Mgr Dominique Lebrun, évêque de Saint-Etienne, écrit :
“En ce jour de deuil national, la communauté catholique de la Loire s’associe à toute la nation en priant pour les victimes de l’attentat, pour leurs familles et leurs proches qui se trouvent face à l’horreur. Elle pense, en particulier, au monde des médias. Ce jeudi à midi, le glas de la cathédrale retentira. Une prière spéciale aura lieu dans chaque église dimanche prochain.
Toute vie humaine est sacrée. Pourtant, chaque jour des attentats transforment le monde en champ de bataille. Notre espérance est, cependant, invincible. L’amitié entre les membres des communautés religieuses dans notre département a plus d’avenir que le sang versé. Nous continuerons les dialogues et les rencontres avec plus de détermination.
Les chrétiens ont accueilli à Noël le Prince de la Paix, Jésus. Par sa vie et par sa parole, il apprend à répondre à la haine et à la violence par l’amour. Nous prions aussi pour que nous en soyons de fidèles disciples. La société peut compter sur les catholiques pour tenir leur place de citoyens, et relever les défis de la violence et des fondamentalismes.”
Fort bien et les policiers,Monseigneur,ils comptent pour du beurre à vos yeux?
Ils sont responsables de leur mort tragique … Par la dérision et le blasphème que ces journalistes maniaient à longueur d’années sans aucun respect pour les croyants – de n’importe quelle religion …
“A l’annonce d’un décès, les gens ont souvent tendance à parer le défunt de toutes les vertus. C’est encore plus vrai dans le cas d’une mort violente. Le phénomène est donc connu. Mais il prend une proportion quasiment socialement forcée après l’attentat commis contre la rédaction de Charlie Hebdo. Quiconque ne participe pas au concert louangeur est immédiatement perçu comme un monstre sans cœur par une société formatée par le matraquage médiatique univoque.”
(…)
http://www.contre-info.com/a-tous-les-cathos-mievres-et-aveugles
comme dit le Pape François, on est en guerre….
ce qui me parait grave c’est qu’une minorité (ils n’étaient que 2 ou 3 à Paris) puisse commettre de telles atrocités, dans un tel mépris de la vie humaine, et ça partout dans le monde…. n’est-ce pas hitler ou staline ou mao ou tout autre tyran qui recommencent à imposer leurs vues ? comment en venir à bout ? les protestations de nos évêques et consorts semblent bien dérisoires et sans consistance…. une américaine a fort bien parlé de ce problème pas nouveau :
https://www.youtube.com/embed/28d04OHyhwU
La vie de Charlie qui blaspheme depuis un demi-siècle contre le Christ est-elle plus sacrée que celle des autres ? Est-ce pour la vie de Charlie et donc la liberté de blasphémer que nous avons droit à un deuil national? D’autres vies, par exemple celles des moines de Tibhirine ou celle du jeune Ilan Halimi torturé à mort pendant des jours n’auraient elles pas mérité davantage que nos cathédrales sonnent le glas et que nos drapeaux soient en berne ?
Mais non ! C’est pour Charlie dont les enfants des écoles viennent d’apprendre que c’est un héros collectif que nous allons tous unis défiler sous l’égide du Président Hollande ! Dans les murs de l’école nos enfants vont apprendre à goûter la prose nauséabonde de Charlie et ses dessins odieux !
Et nous, nous cautionnons déjà cela en acceptant de défiler pour glorifier la liberté libertine, pour sceller l’alliance des médias et du pouvoir socialiste, grands bénéficiaires de cette liberté libertine toute puissante qui nous humilie et nous muselle .
Monseigneur est annexionniste : son diocèse ne couvre que la moitié du département
sur le fond, j’ai pitié des victimes innocentes, en particulier des policiers, mais ne pleure pas des dessinateurs et des journalistes qui ne faisaient que provoquer, et pas seulement les musulmans, et ont bien cherché ce qui leur est arrivé
Permettez-moi, Monseigneur, de prier également pour que le Père accueille auprès de lui les terroristes qui sont aussi ses enfants égarés.
Ils sont certes criminels et pécheurs majeurs, mais pas plus que les avorteurs en série et les euthanasieurs professionnels.
Mais en priant pour le repos des morts, de tous les morts, je ne pourrais laisser croire que j’aie un début d’approbation du mépris, de l’insulte et du blasphème.