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Comment l’enseignement diocésain tue la liberté scolaire

Commentaires (13)
  1. Kanjo dit :

    l’enseignement privé sous contrat est-il encore catholique ? Il y a bien longtemps qu’on ne parle plus d’école libre, ou du moins que cette expression ne concerne plus que des établissements hors contrat.

  2. Jean-Pierre Delmau dit :

    Pourriez-vous exprimer plus clairement :
    ” Inversement, les établissements privés sont également tenus de signaler aux rectorats le nom des familles de leur collège qui font à la fois une demande pour un lycée privé et pour un lycée public afin que, là aussi, leur affectation dans le public soit neutralisée. On arrivera donc bientôt a une nomenclature des établissements privés dans les applications des rectorats, à côtés des établissements publics et la dernière possibilité de choix concurrentiels sera définitivement perdue en France”.
    Que signifie “neutralisée” ? Quel est le lien entre le fait que l’Académie soit informée, et le fait que “la dernière possibilité de choix (soit) définitivement perdue” ?
    A mon avis, ce lien n’est pas clair, ce qui suppose alors que les familles ne le verront pas.
    Merci d’éclaircir pour le bien de tous.

    1. sygiranus dit :

      Cessez donc de prendre, vous aussi, les familles catholiques pour des incultes, incapable de lire le français et de constater le jeu pervers des rectorats !

  3. Giroud dit :

    Honteux ! Une fois de plus, nos évêques font le jeu d’un gouvernement qui hait les familles et le bien des enfants. Ils pactisent avec ce qu’ils devraient interdire : comme on voit qu’ils n’ont pas d’enfants … et comme ils se moquent de ceux des autres !
    Oui, honte à ces lâches et ces traîtres.

  4. gerard dit :

    Mais ou vas l’Église Catholique ,il n’y a pas a dire mais depuis Vatican II sa s’effiloche?

  5. KINDEL MAURICE dit :

    Une pétition! Vite! Virons les vipères au sein des diocèses!

  6. Jamet dit :

    N’est-il donc pas possible que les parents d’élèves s’organisent (dans ou hors associations) pour demander des comptes, voire menacent ces évêques qui se conduisent comme les séïdes de la République, République dont ils embrasse la haine qu’elle a pour les Français, Une République qui je le rappelle est sensée être composée de gens qui nous “représentent” ! Ces évêques qui désirent leur républicanisation, s’ils entrent dans ce système, ne deviennent ni plus ni moins des fonctionnaires auxquels nous pouvons demander des comptes !
    Les parents ne sont ils pas désormais dans l’obligation d’entrer en résistance ?!
    Ou tout le monde est-il frappé d’envie suicidaire ?
    Ces situations sont monstrueuses et insupportables !

    1. Agnès Nivault dit :

      Les parents d’élèves qui essayent de s’organiser se rendent vite compte qu’ils sont très seuls… La plupart des parents préfère se laisser berner plutôt que de relever ses manches, sans réaliser les conséquences de leur indifférence.

      L’enseignement privé sous contrat n’est plus catholique, sauf exception peut-être. C’est une étiquette mensongère, qui induit les parents en erreur. Dans notre diocèse l’évêque couvre tous les dérapages. Inutile de lui demander -non pas des comptes mais des éclaircissements sur sa position, car il ne répond pas.

      La seule solution, pour protéger nos enfants du formatage à la culture de mort, consiste à rejoindre le hors contrat… choix difficile et douloureux financièrement, mais l’enjeu en vaut la peine.

  7. Gérard AUFFRAY dit :

    Je m’associe au commentaire de Mr J.-P. Delmau vous demandant de mettre plus de clarté dans vos réflexions sur ce nouvel aspect des rapports “enseignement public – enseignement privé”. Par exemple, que signifie l’expression bizarre “nomenclature des établissements privés”, dénoncée ici comme un péril majeur ?
    A l’avance merci !

    1. sygiranus dit :

      Voir plus haut ! ! ! où apprenez à lire !

  8. BUFFON dit :

    Il y a bien une solution : les parents qui veulent déclarer leur liberté de choix des établissements par deux ou plus inscriptions simultanées dans le public ou le privé : la voici.

    Dans l’établissement où sont leur(s) enfant(s), ils ne communiquent leur démarche qu’à ceux qui sont concernés.
    Qu’ils gardent pour eux leur liberté de ne pas dire ce qu’ils veulent faire ou ont fait.
    La seule différence consiste à leur demander le renseignement.
    La seule réponse libre (liberté, égalité, fraternité, parlons-en !!!) c’est de ne donner que le minimum indispensable.
    Le privé ne communiquera que l’inscription dans le privé, le reste ne regarde que lui.
    Que tous les parents concernés agissent de même.
    Si on les oblige, menace, sanctionne, c’est qu’on est déjà dans un Etat totalitaire.

    Toute vérité n’est pas bonne à dire.

    C’est le moment de le faire savoir.

    Bonne chance et bon courage.

  9. KINDEL MAURICE dit :

    Il n’y apas que cette personne! A quand le grand ménage des vipères diocésaines? Voir le laxisme envers l’enseignement catholique et la liturgie où des laics (ques) veulent imposer leurs points de vue.

  10. charlier dit :

    Assez d’enfumage, cela dure depuis 50 ans! il n’y a plus d’écoles dites “catholiques” car nous le constatons, les catéchismes et aumônneries son carencées ou bien n’existent plus, et sont remplacés par des interventions d’associations propagandistes qui interviennent dans les classes! les parents confiants ne devraient plus l’être!
    Nous devons exiger que le corps ecclesiastique affiche son vrai visage c’est tout!