Le pape François s’est de nouveau livré à un entretien impromptu avec la presse lors de son voyage de retour depuis la Terre Sainte, répondant de manière informelle, pendant trois quarts d’heure, aux questions d’actualité qui lui étaient posées. Il s’est notamment exprimé sur l’affaire des « divorcés remariés » qui préoccupe bien des prélats à Rome depuis les déclarations du cardinal Kasper proposant d’ouvrir le débat sur leur accès à la communion et la fronde des évêques allemands à ce sujet.
Le quotidien espagnol La Razon a publié une retranscription de l’entretien.
Voici la réponse du pape sur le divorce :
« Je vous remercie pour la question sur les divorcés. Le synode sera sur la famille, ses problèmes, sur la richesse de la famille, la situation actuelle de la famille. La présentation liminaire faite par le cardinal Kasper comportait cinq chapitres. Quatre sur les choses belles de la famille du point de vue théologique, les problématiques familiales, le problème pastoral des séparations, la nullité matrimoniale, les divorcés et le problème de la communion…
Je n’ai pas aimé que tant de personnes, y compris au sein de l’Eglise, des prêtres, etc., aient parlé de la communion pour les divorcés comme si tout se réduisait à une casuistique. Nous savons qu’il y a une crise de la famille. Les jeunes ne veulent pas se marier et ils ne se marient pas, ils cohabitent… Je ne voulais pas que nous entrions dans la casuistique : ce que l’on peut faire ou ce qu’on ne peut pas faire… C’est pourquoi je vous remercie tant pour cette question, puisqu’elle me donne l’occasion de clarifier. Le problème pastoral de la famille est très, très vaste et on ne doit pas le développer cas par cas. Ce que le pape Benoît a dit trois fois – une fois dans le Haut Adige, une autre fois à Milan et une autre encore lors d’un consistoire – est qu’il faut étudier les procédures de nullité matrimoniale. Etudier la foi avec laquelle une personne s’engage dans le mariage, et rendre évident que les divorcés ne sont pas des gens bizarres. On les traite souvent comme s’ils l’étaient. Je suis sûr que c’est l’Esprit du Seigneur qui nous a aidés à choisi ce thème pour le synode. La famille a besoin de beaucoup d’aide pastorale. »
Voilà qui « clarifie »… très peu de choses.
On notera qu’interrogé sur le résultat des élections européennes et la « montée du populisme », le pape a botté en touche, assurant ne pas en avoir eu de nouvelles :
« Je sais qu’on parle de la confiance ou du manque de confiance en l’Europe, on dit que certains veulent sortir de l’euro… Je ne comprends rien à tout cela. Mais il y a un mot-clef, le chômage. Cela est grave et je l’interprète en simplifiant ainsi : nous sommes dans un système économique multiple qui met l’argent au centre, et non la personne humaine. Un véritable système économique doit mettre au centre l’homme et la femme. Ce système économique que nous avons met l’argent au centre et pour s’équilibrer il doit prendre quelques mesures de débarras : on se débarrasse des enfants, ainsi que l’indiquent les chiffres de la natalité en Europe. Et on se débarrasse des anciens. Aujourd’hui on les recherche parce qu’ils sont retraités et qu’on a besoin d’eux, mais on se débarrasse des anciens, y compris dans des situations d’euthanasie dissimulée dans beaucoup de pays. (…le pape évoque le chômage des jeunes en Espagne.) Cette culture du déchet est gravissime. Ce système économique est inhumain. »
Sur les prêtres mariés :
« L’Eglise catholique a des prêtres mariés. Des Grecs catholiques, des Coptes catholiques, il y a en a dans le rite oriental. Parce qu’on ne débat pas à propos d’un dogme, mais d’une règle de vie que j’apprécie beaucoup et qui est un don pour l’Eglise. Ne s’agissant pas d’un dogme de foi, la porte est toujours ouverte. »
Et pour finir : y a-t-il une date pour la béatification de Pie XII ?
