qui est, par essence, anti-théocratique, puisque le “Peuple” auquel se réfère le “demo” du mot “démocratie” ne peut en aucun cas être confondu philosophiquement avec le Dieu créateur et Seigneur qui est le “theo” du mot théocratie quand il est employé correctement, c’est-à-dire pour désigner le gouvernement du seul vrai Dieu. De cette trahison, de cette apostasie viennent les aberrations de Vatican II en matière d’oecuménisme et de dialogue interreligieux.
Une des conséquences funestes de cette inexcusable rupture avec la Tradition catholique, c’est maintenant sa volonté d’union avec l’Islam… Mais ce n’est pas l’Islam que l’Eglise cherche à flatter, c’est la République, qui est désarmée idéologiquement face à l’Islam et se trouve déjà virtuellement islamisée… Si c’est le “Peuple” qui commande, il suffira toujours que ce soit le “Peuple” qui accepte n’importe quelle abomination pour que l’Eglise, qui se veut soumise à la Démocratie, la légitime et l’encense.
Cher Monseigneur,
Je voudrais vérifier que je comprends bien votre discours :
Ayons peur de la guerre ; car la peur mène à la guerre !!! (Résumé de votre deuxième phrase).
Pour se sortir de cette difficulté, il convient donc d’aller directement à la reddition, sans coup férir.
Celle-ci passe forcément par le dialogue. Donc, dialoguons ! On ne peut y échapper !
N’ayons crainte, grâce à la laïcité bienveillante, cela se fera dans le respect mutuel.
C’est bien ça ?
Je suis bien embêté, car de moi-même, j’aurais plutôt dit :
https://asasuite.wordpress.com/2015/03/31/si-on-se-decidait-a-ouvrir-les-yeux/#_Toc415518828
Votre miséricorde parviendra-t-elle à me le pardonner ?