Une photo parlante publiée par La Nacion… |
La présidente chilienne Michelle Bachelet en a fait une opération de publicité : elle a participé elle-même à une campagne de vaccination de fillettes de 9 ou 10 ans dans les écoles contre le papillomavirus humain (HPV) qui a démarré ce mardi. 125.000 petites filles devraient recevoir la piqûre gratuite au cours des prochaines semaines, ainsi qu’une deuxième dose dans un an. Dès la rentrée prochaine, on doublera ces chiffres au nom de la lutte contre le cancer de l’utérus.
Michelle Bachelet a expliqué qu’il s’agissait là d’une opération « égalité » au bénéfice des familles pauvres qui ne peuvent s’offrir le coûteux vaccin : à 80.000 pesos argentins, soit près de 105 euros la dose, il est hors d’atteinte pour la majorité des familles modestes. On mesure cependant l’intérêt de l’opération pour le fabricant du vaccin pour cette seule opération chilienne…
Mais ce ne sont pas seulement les « vaccino-sceptiques » qui sont réticents à l’égard du Gardasil ou du Cervarix – noms commerciaux du vaccin –, qui aurait une action préventive sur l’infection par les quatre lignées les plus fréquentes du virus HPV qui en compte quelque 150.
Ce virus provoque entre autres les cancers du col de l’utérus qui au Chili représente la deuxième cause de mortalité parmi les femmes en âge de procréer.
A vue de nez, éviter ces maladies peut paraître intéressant. Mais plusieurs facteurs sont à prendre en compte. Le premier, c’est que les cancers provoqués par le HPV (et qui affectent les zones génitales ou la bouche) sont des maladies transmissibles à travers la communication du virus, généralement lors de relations sexuelles, et elles sont liées le plus souvent à la multiplication des partenaires sexuels. Faut-il donc considérer toutes les fillettes de 9 ou 10 ans comme étant à risque ? Si problème de santé publique il y a, il est surtout dans l’acceptation d’une promiscuité dangereuse.
Deuxième point : si le cancer du col de l’utérus se soigne relativement bien, et même bien s’il est dépisté à temps, on n’a pas autant de recul sur le vaccin anti-HPV.
Le Japon a décidé en octobre dernier de cesser de soutenir les campagnes de vaccination, demandant aux autorités sanitaires d’interrompre l’administration du Gardasil et du Cervarix tant que des doutes sur sa sécurité n’auront pas été levés. La décision faisait suite à une étude d’un cardiologue japonais, Sataro Sato, qui a recensé plus de 2.000 effets secondaires négatifs en réaction au vaccin au Japon depuis son introduction en 2010 : 358 cas ont été répertoriés comme graves.
Les fabricants préviennent d’ailleurs dans les notices du vaccin qu’il peut provoquer des attaques ou des dommages cérébraux : le ministre japonais de la santé a reçu nombre de descriptions et de vidéos de problèmes constatés après la vaccinations : difficultés à marcher, apparition de tics, pertes de connaissance brutales, cécité, paralysie, difficultés d’élocution, syndrome de Guillain-Barré et autres – y compris la mort. Une association nationale de victimes a été créée pour mettre en garde les parents contre les vaccins anti-HPV.
Le Dr Sato assure que les effets à long terme de ces vaccins ne sont pas connus, alors même qu’il y a une liste de victimes qui s’allonge. Aux Etats-Unis, elle s’élevait à 28 morts pour la seule année 2008 selon « Judicial Watch », qui s’alarme de voir ce vaccin administré massivement à des pré-adolescentes sans que soient connus ses effets sur le risque de développer un cancer et sur leur système immunitaire ou reproductif, ni ses effets génétiques.
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Dégoûtant ! Et où est la liberté du consentement chez des fillettes même pas informées des risques encourus par l’usage du vaccin probablement inutile si elles deviennent des épouses chrétiennes fidèles ? De la violence pure et simple. Mais les bénéfices des laboratoires, c’est le souci n° 1 ici.
Effectivement Françoise,
il y a des décennies que l’on a mis en évidence que le HPV (human pailloma virus) à l’origine du cancer du col de l’utérus ne se transmet exclusivement que par voie sexuelle.
Il y a longtemps déjà que des études (sérieuses) avaient montré que le HPV était préférentiellement présent chez des femmes ayant des partenaires multiples et qu’il n’était pas présent chez des religieuses n’ayant pas de relations sexuelles.
Le cancer du col dépisté assez tôt (par frottis) se traite assez bien (par conisation, résection ou radiothérapie locale).
Par contre, ce qui est certain, c’est que ce vaccin (comme d’autres) peut avoir des effets secondaires graves, notamment neurologiques (entre autres).
Puisque ces fillettes sont mineures, ce devrait être les parents, dûment et complètement informés des risques éventuels, qui prennent la décision de faire vacciner leur fille ou non (même mis gratuitement à disposition).
Dans ce cas, il n’y a absolument aucun risque épidémique, et donc aucune justification d’une vaccination de masse OBLIGATOIRE.
Pauvres petites filles saines qui vont peut-être souffrir d’une grave maladie dans peu de temps.
Les gouvernements actuels se mêlent de gérer des domaines, le privé en particulier, qui ne les concernent pas.
Cela devient une dictature !
Et pourquoi s’en prendre aux petites alors que les hommes “sautent” sur tout ce qui est féminin ?
Ne peut-on pas envisager d’éduquer les comportements au lieu de sacrifier toute une jeunesse ?
Le monde sans Dieu est vraiment un monde à la dérive !!!
les fillettes chiliennes pauvres sont des cobayes humains :
– dans un premier temps, les prédateurs sexuels seront lâchés sur ces pauvres filles, car il est probable qu’elles ne pratiqueront pas (du moins, pas de leur plein gré) le vagabondage sexuel qui justifierait ce vaccin.
– dans vingt ans, on comptera combien sont mortes, combien sont malades, aveugles, stériles, paralysées… et combien ont le cancer de l’utérus. On prendra l’air catastrophé de rigueur pour prétendre s’apercevoir que toutes ces souffrances n’auront servi à rien. On versera quelques milliards à GSK (fabricant de Gardasil) pour le dédommager de la perte de revenus que constitue la fin de la commercialisation de ce poison, et on oubliera les chiliennes.
On choisira un autre pays pour tester le vaccin suivant.
Et ça durera aussi longtemps que les francs-maçons seront à la fois aux commandes de ces sociétés et des gouvernements. Qu’est-ce qu’on attend pour les chasser ?
L’humoriste avait raison : la dictature, c’est : ferme ta gueule, la démocratie, c’est : cause toujours.
C ‘est dommage d’hipothéquer l’avenir de ces jeunes filles et l’éducation où est-elle ?
Tous les vaccins contiennent des additifs dangereux, dont des métaux comme l’aluminium, responsables de maladies neuro-dégénératives. Ici, ces vaccinations staliniennes équivalent à un viol pour un risque inéxistant et fabriqué par les propagandes des ministères de la santé, inféodés aux labos.
Criminel !