Perepiscopus

Baisse du denier dans le diocèse de Blois

Commentaires (5)
  1. Devgir dit :

    Comme n’importe quelle entreprise, tout simplement !

  2. Goupille dit :

    Cela est peut-être dû au départ de la Communauté Saint-Martin de Candé, et de Monseigneur de Germigny de Blois.

    Il va falloir faire preuve de rigueur et de qualité…

  3. Françoise dit :

    Si le montant du denier du culte a baissé dans ce diocèse, c’est peut-être parce que les paroissiens sont mécontents de leurs prêtres ou se sentent floués. La preuve ? c’est que dans d’autres diocèses, au contraire la collecte progresse d’une année à l’autre, souvent parce que les paroissiens sont fiers de leurs pasteurs et se sentent guidés convenablement.

  4. toto dit :

    Comme toujours pour la plupart des diocèses, le problème ce n’est pas les recettes, ce sont les dépenses.
    Les diocèses on voulu imiter l’Etat: vivre au dessus de leurs moyens. Mais la différence c’est que l’impôt est obligatoire, pas le denier…Et donc les fidèles doivent être contents pour passer à la caisse.
    D’accord avec Françoise à 100%

  5. Cassianus dit :

    Je trouve que les prêtres sont en général découragés de gagner de l’argent par la voracité des évêques et l’indigne tutelle que leur imposent les conseils économiques. Dans beaucoup de pays (parmi ceux que l’on catalogue comme pauvres), les curés se débrouillent tout seuls pour entretenir leurs bâtiments et financer les autres dépenses du culte. Il y en a qui sont dans l’abondance et d’autres qui font des visites à l’heure des repas pour se faire inviter. Mais ces derniers sont rares. En général, tous arrivent à faire tourner leur “boutique”. Les diocèses sont plus ou moins riches mais ne sont jamais au bord de la faillite. C’est dans les nations les plus développées, et en France particulièrement, que l’on ne cesse de faire appel à la générosité des fidèles tout en faisant semblant d’agir d’une manière complètement désintéressée.