« La cause de Pie XII est ouverte. Je me suis renseigné et il n’y a toujours aucun miracle. Il manque un miracle pour passer à l’étape suivante. Nous devons attendre pour voir ce qu’il en est de la réalité de cette cause. La vérité est celle-ci : il n’y a pas de miracles. Il en faut au moins un pour la béatification. »
Dans son article du 28 mai page 10, le Figaro ajoute sous la signature de Jean-Marie Guénois, à propos du mariage des prêtres, mais ce n’est pas une citation du pape :” il n’est pas opportun pour lui de faire évoluer cette discipline de l’Église.
Ce Pape … fait vraiment TOUT ce qu’il peut pour faire désespérer les quelques rescapés qui ont gardé la foi après le concile vatican 2…
Pour hypocrite il n’y a pas plus jésuite que lui…
Prions pour la conversion de ce falsificateur qui est pape ????
Le comble de cette hypocrisie est sa déclaration de nécessité d’un miracle pour la béatification de pie XII qu’il retade comme il peut , alors qu’il béatifie des pape vatican 2 sans miracle aucun…
Tout à fait de votre avis, cher Monsieur,
Et en plus, le pape François parle trop, dans des interview qui n’ont (par définition), rien d’officiel, ou engageant le magistère et pire : cela ressemble à du happening ! On se retrouve dans les pires années 70 et encore, Paul VI savait prendre davantage de recul avant de parler, car il était passé par les instances du gouvernement de l’Eglise universelle.
HC
Je veux bien que la cause de béatification de Pie XII ne soit pas encore mûre, faut du miracle nécessaire.
Mais je comprendrais mal que Paul VI, dont le pontificat ne se dissocie pas du naufrage de l’Eglise, soit béatifié alors que Pie XII, qui a manoeuvré intelligemment la barque de l’Eglise dans le plus grand naufrage du
monde au 20ème siècle, ne le soit pas.
Le langage est flou, n’est pas clair sur beaucoup de sujets : la famille, les divorcés remariés ou non, l’homosexualité, la canonisation de Papes, son point de vue sur l’Islam et l’immigration, etc…..Nous espérons avoir bientôt des réponses claires et non équivoques.
Béatifier Pie XII ??? Il voulait, soi-disant, la paix et n’a pas dénoncé les actions d’Hitler … résultat de la guerre ? 50 millions de morts !!!
Dès que le pape Pie XII a commencé à dénoncer publiquement les crimes hitlériens, les persécutions se sont amplifiées contre les victimes partout en Europe, Allemagne (extermination des “malades mentaux”, déportation dans les camps de la mort de prêtres et prélats) et Pologne (chrétiens) par exemple. Sous la menace de bombardement total de Rome et du Vatican comme à Guernica, le pape a préféré la discrétion et offrir l’asile aux persécutés dans les couvents par exemple, juifs notamment. Le pape n’a pas d’armée (Il a combien de divisions ? demandait Staline) et n’est pas responsable des 50 millions de morts de la Deuxième guerre mondiale. Des politiciens juifs lui ont même rendu hommage, en contradiction avec la désinformation de la pièce “Le vicaire”. Il est très difficile de juger un pape dans une situation aussi complexe.
peut-être parce que la sainteté n’est pas affaire de manoeuvre
Il y a un problème stupéfiant dans cette manière de considérer les choses à propos du mariage, c’est celui de confondre la question des divorcés- remariés avec celle des divorcés non remariés. Les deux sujets sont complètement distincts. DANS L’EVANGILE, CE QUI EST déclaré EXPLICITEMENT FAUTE – la faute en cause étant désignée sous l’appellation d’adultère – EST EXCLUSIVEMENT LE REMARIAGE, lequel n’échappe jamais à l’appellation d’adultère (Mt 5, 32 b).
