Mgr Bernard Podvin doit avoir une peur bleue de Riposte catholique. Le porte-parole de la CEF a diffusé une tribune sur le rôle d’internet dans le terrorisme (il cite le djihad) :
“Il est fréquent de dire que le terrorisme est une hydre. Un mal qui « se renouvelle constamment et semble augmenter en proportion des efforts faits pour le détruire » selon le dictionnaire. Mais il serait plus pertinent (et, ô combien urgent !) de mobiliser les compétences qui « maîtrisent » le numérique. L’hydre a désormais un caractère inédit.
En amont, Internet est vecteur d’une fascination sans médiation qui provoque un enrôlement dans le djihad.
En aval, Internet est démultiplicateur d’une diffusion sans retenue des horreurs perpétrées.
En amont, le discernement se radicalise.
En aval, l’atrocité provoque la sidération de l’internaute.
Formater et sidérer, voilà ce dont le terrorisme se repaît !
Inhiber en séduisant.
Inhiber en horrifiant.
Toutes les forces scientifiques, politiques, éducatives et spirituelles doivent se concentrer contre cette nouvelle « rationalité » sanguinaire. Péguy, le visionnaire, ne connaissait pas Internet, mais nous pressait déjà de lutter contre « tout élément de peur qui soit invasion de servitude, invasion de notre vie intérieure ».”
Pour une fois Mgr Podvin n’a pas tort!Sa seule erreur est de ne pas élargir son propos:perversion politique mais aussi intellectuelle, morale,affective,esthétique!Toutes les grandes entreprises internet américaines sont pourries jusqu’à l’os et il faudra bien un jour créer un réseau parallèle,controlé et sur notamment pour les mineurs mais comme les adultes occidentaux sont en grande majorité infantiles,la tache sera vaste !
à brandenbourg : peut-être faudra-t-il faire appel à Notre Dame du Rosaire ?
” Notre Dame du Rosaire et l’hydre nouvelle ”
http://cril17.info/2014/10/07/fete-de-notre-dame-du-rosaire-7-octobre-2014/
Internet, comme la langue d’Esope, peut être la meilleure et la pire des choses. On pouvait en dire autant de la radio, de la télé avant même l’avènement du numérique. Mgr Podvin découvre la lune et enfonce des portes ouvertes. Il ferait mieux de s’interroger sur l’attitude ambigüe et souvent à la limite de la complaisance de nombreux clercs et laïcs face à un islam, dont ils n’ont voulu voir que les cotés respectables, la foi, la prière, le jeune, l’aumône sans bien mesurer le caractère sectaire, discriminatoire et liberticide d’une religion, qu’ils auront naïvement aidé à s’implanter et dont ils découvrent et déplorent aujourd’hui (et trop tard) les dérives et les dangers pour la cohésion nationale…