Le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, président délégué du Synode sur la famille. Lundi matin, devant les pères synodaux, il a reconnu que la pression médiatique autour de cet événement était importante.
« Malgré nos différences, nous ne voulons pas vivre ce temps comme une épreuve de force dont les micros et les caméras seraient les arbitres. Nous voulons le vivre comme un temps de conversion commune, dans la force de la communion ».
Il a pris la parole lors de la conférence de presse de la mi-journée pour revenir sur l’ouverture des travaux du synode. Ce fut l’occasion pour lui de répondre à plusieurs questions et de bien recadrer certains points.
«Si vous êtes venus à Rome dans l’espoir d’en repartir avec un changement spectaculaire dans la doctrine de l’Église, vous allez être déçus».
«Ce n’est pas parce quelqu’un dans le clergé déraille par rapport à la règle que cela rend notre parole inaudible sur la sexualité».
«Si vous avez imaginé un instant» que la «théorie» du cardinal Walter Kasper, «élaborée il y a vingt ans au bord du Rhin», «consisterait à ouvrir indifféremment la communion aux divorcés remariés, (…) sans démarche personnelle, vous vous trompez».
Votre enthousiasme est étonnant ! Quand on lit “la «théorie» du cardinal Walter Kasper […] consisterait à ouvrir indifféremment la communion aux divorcés remariés, (…) sans démarche personnelle, vous vous trompez”, cela signifie bien qu’il y a discussion sur ce point !
Mgr Vingt-Trois envisage donc bien la possibilité de communion de gens adultères publics, avec “une démarche personnelle” dont on sait à quel point elle est bidon…
Le synode fonctionne-t-il comme une assemblée soviétoïde ?
« Ceux d’entre nous qui avons un certain âge, nous nous souvenons encore des engageantes assemblées du Comité central du Parti communiste de l’Union soviétique – ces assemblées aux discours interminables, ponctués d’applaudissements non moins interminables, qui prêtaient au régime soviétique une apparence de structure participative. Néanmoins, mis à part leur indéniable valeur cosmétique et folklorique, tout le monde savait que le résultat des votes et des débats étaient décidé au préalable par le politburo du Parti : le petit groupe entourant le despote de service. Que ce fût Lénine, Staline ou Brejnev. La gauche est ainsi : despotique et liberticide par nature, mais désireuse cependant de donner une image de participation. Elle aime que l’assemblée décide, mais qu’elle décide ce que dicte le Grand Leader. »
Ce n’est certes pas une assemblée de parti politique qui vient de s’ouvrir à Rome, note Francisco Soler Gil, mais un synode de l’Eglise catholique : un synode que le pape a voulu marqué par « l’absolue transparence qui construit la synodalité authentique et la véritable collégialité ».
(…)
http://reinformation.tv/synode-assemblee-sovietoide-dolhein-43652-2/
Merci Monseigneur !
L’information est très grave, car Mgr 23 dit que la proposition du cardinal Walter Kasper a simplement été mal comprise et que la communion aux divorcés remariés, du moment qu’il y a une démarche personnelle, cela ira.
Cette posture que se donne Mgr Vingt-Trois de faire le matamore courageux pour recadrer soi-disant la presse alors qu’en réalité il se vautre devant elle est insupportable. la roublardise et le sophisme sont portés par lui à leur plus haut niveau.
Et tout ça pour y arriver, après avoir bourré le mou à tout le monde, à cette aberriu bout
(Suite et fin d’ Henri, car il y a eu un incident technique semble-t-il interrompant le message)
à cette aberration de l’ouverture de la communion à des personnes divorcées remariées qui prévoient de demeurer dans cet état (et sans pratiquer la continence).
Là dessus, le propos, complètement voilé comme d’habitude par notre sphinx patenté, en réalité ne laisse pas de doute: le synode va nous vendre une usine à gaz personnalisée aux petits oignons à l’issue de laquelle les participants, ou en tout cas certains d’entre eux qui auront montré patte blanche, se verront ouvrir l’accès à la communion sans pour autant avoir quitté leur état adultère.
Je note une désinformation à l’œuvre dans le discours mensonger qui est tenu. Il est faux de dire qu’il n’y avait aucune démarche personnelle dans la proposition de Kasper telle que formulée en ouverture de la première étape du synode: il y avait bien déjà une usine à gaz personnalisée. C’est très habile, ce mensonge là. Cela va permettre de dire que le synode va ouvrir la communion aux divorcés remariés, mais en disant qu’on le fait très intelligemment, beaucoup mieux que ce qu’avait proposé Kasper. Personne n’y comprendra grand chose à tout cela -, et pour cause, on est en plein sophisme- et la couleuvre sera avalée y compris par ceux qui étaient contre cette folie.
Ce que dit Mgr Vingt-Trois à propos de la démarche proposée par le cardinal Kasper est faux. Il y avait bel et bien une démarche pénitentielle personnalisée, ne vbien
Correctif : je vois en relisant le texte de Mgr Vingt-Trois que je me suis trompé, mais finalement cela ne rend que plus inquiétant le propos du cardinal Vingt-Trois. En fait, il ne dit pas que la démarche proposée par le cardinal Kasper est indifférenciée et non personnalisée. Il dit l’inverse, (avec lui, on finit vite par tout comprendre de travers ….). Mais c’est encore plus grave, car cela veut dire qu’il défend cette démarche, et cela donne à penser que cela pourrait bien être repris comme proposition du synode , et finalement par le pape qui dès le départ était très pro Kasper.
Tous ces sophistes nous mènent droit au naufrage.
Heureuement pour eux que le bien est seulement un idéal et non pas un devoir, comme c’est la nouvelle mode de le dire, car de fait, le bien, ils en sont loin!!!
Le Christ est présent dans l’hostie consacrée oui ou non ?
Si le Christ est notre chef s’il est présent à l’Eucharistie, alors il traitera le fidèle comme il le voudra.
Laissons le faire et avertissons le fidèle du danger d’aller manger le Christ avec un coeur impur ! Voilà le rôle de l’Eglise
Car le Seigneur n’aime pas les hypocrites !
Car le Seigneur est celui qui jugera !
Laissons le faire !!!
Quand je dis “Amen” à la proclamation de ” Corps du Christ ” je sais que j’ai sacrifié le Seigneur pour me sauver de mes péchés passés, c’est à dire que je suis conscient que j’étais responsable à mon échelle de sa mort.
Voilà l’enseignement de Jean au chapitre 6 !
Que le divorcé remarié se juge avant d’aller manger le Seigneur Jésus