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L’abbé Bouchacourt (FSSPX) appelle à prier pour le synode sur la famille

Commentaires (4)
  1. Menager dit :

    merci d’avoir transmis les dires de L’abbé Bouchacourt
    quel dommage que vous n’ayez pas rangé votre “pique sur 2014 ” aux oubliettes des rancunes.
    on en crève de tous ces ” Bravo ,oui mais….” qui empoisonnent les catho.
    seriez vous républicains

    bravo et merci pour vos annonce,mais rien non rien; chacun fait son devoir la ou la Divine Providence l’a mis sans” piquer” son prochain

    Thaddée

    1. Jean-Marie Vaas dit :

      La pique me semblait excessive, mais je prend la précaution de l’indiquer, car des amis de la FSSPX ont trouvé que certaines initiatives passées étaient inutiles. Il faut savoir être équilibré dans ces appréciations: nos approbations ne sont pas des flatteries. Et ce sont peut-être de saines critiques qui ont manqué à la FSSPX. Mais pour être honnête, il faut bien reconnaître que, dans le monde catholique, la FSSPX est aussi le groupe catholique qui pratique le mieux l’auto-critique. Ce qui est rare, par exemple, en milieu dit progressiste.

      1. Observateur dit :

        Je vous remercie de cette information, que la Fraternité Saint-Pie X est capable d’auto-critique. Si cette information est vraie, c’est très récent et très encourageant.

        @Menager : une fois de plus, la Fraternité réclame pour elle-même une mansuétude qu’elle refusait jusqu’ici à tous les autres (jusqu’à l’heureuse nouvelle transmise par l’auteur). JM Vaas a été très mesuré dans son propos, croyez-moi. Je n’insiste pas, ayant constaté l’incapacité de la Frat à argumenter.

        Dieu merci les temps changent. Je prie pour la pleine réconciliation.

        Je comprends que JM Vaas ait voulu rééquilibrer son propos pour vous ménager. De là à limiter l’Eglise au camp tradi et au camp moderniste… qu’un “émigré” type FSSPX y croie encore, c’est normal, c’était la summa divisio de 1962 (rien oublié, rien appris). Mais depuis le monde a changé, il faudra leur dire un jour, même avec ménagement.

  2. Jean-Christophe dit :

    A l’Abbé Bouchacourt

    Ne craignez pas trop pour l’Eglise, mais méditez toujours et encore les Ecritures ! Que demande le Seigneur Jésus à une femme, mariée cinq fois et vivant avec un homme qui n’est pas son mari ?
    ” Donne moi à boire ! ”
    et si cette femme en retour lui demande : ” donne moi ton corps à manger ! ” ? Méditons cela voulez vous ?

    Un seul mariage, cela sera toujours la vérité de l’Eglise, car nul ne peut briser ce que Dieu a uni. Le danger réside dans l’annulation d’un mariage, l’heure est grave en effet sur ce point précis.

    Quant à l’Eucharistie, n’est ce pas une rencontre mystérieuse entre le Seigneur et le fidèle ? Et si l’Eglise laissait au Seigneur le dernier mot à ce sujet ?
    N’oublions pas que nous sommes morts si nous ne mangions la chair du Seigneur ou si nous ne buvions son sang !
    En fait on ne peut pas dire aux divorcés remariés : vous êtes interdits de communion, mais rassurez vous, on vous confie à la Miséricorde du Seigneur ! c’est un langage tenu par l’Eglise qui n’est pas convenable !

    De toute façon quand nous disons ” amen ” en réponse à ” Corps du Christ ” imaginons-nous que nous acceptons avec cet ” amen ” de sacrifier nous même le Seigneur pour nous sauver de nos péchés, de le clouer sur la Croix pour nous sauver ? Et quand on accepte cela, alors le corps du Christ devient le pain de la vie.

    Jean-Christophe