Des cardinaux auraient affirmé ne pas avoir signé la lettre ou même ne pas en avoir pris connaissance. D’autres affirment qu’il y a bien eu un message adressé au pape, mais que la teneur de cette lettre, tant critique sur la procédure que sur les éventuelles orientations doctrinale (ces deux critiques se rejoignent dans la crainte d’un rapport final déjà préparé à l’avance contenant des thèses contestables et incompatibles avec la foi catholique), aurait dû rester confidentielle. On apprend également, par le blog Rorate Caeli, que si 4 noms peuvent être retirés, 4 autres noms peuvent être ajoutés, à savoir: les cardinaux DiNardo (Galveston-Houston), Njue (Nairobi, Kenya), Rivera (Mexico) et Sgreccia (président émérite de l’Académie pontificale pour la vie). Enfin, la presse, même progressiste, ne nie pas l’existence de cette lettre, ni le malaise qu’elle révèle au synode. Non, contrairement aux tentatives de ridiculisation, ce n’est pas le Da Vinci Code qui se serait invité au synode, mais bien une crise ouverte…
Les cardinaux Vingt-Trois, Erdo et Scola ont démenti avoir signé cette lettre, contrairement à ce que dit Sandro Magister sur son blog. Ce personnage semble être un affabulateur.
On devrait obtenir communication de cette lettre et de ses sigantaires.
Ainsi tout serait clair et les polémiques (un peu puériles) au sujet des signataires éteintes.