L’archevêque du diocèse de Besançon écrit :
“Je vous souhaite un Noël de paix. Dans un monde traversé par la violence, nous aspirons tous à la paix. Notre terre est encore marqué par tant de guerres ; Irak, Syrie, Afrique de l’Ouest, Ukraine et bien d’autres pays souffrent de conflits incessants. Des hommes et des femmes meurent parce qu’ils ne partagent pas les opinions politiques, sociales et religieuses d’autres hommes. Des hommes et des femmes meurent parce qu’ils refusent de laisser leurs maisons et leurs terres. Des enfants et des adolescents sont assassinés. Le prix de la vie est au plus bas !
Notre pays est lui aussi trop souvent le lieu de la violence : violence sociale, économique, familiale et individuelle. Le vivre ensemble n’est plus le but de la vie en société. Chacun cherche son propre profit au détriment du bien commun.
A Noël, nous attendons un Messie qui apporte la paix au monde. Quelques soient nos convictions, nous pouvons souhaiter devenir des artisans de paix là où nous vivons. Chrétiens, nous croyons que l’enfant de la crèche est le Prince de la Paix. Il est remis à l’humanité pour que nous prenions soin de lui. Dieu s’abandonne entre les mains des hommes. Que la vulnérabilité de l’enfant transforme nos cœurs en cœurs de paix.
Dans un monde où chacun cherche un sens à sa vie, je vous souhaite un Noël de lumière. Les rues des villes et des villages sont parées de guirlandes lumineuses ; nos maisons s’éclairent dès la nuit tombée ; les bougies viennent éclairer l’intérieur de nos maisons.
La lumière est porteuse d’espérance ; elle éclaire la route de l’humanité que nous empruntons chaque jour. Quand la lumière se fait intérieure, elle ouvre aux décisions que nous devons prendre.
A Noël, chrétiens, nous confessons que l’enfant Jésus est la lumière née de la lumière. Il apporte la lumière de Dieu sur le monde. Dieu aime ce monde qu’Il a créé. Sur le visage de Marie et de Joseph rayonne la lumière de la joie de la naissance de l’Emmanuel, Dieu avec nous.
Je vous souhaite un Noël de paix et de lumière.
Le diocèse est-il en faillite que l’évêque ne peut plus acheter de rasoir ou sort-il de prison? Quant au message c’est du baratin religieux.
Étrange Noël que celui de 2014.
En ces temps qui sont les derniers l’ancien pays de grande chrétienté qu’était la France, semble étrangement revivre d’une manière particulière les événements de la nativité qui se déroulèrent en Judée voici 2014 ans.
Les caravansérails appelés “grandes surfaces” affichent complet. Le chemin de la crèche toujours escarpé, étroit et resserré est peu fréquenté, peu sont ceux qui le trouvent.
Les “Hérodes” modernes toujours au pouvoir aussi fourbes et cupides qu’Antipas poussés par de sinistres et obscurs conseillers, véritables personnages des ténèbres, ont décidé de lancer leurs sbires et nervis pour traquer les crèches : “Pas de crèches dans l’espace public!” Les vieillards de la “libre pensée” étaient réactivés et transformés en agents de la Gestapo, du Guépéou, du KGB, ils faisaient un travail remarquable, les ordres des loges étaient clairs :
– Cherchez partout! Dans les rues, les places publiques!
– Nous avons trouvé une crèche dans un couloir de mairie et nous l’avons dénoncé au juge!
– Parfait! C’est bien, délateurs fidèles et collabos utiles, continuez, allez sur les chemins, dans tous les recoins … N’oubliez pas les grottes, on nous a déjà fait le coup! Il ne faut pas qu’il naisse ou qu’il renaisse!
Après avoir exécuté la danse du ventre devant le despote, Les favorites, mêlées aux courtisans et aux bouffons, avaient réclamé la tête du Zemmour, lointain parent du Baptiste, afin qu’il ne parle plus.
Le massacre des innocents avait été institutionnalisé par une fille de la descendance de la tribu de Judas. Les élites, toutes tendances confondues, haïes et détestées du peuple, s’étaient réjouies d’avoir changé la loi en ” Droit fondamental”. L’euthanasie sournoisement prenait force et vigueur, la mort allait régner en maître. Le peuple ne chante plus sa délivrance il n’est plus debout ni à genoux, il est couché! Certains, parfois, ouvrent un œil après un cauchemar :
– Nous avons vu des couteaux trancher des têtes!!!
– Ne vous inquiétez pas, il s’agit d’un déséquilibré … on s’en occupe. Regardez donc Drucker et Sébastien les meilleurs anesthésistes de France. Et joyeuses fêtes d’hiver!
– Mais monsieur, il n’y a pas d’hiver … Pas de neige!
– Foin de ces Gaulois, jamais contents!
A tous les passéistes, les attardés, les rétrogrades, les intégristes, les fanatiques : Joyeux Noël quand même. Un sauveur nous est né … Il va venir!
Viens, Seigneur Jésus!
baratin religieux. Ça sent la fin.
Gérard Authier, auteur de ” Homme qui es-tu? Fils de singe ou fils de Dieu?”
Même le cantonnier de mon village avec sa brouette dans les années 50 n’aurait jamais osé sortir avec cette tête…. Pas étonnant qu’on s’essuie les pieds sur nous les cathos. On fait honte.
@ Gégé
Magnifique ! On dirait du Dickens …. En hiver .
Que de tristesse déjà la photo ……mais ensuite je ne retrouve aucune étincelle de Foi et de joie dans sa lettre de voeux, il faut écrire avec le coeur Monseigneur ensuite les “montagnes ” se déplaceront.