Le divorce n’est pas déclaré comme faute, en tout cas pas pour le (ou la) répudié (e), ce que d’ailleurs on comprend d’autant plus aisément que ce dernier n’a, par définition, pas voulu le divorce.
A cet égard, on peut franchement s’étonner que le Saint Père ait cru nécessaire de préciser que “les divorcés” n’étaient “pas des gens bizarres”, alors que de toute façon, le seul problème qui apparait explicitement dans l’Evangile est celui des divorcés remariés ! En effet, Jésus n’est préoccupé que par un problème: celui qui renvoie sa femme pousse celle-ci à se remarier (Mt 5, 32a) , preuve éclatante que c’est bien le remariage qui pose le problème majeur, car c’est un adultère.
C’est très grave de voir que dans l’Eglise, nos pasteurs ne parlent PLUS JAMAIS du péché grave d’adultère qu’est le remariage, travesti sous le mot de recomposition. Ajoutons qu’ils ne distinguent pas entre le conjoint qui renvoie l’autre et celui qui est renvoyé c’est-à-dire répudié, gommant ainsi les responsabilités et couvrant tout cela sous le terme fataliste de “échec”. Comment s’étonner que les remariages se multiplient parmi les catholiques mêmes?
Espérons que le synode va contribuer à remettre tout cela d’aplomb…pour sauver la fidélité à l’Evangile et la promotion du bien commun, l’un et l’autre toujours convergents. “La Parole de Dieu nous pousse à changer notre idée du réalisme: la personne réaliste est celle qui reconnaît dans le Verbe de Dieu le fondement de tout.” (Verbum Domini, 2010).
Jean-Baptiste bonjour. Vous êtes le seul que j’ai lu parmi tous ceux qui ont commenté ces 2 sujets, qui ait essayé de prendre la Bible pour étayer ce qu’il pense. Considérons attentivement cette Écriture que vous citez dans la Bible version de Jérusalem:
Dans Mt 5,31 “Il a été dit d’autre part: Quiconque répudiera sa femme, qu’il lui remette un acte de divorce.
Mt 5,32 Eh bien! moi je vous dis: Tout homme qui répudie sa femme, hormis le cas de “prostitution”, l’expose à l’adultère; et quiconque épouse une répudiée, commet un adultère.
Nous voyons que Jésus nous dit que si une femme s’est prostituée, elle n’est pas exposée à devenir adultère, car en se prostituant en tant femme mariée, elle est d’office adultère. D’autre part, si elle pouvait être répudiée, pour autre faute que la prostitution, elle ne commettrait adultère que si elle se remariait.
Étant que son mari est vivant, quoique divorcée de lui, elle demeure la femme de cet homme, comme le dit l’Apôtre Paul dans (Rom 7,2 C’est ainsi que la femme mariée est liée par la loi au mari tant qu’il est vivant; mais si l’homme meurt, elle se trouve dégagée de la loi du mari.
Rom 7,3 C’est donc du vivant de son mari qu’elle portera le nom d’adultère, si elle devient la femme d’un autre; mais en cas de mort du mari, elle est si bien affranchie de la loi qu’elle n’est pas adultère en devenant la femme d’un autre.)
Remarquez que dans 1 Corinthiens 7.11, Paul commande à la femme qui divorce de son mari de rester seule ou de se réconcilier avec lui, mais pas de se remarier. Elle doit rester seule ou se réconcilier avec son mari. Elle ne peut pas se remarier, elle doit rester seule. Mais remarquez qu’il n’est jamais dit cela de l’homme. Vous voyez, vous ne pouvez pas faire mentir la Parole.
L’homme qui répudie sa femme peut se remarier, selon la Bible, à une femme qui ne soit pas la femme de quelqu’un d’autre, à moins que ceux qui prétendent être des chrétiens, aient pour absolu un autre livre qui ne soit pas la Bible. Pour le chrétien c’est la Bible ou rien, car au jour du jugement, Dieu jugera les humains sur base de Sa sainte Parole contenue uniquement dans la Bible.
