Nous devons nous ressaisir et c’est urgent . L’homme perd de plus en plus les valeurs essentielles qui font de lui : Etre homme . Le monde est vraiment en grande dérive , nous vivons un temps où la cruauté de l’homme est au paroxysme , prions pour que l’ amour de Dieu remplisse nos cœurs endurcis , afin que notre monde soit compatissant et humain .
Laisser mourir de faim et soif n’est ce pas rajouter de la douleur? Le courage serait une piqure … Oui mais alors c’est de l’euthanasie …alors continuons a le soigner, nous sommes des êtres humains et non des animaux.
Avec douleur, vous êtes bon, encore.
Car la médecine définit très bien quelles sont les limites de l’alimentation et de l’hydratation…
CE QUI EST PROPOSE, et les majuscules s’imposent, C’EST DU SADISME PUR ET SIMPLE, PIRE MEME QUE CELUI DE BOURREAUX de toutes époques , TOUS CONFONDUS, et certains plus que d’autres…!!!
Laissez Vincent Lambert dans un service de soins palliatifs digne de ce nom, la mort arrivera un jour comme elle arrive pour tous! Celui qui écrit est un médecin qui a accompagné et accompagne de nombreuses personnes à la fin de leur vie! Arrêtons ce tapage médiatique. Qui sont ces juges pour ainsi rendre des avis iniques?
L’affaire (le drame) Lambert permet à chacun de choisir son camp : la vie ou la mort, ou encore la “complexité”. Lire les déclarations de nos évêques est instructif.
La seule personne qui prétends que Vincent Lambert aurait fait une déclaration anticipé désirant la mort plutôt que son état pausci relationnel est sa femme qui a tout intérêt a voir son mari disparaître pour retrouver sa liberté sans avoir a faire une demande de divorce compliqué ! Son témoignage est pour le moins suspecte
Merci à Monseigneur Barbarin de n’avoir pas abandonné le radeau quand tant de catholiques sont désespérés par un clergé qui ne fait plus guère entendre la Parole….
Des “droits de l’homme” qui tuent un homme, n’est-ce pas un exemple de culture de mort?
Dans les hôpitaux il y a une très grande lacune en kinésithérapie. Je l’ai constaté. Interdiction de faire intervenir des personnels soignants extérieurs aux services de l’hôpital, même en les rémunérant entièrement. Il est grand temps que la mainmise de l’hôpital sur le malade change ; il faut que la relation entre d’une part le malade et ceux qui compatissent à ses côtés et d’autre part les directions des hôpitaux et les personnels des hôpitaux changent. Le client c’est le malade ; il devrait être roi. Le serviteur c’est le personnel soignant en particulier et plus généralement la société dans sa globalité ; le personnel devrait être à l’écoute, et ne pas accaparer le malade comme sa propriété, comme on accapare du bétail ou des cobayes avec droit de vie et de mort. La société devrait chercher comment aider le malade et veiller à ce que tout ce qui est possible de faire, soit proposé comme moyen d’améliorer l’existence du malade.
On parle souvent de l’obligation de moyens ; mais cette obligation est floue ; qui définit les contours de cette obligation de moyens ? Cette obligation de moyens peut-elle se limiter à une liste pré-établie par un protocole ? Autrement dit : la charité du personnel vis-à-vis du malade est-elle limitée ou illimitée ? Nous qui entendons parler du cas médical présent par ce qui est rapporté par les intervenants , nous ne sommes pas convaincus que tous les moyens possibles pour améliorer l’état de santé du malade aient été mis en œuvre.
FT
Nous devons nous ressaisir et c’est urgent . L’homme perd de plus en plus les valeurs essentielles qui font de lui : Etre homme . Le monde est vraiment en grande dérive , nous vivons un temps où la cruauté de l’homme est au paroxysme , prions pour que l’ amour de Dieu remplisse nos cœurs endurcis , afin que notre monde soit compatissant et humain .
Laisser mourir de faim et soif n’est ce pas rajouter de la douleur? Le courage serait une piqure … Oui mais alors c’est de l’euthanasie …alors continuons a le soigner, nous sommes des êtres humains et non des animaux.
Avec douleur, vous êtes bon, encore.
Car la médecine définit très bien quelles sont les limites de l’alimentation et de l’hydratation…
CE QUI EST PROPOSE, et les majuscules s’imposent, C’EST DU SADISME PUR ET SIMPLE, PIRE MEME QUE CELUI DE BOURREAUX de toutes époques , TOUS CONFONDUS, et certains plus que d’autres…!!!
Laissez Vincent Lambert dans un service de soins palliatifs digne de ce nom, la mort arrivera un jour comme elle arrive pour tous! Celui qui écrit est un médecin qui a accompagné et accompagne de nombreuses personnes à la fin de leur vie! Arrêtons ce tapage médiatique. Qui sont ces juges pour ainsi rendre des avis iniques?
Mort, là est ta victoire !
L’affaire (le drame) Lambert permet à chacun de choisir son camp : la vie ou la mort, ou encore la “complexité”. Lire les déclarations de nos évêques est instructif.
La seule personne qui prétends que Vincent Lambert aurait fait une déclaration anticipé désirant la mort plutôt que son état pausci relationnel est sa femme qui a tout intérêt a voir son mari disparaître pour retrouver sa liberté sans avoir a faire une demande de divorce compliqué ! Son témoignage est pour le moins suspecte
Tout est dit dans cette courte phrase.
Merci à Monseigneur Barbarin de n’avoir pas abandonné le radeau quand tant de catholiques sont désespérés par un clergé qui ne fait plus guère entendre la Parole….
Des “droits de l’homme” qui tuent un homme, n’est-ce pas un exemple de culture de mort?
Il n’est plus à propos de parler de Sécurité Sociale ni d’Assistance Publique mais de barbarie publique !
FT
Dans les hôpitaux il y a une très grande lacune en kinésithérapie. Je l’ai constaté. Interdiction de faire intervenir des personnels soignants extérieurs aux services de l’hôpital, même en les rémunérant entièrement. Il est grand temps que la mainmise de l’hôpital sur le malade change ; il faut que la relation entre d’une part le malade et ceux qui compatissent à ses côtés et d’autre part les directions des hôpitaux et les personnels des hôpitaux changent. Le client c’est le malade ; il devrait être roi. Le serviteur c’est le personnel soignant en particulier et plus généralement la société dans sa globalité ; le personnel devrait être à l’écoute, et ne pas accaparer le malade comme sa propriété, comme on accapare du bétail ou des cobayes avec droit de vie et de mort. La société devrait chercher comment aider le malade et veiller à ce que tout ce qui est possible de faire, soit proposé comme moyen d’améliorer l’existence du malade.
On parle souvent de l’obligation de moyens ; mais cette obligation est floue ; qui définit les contours de cette obligation de moyens ? Cette obligation de moyens peut-elle se limiter à une liste pré-établie par un protocole ? Autrement dit : la charité du personnel vis-à-vis du malade est-elle limitée ou illimitée ? Nous qui entendons parler du cas médical présent par ce qui est rapporté par les intervenants , nous ne sommes pas convaincus que tous les moyens possibles pour améliorer l’état de santé du malade aient été mis en œuvre.
FT