Vendredi Saint, Mgr Lebrun a mené le chemin de croix à travers la ville de Saint-Etienne. Lors de l’office, il a déclaré :
Frères et sœurs, invités du Repas du Seigneur lors de la dernière Cène, nous avons compris que nous étions invités à la Croix de JESUS, avec son élan vertical vers le Père et ses bras horizontaux vers nos frères. JESUS nous invite à le suivre dans son sacrifice, ramenant à son Père l’humanité dispersée ; JESUS nous invite à le suivre dans son amour pour tous les hommes qu’il est venu chercher et rassembler par amour. Dieu sait combien ce chemin nous est difficile comme il l’a été pour JUDAS mais aussi pour PIERRE. Invités au repas du Seigneur, invités à la Croix de JESUS, devenons des invités de son Cœur : « Un des soldats avec sa lance lui perça le côté ; et aussitôt, il en sortit du sang et de l’eau » (Jn 19, 34). Le cœur transpercé de JESUS donne sa vie, donne la Vie dont l’eau et le sang sont les signes recueillis dans les sacrements. Laissons-nous aimer par le Cœur de JESUS. Nous ne saurons aimer comme JESUS si nous ne nous laissons pas aimer infiniment par le Fils bien-aimé. Par l’eau du baptême, nous sommes lavés, purifiés mais, surtout, adoptés par le Père de Jésus, adoptés en fraternité par Jésus lui-même. En priant largement ce soir aux grandes intentions de l’Eglise et du monde, nous demandons simplement – si j’ose dire – à JESUS de continuer d’ouvrir son cœur largement comme il le fit sur la Croix. En venant vénérer la sainte Croix, faisons un acte d’amour qui soit d’abord un acte d’accueil de l’amour dont le crucifié-ressuscité nous aime : « JESUS, je sais que tu m’aimes, je sais que tu as versé ton sang pour moi ». Puis nous communierons au corps et au sang de JESUS en recevant le Pain consacré hier dans l’attente confiante de la résurrection. Nous y recevrons le Fils en qui le Père a mis tout son amour ! Que la Vierge MARIE, qui a vu le cœur ouvert de son Fils sur la Croix, nous accompagne pour recevoir de Jésus tout l’amour dont nous avons besoin, tout l’amour qui dépasse ce dont nous avons besoin. C’est notre joie qui ne demande, pour grandir encore, que notre humilité.
Voilà un beau témoignage, dans une ville où les catholiques pratiquants sont devenus très minoritaires. Cela rappelle les processions de la Fête-Dieu dans les années 1950 !
Ce serait bien de s’en inspirer.
oui –pourquoi abandonne t on partout les processions qui étaient si stimulantes, si touchantes ? mieux que la messe, elles réunissaient les chrétiens, la marche donnait un élan si joyeux avec des chants magnifiques — remettons à l’honneur ces processions à la Vierge, aux saints signe de ralliement et d’appartenance–
l’Eglise esr frileuse et triste à présent– les messes sans chants sont baclées, les sermons sont répétitifs et monotones–debout pretres!! montrez vous!! sonnez les cloches!———– claquez au vent bannières de chrétienté -c’est plus que jamais le moment d’etre visibles
Retour a’ l’identite’. C’est merveilleux.
Un témoignage exemplaire en implorant la Vierge de nous soutenir par la Puissance de l’Esprit Saint +++
suivre toutes les souffrances du Christ à chaque station de son chemin de croix est quelque chose de très pénible, on se dit qu’est-ce que je peux faire pour être présent ? mais ici on se sent heureux du témoignage apporté à tous les incroyants, les indifférents; exemple à suivre
En prenant la tête de son troupeau cet évêque est un exemple qu’on désire suivre !
Grâce à Dieu, qui nous donne de tels évêques !
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