« Beaucoup demandent : « Qui nous fera voir le bonheur ? » Ainsi s’exprime le psaume quatre que nous récitons régulièrement. Le Psalmiste répond : « Sur nous, Seigneur, que s’illumine ton visage ! »
Tout au long de cette semaine, j’ai senti que nous portions très fort cette question de nos contemporains : « Qui nous fera voir le bonheur ? »
En écho avec le synode des évêques réuni à Rome autour du Pape François, nous avons évoqué ce chemin de bonheur cherché par toute famille. Nous avons rendu grâce pour tous ceux qui le trouvent en se laissant illuminer par le visage du Seigneur, par sa présence, sa parole, sa fidélité, ses appels. Nous avons nommé les obstacles que trop de familles rencontrent dans leur vie pour le trouver : celui des guerres actuelles, des grandes pauvretés qui jettent sur les routes trop de familles ; celui des séparations qui sont toujours porteuses de souffrances et de graves conséquences pour les enfants ; celui de ceux qui connaissent l’épreuve de la stérilité, du handicap, du veuvage précoce, d’une affectivité blessée ; celui de ceux qui, remariés, cherchent à trouver leur place dans leur environnement comme dans l’Eglise ; celui des familles monoparentales ; celui de tous ceux qui se tournent et se retournent en disant : « Qui nous fera voir le bonheur ? ». Notre désir à nous Evêques de rejoindre chacun sur sa route et de pouvoir avec la communauté chrétienne le conduire à la reconnaissance du visage du Seigneur, miséricordieux, fidèle, proche par sa Parole, s’est amplifié et fortifié. Nous souhaitons que les paroisses et les pastorales familiales ne cessent d’approfondir leur présence et leurs propositions auprès des familles aux divers âges de la vie, qu’elles apportent soutien et réconfort et qu’elles demeurent vigilantes sur les politiques familiales de notre pays. C’est un chantier missionnaire essentiel.
Et que dire du long temps de réflexion et de partage sur la situation tragique de tant de migrants ou de réfugiés qui essaient de franchir la Méditerranée pour venir en Europe ? Le Cardinal Montenegro, archevêque d’Agrigente nous a parlé de l’expérience de l’accueil si enrichissante et si éprouvante qui se vit sur l’île de Lampedusa et ailleurs depuis des décennies. Il l’a comparée à une forme de long martyre où le croyant est appelé à témoigner de sa foi envers et contre tout par un accueil simple, inconditionnel et inlassable et cela malgré l’expérience d’une réelle impuissance qui peut conduire au découragement, à la lassitude et à l’abandon. Le pire pour eux serait d’y perdre ainsi leur âme en devenant durs et inhospitaliers. Il nous a parlé de ces moments de bonheur vécus dans ces gestes humains dont les pauvres ont le secret quand ils accueillent des pauvres : un sourire, de la nourriture partagée, un vêtement lavé, une douche proposée, une maison ouverte. Autour de Calais la même expérience se vit. La présence persévérante et fraternelle de tant et tant de bénévoles est un rayon de bonheur dans ce qui est souvent qualifié d’enfer.
« Qui nous fera voir le bonheur ? » Sûrement pas les peurs, les rejets, les murs dressés, les replis sur soi. Nous invitons les catholiques et tous les hommes de bonne volonté à choisir l’accueil, la fraternité et la confiance. Nous les invitons à s’engager dans la recherche de projets significatifs et adaptés aux situations. Nous les invitons à faire entendre leur voix auprès des responsables politiques pour que des décisions courageuses, humaines et solidaires soient prises dans notre pays et en Europe. Nous les invitons encore à leur rappeler le nécessaire soutien au développement des pays les plus pauvres comme à la recherche de solutions justes et durables aux nombreux conflits.
A la suite des forums de novembre 2014 sur la mission en rural vécus au sein de notre conférence, nous continuons le partage de nos initiatives, de nos questions, sur la présence missionnaire de l’Eglise dans les espaces ruraux et hyper-ruraux. Face à ces nouveaux défis, nous voulons poursuivre un travail de réflexion et de discernement, avec des actions communes que ce soit en inter-diocèses, en province et en conférence épiscopale. L’Eglise est attendue pour susciter des espaces de paroles et de vie spirituelle, avec une attention particulière pour les agriculteurs et tous les acteurs du rural en souffrance.