Pour ce qui est de la sanctification des saints, si l’on n’a pas été saint, de son vivant, on le sera jamais:
Jn 17,17 Sanctifie-les dans la vérité: ta parole est vérité. [Dieu Seul peut rendre saint dit Jésus]
Eph 1,1 Paul, apôtre du Christ Jésus, par la volonté de Dieu, AUX SAINTS et fidèles dans le Christ Jésus.
Ph 1,1 Paul et Timothée, serviteurs du Christ Jésus, à tous les SAINTS dans le Christ Jésus qui SONT à Philippes, avec leurs épiscopes et leurs diacres. [pas morts svp, mais vivants, ici, à Philippes et non dans la tombe]
A vous lire, mon frère Jean-Baptiste, excusez-moi d’avoir pris de votre temps.
Col 1,1 Paul, apôtre du Christ Jésus par la volonté de Dieu, et le frère Timothée,
Col 1,2 aux SAINTS de Colosses, frères fidèles dans le Christ. A vous grâce et paix de par Dieu notre Père! et prière.
Rom 4,1 Que dirons-nous donc d’Abraham, notre ancêtre selon la chair?
Rom 4,2 Si Abraham tint sa justice des œuvres, il a de quoi se glorifier. Mais non au regard de Dieu!…
Rom 4,6 Exactement comme David proclame heureux l’homme à qui Dieu attribue la justice indépendamment des œuvres:
Jn 10,41 Beaucoup vinrent à lui et disaient: “Jean n’a fait aucun signe; mais tout ce que Jean a dit de celui-ci était vrai.”
Les divorcés malgré leur nombre croissant peuvent apparaître comme des gens bizarres ou des marginaux par ceux qui ne le sont pas et eux-mêmes peuvent se sentir comme tels. Le divorce en soi entraîne une grande souffrance et un sentiment de dévalorisation. Il est déjà par nature un signe d’échec très grave car il y a destruction de la première cellule de la société, comme la scission de l’atome. Les enfants en sont les premières victimes, ainsi que le conjoint parfois innocent. Saint-Paul disait “Que le mari ne quitte point sa femme, et que la femme ne quitte point son mari”. Il y a un manque d’amour manifeste dans le seul fait de divorcer, c’est abandonner l’autre. Le “divorce par consentement mutuel”, c’est l’indifférence consacrée.Le conjoint malade, en proie aux difficultés financières, aux problèmes d’éducation et de garde des enfants, n’a plus l’appui et le soutien de l’autre. Dans certains cas le divorce peut être le signe d’un grand égoïsme et une faute devant Dieu – même s’il n’y a pas de remariage. Et c’est bien le divorce qui, dans un deuxième temps, peut être la porte ouverte vers le remariage : l’adultère, auquel, dans la mesure du possible, il est préférable de ne pas s’exposer..
langage habile, qui se veut toujours en phase avec les coutumes et pensées dominantes de la société, mais “la porte est toujours ouverte” veut-il dire qu’après tout, un prêtre peut très bien être marié? (et divorcé, puisque les divorcés ne sont pas des gens bizarres, normal le divorce)
Toujours le même numéro, avec des ambiguïtés, de la démagogie, des confusions, le vrai-le faux mêlés… Il nous fatigue. Là où il devrait encourager, éclairer, fortifier, il ne fait que désespérer, troubler, démobiliser. Ce qui se passe est très grave.
Je ne vois pas pourquoi faire tant d’histoires sur un sujet qui se résume à ceci : Le mariage, sacrement institué par le Christ lui-même, est INDISSOLUBLE ! Cela vaut pour un laïc, un curé ou un pape !
Et quoi qu’en dise Jorge Mario Bergoglio, il est donc impossible d’ANNULER un mariage, de la même façon qu’il est impossible de se faire “débaptiser” (ceci à titre d’exemple).
