Nous vous proposons aujourd’hui de soutenir les missions de l’Institut du Christ Roi.
L’Institut du Christ Roi est une Société de vie apostolique fondée et érigée en 1990 par Mgr Obamba, évêque de Mouila (Gabon). L’Institut est reconnu de droit pontifical par le Saint-Siège le 7 octobre 2008. C’est au Gabon que l’Institut du Christ Roi a ses racines et il y a gardé des apostolats missionnaires dans le diocèse de Mouila puis depuis quelques années à Libreville où une grande église est en construction. Actuellement 4 prêtres de l’Institut sont en ministère au Gabon.
Ordre des chèques “Association des Jeunes Missionnaires en Afrique” à renvoyer à Institut du Christ Roi – JMA – Via di Gricigliano, 52 – 50065 SIECI (Fi) – Italie
La plupart des évêques français sont très hostiles à ces instituts traditionnels qui font la démonstration que la crise des vocations ne touche que l’église “conciliaire”. Mais comme ils sont pétrifiés dans leur “lutte des classes”, il refusent d’admettre l’évidence. “La lutte des classes” épiscopale depuis 1945 est d’amalgamer la tradition à la droite, à l’extrême droite, aux riches, aux nantis, aux “notables”, exploiteurs, négriers, colonialistes etc…. Cette ridicule conception marxiste en vogue chez la majorité de l’épiscopat et du clergé a provoqué les scissions chez les Catholiques français. Si ces derniers étaient moins moutons, ils financeraient en masse ces instituts traditionnels, obligés d’avoir leurs séminaires à l’étranger par l’hostilité indéfectible de la CEF. Le jour où ces instituts traditionnels pourront ouvrir un séminaire en France, il afficherait complet à la première rentrée. Certains évêques, moins bornés acceptent l’apostolat des prêtres de ces instituts qui les dépannent fortement. Mais de séminaires point: ils préfèrent les leurs qui continuent à propager les erreurs doctrinales, mais qui heureusement sont pratiquement vides. Ceux qui ne sont pas vides ont un enseignement plus orthodoxe. Les jeunes vocations ne s’y trompent pas.
Mais la diabolisation continue ses ravages et marche parfaitement bien: le bon peuple croit tout ce que leurs “chefs” leur racontent.