Nous le voyons, en ces domaines de la vie comme dans bien d’autres, la réponse à la question : « qui nous fera voir le bonheur ? » se laisse percevoir lorsque l’homme est mis au centre des choix individuels et collectifs. Le souci et la préoccupation du bonheur des autres et des plus pauvres en particulier sont le moteur de notre propre bonheur. Nous ne voyons que trop ce qui arrive lorsqu’on ne s’occupe que de son propre intérêt. Que les pays riches aient laissé se construire de tels écarts dans le monde, qu’ils soient intervenus comme ils l’ont fait dans des régions du monde soumises aujourd’hui à l’anarchie et à la violence a contribué à ce qu’augmente la clameur des peuples et celle des pauvres.
Nous voulons redire où se trouve le chemin du bonheur : Il se trouve dans le respect de la dignité inviolable de l’homme créé à l’image de Dieu ; il se trouve dans le choix de sociétés où le souci du petit et du pauvre prime sur les intérêts des plus fortunés. Il est des inégalités qui font honte à l’humanité. Il se trouve, ce chemin du bonheur, dans le choix du dialogue et du respect entre personnes et peuples aux convictions et aux religions diverses. Il se trouve dans la logique de l’amitié et de l’estime entre les peuples. Il se trouve dans le respect de la création, dans le souci de la maison commune, dans le choix de modes de vie respectueux des besoins d’aujourd’hui et de ceux de demain. Il se trouve encore et surtout dans l’ouverture spirituelle à la connaissance et à l’amour de Dieu qui nous rend libres et nous tient en confiance.
Demain, nous serons à nouveau sur le terrain de nos diocèses et nous allons retrouver l’agitation politicienne à l’approche des élections régionales. Nous portons de l’estime à l’engagement politique quand il est vécu dans la recherche du bien commun. Avons-nous autre chose à dire à nos fidèles que d’aller voter ? Sûrement. Nous voulons ajouter : pensez au sort des petits et des humbles ; pensez à l’accueil, pensez au respect de la vie et de la dignité de la personne humaine ; pensez aux politiques sociales et familiales, à l’éducation des jeunes ; pensez au dialogue entre les religions et avec tous les courants de pensée. N’oubliez pas le bien profond de votre région ni son développement. Fuyez la violence sous toutes ses formes, la violence verbale n’étant pas la moindre. Pensez encore à la paix chez nous, en Europe ; regardez de près les programmes. Développez un langage d’ouverture et d’engagement !
Dans un mois nous entrerons dans le jubilé de la miséricorde, voulu par le Pape François. Ce qui est le plus grand en Dieu, c’est sa miséricorde ! Il s’est révélé ainsi en Christ. Le Pape François commence sa lettre « Misericordiae Vultus » avec ces mots : « Jésus-Christ est le visage de la miséricorde du Père ». Dans ce monde de violence aux formes multiples selon les temps et les lieux, le Père de toute miséricorde, le créateur s’est fait sauveur en son fils bien aimé, Jésus Christ. Il n’a ajouté aucune violence. Au contraire il est venu pour la vaincre par une puissance d’amour infinie à laquelle nos égoïsmes, nos inconsciences et nos peurs ont du mal à croire. La violence, il l’a subie jusqu’au sang ; la haine, il en a souffert au plus profond de son cœur ; la mort injuste il l’a vaincue par la résurrection bienheureuse, source de toute espérance. Oui, nous voulons redire qu’il est là le chemin du bonheur, dans la suite du Christ, dans l’amour de ses frères, dans la confiance, dans l’engagement auprès de ceux qui souffrent violence. Sa vie extérieure a été résumée en peu de mots : « Il est passé en faisant le bien ». Avoir le souci des autres, celui du bien commun, celui du vivre ensemble, celui d’une écologie intégrale, celui d’une humilité confiante, celui de la bonté et de la fraternité, voilà bien le chemin du bonheur ! Oui, Seigneur : « Que sur nous s’illumine ton visage et nous serons sauvés ! » Et en plagiant ce que disaient Pierre et Jean au mendiant de la Belle porte : l’argent et l’or ne peuvent apporter le bonheur, et ce n’est pas cela que nous voulons donner, mais Jésus-Christ que nous voulons annoncer. Choisissez-le, marchez à sa suite et à sa manière. Durant cette assemblée, nous avons ainsi entendu le témoignage des responsables de la vie religieuse nous parler du bonheur qu’il y a à vivre sa vie en amitié avec le Christ. Nous avons aussi regardé la générosité des nombreux prêtres venant de l’étranger pour servir dans nos Eglises diocésaines. Nous voulons redire un mot de profonde estime et affection à tous les prêtres, les diacres et les consacrés de nos diocèses.
