Dans son audience générale du 11 février 2015, le pape François a invité les familles à « toujours accueillir la vie avec générosité ». Le pape a estimé qu’« une société avare de génération, qui n’aime pas s’entourer d’enfants, qui les considère surtout comme une préoccupation, un poids, un risque, est une société déprimée ». Le fait d’avoir plus d’enfants n’équivaut pas nécessairement à un choix irresponsable. Il a également ajouté que « si une famille généreuse dans l’accueil des enfants est regardée comme un poids, quelque chose ne va pas ! » Par ailleurs, il a indiqué que le choix « de ne pas avoir d’enfants » est « un choix égoïste ». Des propos bienvenus qui peuvent dissiper certaines ambiguïtés nées d’une compréhension hâtive – et aussi journalistique – de certains propos pontificaux.
Très curieux l’enseignement du pape, un jour il parle des familles de lapins un autre de l’accueil des enfants lorsqu’ils se présentent ! On a du mal à comprendre où il veut en venir, l’impression qu’il laisse est bien confuse pour qui attend une ligne de conduite sûre… heureusement le Nouveau Testament est plus simple à comprendre !
“certaines ambiguïtés nées d’une compréhension hâtive – et aussi journalistique – de certains propos pontificaux.”
C’est trop facile. Le Pape sait très bien ce qu’il dit et pourquoi il le dit. Il parle trop, à tort et à travers, mais c’est délibéré. Un coup à gauche, un coup à droite. Ce genre de conduite mène immanquablement dans le fossé.
“…dissiper certaines ambiguïtés…”
Dans son discours, le pape semble vouloir s’excuser de l’histoire des “lapins”… Même si l’on veut bien comprendre que cela s’adressait à un cas particulier, il n’en reste pas moins qu’il jette des réflexions sujettes à critiques plutôt que des références à la vraie doctrine. Nous n’avons que faire de ses pensées personnelles, en tant que pape, nous attendons qu’il nous donne l’explication de l’Evangile. Mais veut il être le Pape, représentant du Christ sur la terre ???
Dixit : Le pape a estimé qu’« une société avare de génération, qui n’aime pas s’entourer d’enfants, qui les considère surtout comme une préoccupation, un poids, un risque, est une société déprimée ».
Un très bon commentaire et pour l’anecdote des lapins: c’est une femme qui risquait sa mort en laissant ses nombreux enfants orphelins. Le risque était très grand dans ce cas particulier! Il proclame de nous servir de notre tête en certaines occasions sans vouloir tomber dans l’égoïste de nos sociétés dites modernes comme pour l’avortement entre autre…
L’anecdote des lapins si j’ai bonne mémoire, fait suite aux paroles adressées au Pape lors de sa visite aux Philippines (pays très catholique) par une adolescente en pleurs à propos des enfants des rues, enfants trop nombreux issus de familles pauvres qui ne peuvent les élever et les jettent à la rue, où ils errent sans toit, sans soins, forcés à mendier et se prostituer, exposés aux pédophiles, aux enlèvements et à l’esclavage sexuel. La Bible demande au chrétien de prendre soin des siens, les abandonner à la rue est irresponsable. C’était tout simplement un appel du Pape à la paternité responsable, soit l’espacement des naissances selon les lois naturelles autorisé par l’Eglise.
Le Pape s’adressait aux catholiques et non à la petite jeune fille qui s’était fait violenter comme beaucoup de jeunes là-bas.
Ce n’était pas une parole pour la foule, c’était dans l’avion en réponse à un journaliste, il a clairement dit qu’être catholique ce n’était pas vouloir “avoir une famille comme les lapins”. Terme injurieux pour les familles chrétiennes nombreuses et qui ont leurs enfants en étant ouvert à la vie. Son propos voulait sans doute dire qu’il fallait avoir moins d’enfants et bien les élever, ce qui est très juste mais il aurait pu dire cela sans prendre d’exemple parmi les animaux car les époux n’agissent pas comme des animaux.
Quant aux familles pauvres de Manille ou d’ailleurs, il serait bon de chercher à les “éduquer chrétiennement” et non les mépriser. Elles usent d’un don que Dieu leur a donné sans savoir le maîtriser surtout dans nos sociétés modernes où les mœurs n’ont plus rien à voir avec la morale.
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