La rencontre avec le Secours catholique à la Cité St-Pierre nous a permis de rendre grâce à l’occasion des 70 ans de la fondation de cette belle institution par l’Abbé Rhodain et les 60 ans d’existence de la cité St-Pierre. Chaque année le rapport publié à cette époque sur la pauvreté dans notre pays et ses formes nouvelles, fait autorité et retient l’attention des élus et des pouvoirs publics. Nous sommes fiers de voir ainsi de si nombreux bénévoles engagés au côté des salariés pour accueillir et accompagner plus d’un million et demi de personnes vivant sous le seuil de pauvreté. C’est aussi une expérience de fraternité unique et inimaginable avant de l’avoir vécue. C’est là encore que se trouve le chemin du bonheur : dans ces solidarités, ces rencontres et ces engagements pour plus de justice.
Le drame vécu depuis trop longtemps par les populations du Moyen-Orient, des chrétiens particulièrement, nous affecte plus spécialement depuis plus d’un an. L’Irak en a été la première victime. La vallée de Ninive a été dévastée et beaucoup de chrétiens ont fui vers Erbil et le Kurdistan Irakien. Nos liens réguliers avec les patriarches et les évêques, des visites de plusieurs d’entre nous sur place nous ont bien fait comprendre que le véritable enjeu était de contribuer à ce que les chrétiens puissent envisager de demeurer sur leur terre ancestrale. Un projet nous a été proposé : celui d’aider de jeunes étudiants chrétiens vivant dans des camps au Kurdistan irakien à poursuivre leurs études supérieures à Kirkouk dans leur propre langue, l’arabe. Il s’agit d’un projet qui prendra en charge une promotion de 380 étudiants pour un budget de 1 140 000 euros. Nous croyons à la générosité des fidèles et des Français pour tenir notre engagement accompagné par l’Oeuvre d’Orient en lien direct avec l’Evêque de Kirkouk et Souleymanieh, Mgr Youssif Thomas Mirkis, Archevêque chaldéen, qui nous a soumis ce beau projet. Nous le faisons nôtre et nous invitons l’ensemble des gens de bonne volonté à le faire leur. Il est porteur de vie et d’avenir pour les chrétiens d’Orient.
Notre semaine de travail nous a réconfortés. Il n’est pas possible de tout reprendre. Nous avons hâte de rejoindre nos diocèses pour y retrouver les fidèles de nos communautés, pour entrer dans ce jubilé de la miséricorde et pour nous préparer encore à vivre les futures Journées Mondiales de la Jeunesse à Cracovie. Nous y poursuivrons notre réflexion sur les sources du bonheur, celles que Jésus nous a données dans les Béatitudes. Et dans ce monde souvent dur, qui ne fait plus place à celui qui a chuté ou est tombé, nous rendrons grâce pour la miséricorde de Dieu, celle qu’il a déployée de toujours à toujours en faveur de l’humanité et tout spécialement en Jésus Christ qui a donné sa vie pour la multitude. Avec le pape François nous avancerons sur le chemin du bonheur en accueillant et en vivant la miséricorde sur une terre marquée voici 70 ans par l’horreur de la Shoah, puis par le joug communiste. C’est là que sera proclamé : « Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde ». Puisse notre monde entrer dans une ère de miséricorde, de tendresse, de fraternité, d’humanité.
Il y a une absurdité dans les propos convenus de Mgr Pontier. C’est la mise en parallèle des divorcés remariés qui vivent en adultère et de toutes les autres situations dans lesquelles les personnes qui s’y trouvent sont victimes du destin ( stérilité, veuvage, répudiés, pauvres ) et non pas pécheurs. C’est écoeurant.
OK pour accueillir les divorcés remariés mais pas d’accord pour gommer leur péché qui est d’une très grande gravité. Avec ce gommage, comment endiguer le développement tragique des divorces et des remariages? Pas un mot là-dessus. Pas un évêque qui veuille déconseiller un remariage pour être fidèle au Christ!
Avec ce laxisme, l’Eglise porte une responsabilité directe dans tous les malheurs des enfants de divorcés et des répudiés dans les mois et les années à venir. C’est un scandale. Comme celui d’autoriser les remariés à être parrains ou marraines. Pour faire gentil-gentil avec eux, on condamne des enfants à avoir des parrains contre-témoins de l’Evangile. Avec les évêques, c’est toujours les plus faibles qui trinquent.
Et qu’on ne nous dise pas qu’une fois commise la faute de s’être remarié il n’y a plus moyen d’en sortir. Car il y a la séparation, et si celle-ci est impossible, la continence. Trouvera-t-on un évêque pour dire que là réside la solution? Leur refus de le faire est stupéfiant. La chasteté est-elle réservée aux prêtres? N’est-elle pas le lot des célibataires, des homosexuels, des gens mariés à certaines périodes? Il y a là une idolâtrie du sexe pour les autres. Mépris des laïcs, peur de perdre des avantages procurés par ces laïcs( argent? appuis?).
Michel,( suite) Je généralise le propos à partir de l’observation de cette aberration scandaleuse relevée dans le discours du président de la C;E;F, et qui malheureusement n’est qu’un exemple entre mille!!
Oui, vraiment, L’Eglise dévale la pente. Chaque jour, elle apparaît plus bas encore que la veille. Et dire que la liturgie nous fait dire chaque dimanche à la messe que notre Eglise est sainte, catholique, et apostolique, et aussi que notre évêque veille sur le dépôt de la foi. Cela finit d’ailleurs par poser un sérieux problème de foi, de voir dans quel état est maintenant notre Eglise.
Que faire? Faudra-t-il en venir, à la messe, au moment du « qui veille sur le dépôt de la foi », pousser un grand cri ? De fait, il pourrait être salutaire que nous soyons nombreux à avoir le courage de le faire. Car il ne suffit plus aujourd’hui d’arrêter tout denier du culte. Il faut désormais aller beaucoup plus loin et plus fort dans la résistance. C’est un devoir. La perte de foi, l’autisme, et l’aveuglement complets de nos évêques l’appellent malheureusement. Car il n’y en a pas un seul qui ait le courage de tirer le signal d’alarme auprès de ses collègues, et pas un seul qui daigne, ne serait-ce que dans une attitude pastorale élémentaire, écouter les cris de leurs brebis atterrées!
Mgr. Pontier est un de ces esprits faux qui font tant de mal à l’Eglise et contribuent à dégoûter de la religion catholique. Avec des propos entre niaiserie, hypocrisie, sens du vent qu’il renifle pour être au goût du jour et absence de lucidité, il présentera un jour ses comptes à Dieu. Le plus tôt serait évidemment le mieux pour le Bien des chrétiens,
Dans la parabole de la dernière heure, il convient désormais d’évoquer celui qui, bien qu’arrivé à la vigne dès l’aube, a quitté son poste dès que le premier rayon de soleil invitait à la lascivité…
UdP
Le bonheur ,comme dans un vieux slogan socialiste dés années 1950 ?
“L’idéologie de cette recherche prend racine au XVIIIe siècle, siècle des Lumières.
Selon la philosophie mise de l’avant, l’objectif de toute vie humaine est la vie elle-même,
plutôt que le service à Dieu ou au Roi. L’actualisation de soi et le bonheur deviennent des valeurs
centrales. La société est alors perçue comme le moyen par lequel procurer une bonne vie à
ses citoyens. Au XIXe siècle, cette conviction s’est manifestée dans la foi utilitarienne qui
croit que la meilleure société est celle qui offre « le plus grand bonheur au plus grand
nombre de personnes ». Au XXe siècle, elle a inspiré la planification de réformes sociales
et le développement de l’État-providence.”
http://www2.eur.nl/fsw/research/veenhoven/Pub1990s/97c-fullf.pdf
“celui de ceux qui connaissent l’épreuve de la stérilité, du handicap, du veuvage précoce, d’une affectivité blessée”. Est-ce que ” l’épreuve d’une affectivité blessée” représente les répudiés? Si non, c’est grave car ceux-là ne seraient même pas nommés! Si oui, c’est grave aussi car il ne s’agit pas seulement d'”affectivité blessée” mais d’irrespect d’une parole donnée devant Dieu, d’un échange de consentements, de rupture d’un engagement. Cet aspect n’est JAMAIS évoqué! Quel aplatissement du sacrement du mariage!
“ceux qui, remariés, cherchent à trouver leur place dans la société comme dans l’Eglise”: ces derniers trouvent beaucoup mieux leur place que les divorcés non remariés! L’église est en train, gentiment, d’admettre le divorce catholique. Quelle honte d’admettre comme parrain -marraine des divorcés remariés, QUEL SCANDALE POUR LES ENFANTS! L’évangile a prévenu: pour ceux qui scandalisent un seul de ces petits enfants… vous connaissez la suite? On dirait qu’un évêque ne connaît rien de son évangile. Car semble-t-il, ils ignorent quasi tous que le Christ a dit: pas de remariage après divorce (Mt 5, 32) . Saint Augustin l’avait bien compris voir p. 148 dans la Cité de Dieu dans Gallica).
J’ai lu attentivement ce discours de clôture. Tout est à l’horizontal pour trouver le bonheur sur terre. Les maux de l’humanité sont tous de même nature : les situations de péché comme les situations de pauvreté physique. Si la conversion n’est pas prêchée, si le péché n’est pas expliqué, si tout se vaut, les hommes d’Eglise n’accomplissent plus leur mission.
Ce n’est pas en comprenant et en acceptant toutes les situations peccamineuses, et en étant seulement “altruiste”, que la France retrouvera sa piété et sa moralité chrétienne.
Dans ce discours, il n’est pas question de “piété”, de “crainte de Dieu” (= crainte d’offenser Dieu), de force dans la foi, etc.., les dons du Saint Esprit qui devraient être la préoccupation première d’un Evêque. La relation de l’homme à Dieu n’est pas évoquée, il ne s’agit que de la relation de l’homme à l’homme. Cela, c’est le travail de la politique ; tandis que le travail de l’homme d’Eglise, c’est la sainteté des âmes et donc leur vie sur la terre conforme à la loi divine.
Mgr. Pontier n’a pas abordé non plus les grandes questions du respect de la vie : l’avortement, l’euthanasie, le respect de la loi du mariage, etc….
Monseigneur, votre discours manque de foi, manque de piété, et par conséquent manque de l’essentiel. Prions pour l’Eglise.
De la résistance en prière et pourquoi pas réclamer au haut et fort la messe de toujours.
Je pense qu’elle ne doit pas être célébré que chez nous tradionnaliste.
Toujours les mêmes discours inconsistants,toujours heureux ces messieurs,toujours à côté de la réalité!
La présence des remariés parmi les fidèles et fréquentant avec les mêmes droits au sein de la communauté seraient irréalisables; imaginez vous qu’is catéchisent sur l’indissolubilité du mariage, de la continence, du pêché de l’adultère, de la chasteté en cas de séparation, etc., pouvaient-ils en faire?!
Ils doivent être reçus, mais dans certes conditions.
Ils seraient des terribles mauvais exemples et il serait une invitation aux jeunes à fouler les mêmes chemins et à la société dans notre ensemble,