Seule est possible un INVALIDATION du mariage pour cause de tromperie dans le chef d’un des mariés : exemple, le marié ayant déclaré haut et clair être hostile à l’idée d’avoir des enfants et l’ayant caché à son épouse.
INVALIDATION n’est pas ANNULATION ! Ceci est basique et cela me laisse rêveur de lire qu’un pape parle d’ANNULATION alors qu’il est bien connu que “l’on ne sépare pas ce que Dieu a unit” !
Par ailleurs, en ce qui concerne l’ADULTERE, pas besoin d’être pontife pour savoir qu’il n’est pas nécessaire d’être remarié pour PRATIQUER l’adultère, ou pire vivre en ETAT d’adultère, ce qui rend la faute plus grave, ETAT qui deviendrait vite faute PUBLIQUE, ce qui porte la faute au rang de scandale !
Et ceci vaut pour l’homme comme pour la femme !
Pas besoin de tenir un consistoire pour débattre d’un sujet qui est lié à la nature même du sacrement ! Il n’y a que diablerie là-dessous !
Kasper déraille, et si Jorge Mario Bergoglio avalise une quelconque autorisation de communier pour les divorcés-remariés , il niera la validité des sacrements du mariage et du sacrement de pénitence, contrition, demande de pardon et ferme propos (“Va et ne recommence plus”) et il abaissera le sacrement de l’eucharistie à une chose banale ! La Sainte Hostie passe déjà dans les pattes de gens qui n’ont aucunement la notion de respect pour le Corps, le Sang, l’Âme et la Divinité du Christ , pour finir Dieu sait où dans certains cas !
Et ce consistoire ne vise qu’à une chose : déposer le Saint Sacrement dans les mains aussi indignes qu’impurs des adultérins en état de péché mortel !
“Celui qui mange Ma Chair et boit Sang indignement, boit et mange sa propre condamnation”. Verbum Domini !
Une Vérité historique : mourant sur la Croix, le Christ pardonné au bon larron repenti, mais il n’est écrit nulle part qu’Il Se soit tourné une seule fois vers le mauvais larron, pas plus qu’Il n’a pardonné à Judas (“Va et fait ce que tu as à faire”, et le démon entra en Judas).
Et des mauvais larrons, comme des Judas, il en pullule jusqu’aux plus hauts degrés de l’Eglise du Christ !
Le problème de la béatification de Pie XII n’est pas le manque de miracle, mais le veto imposé par les autorités israéliennes, les consistoires rabbiniques, l’intelligentsia juive. Ce sont eux qui décident qui l’Eglise peut béatifier et canoniser (Cf Isabelle la Catholique). Il serait très mauvais pour les professionnels de la shoah-business que le “vulgus pecus” apprenne que Pie XII a sauvé plus de 250 000 juifs pendant la guerre (400 000 selon d’autres sources). Et il faut absolument que l’Eglise soit “antisémite”, pour ces gens là, si non leur manipulation se dégonfle et cela retarderai l’Antéchrist.
Pour Pie XII, un miracle est bien arrivé, mais non “retenu” pour la raison exposée ci-dessus.
C’est malheureux de devoir dire ca, mais il parle trop…. S’il pouvait se taire, ce serait déjà ca… Comme nous nous sentons perdus… pourquoi faut il supporter cela?
Le “re-mariage” chez les Orthodoxes est une fable inventée et propagée par les modernistes. Les orthodoxes ne communient pas lors du rite des seconds mariages, parce que ce qui est prévu dans le rite byzantin du mariage, ce n’est pas la communion, mais seulement l’échange de la coupe commune de vin, qui n’est pas du vin consacré. Le caractère non-sacramentel des seconds mariages trouve une confirmation dans le fait que la communion eucharistique a disparu des rites de mariage byzantins et qu’elle a été remplacée par la coupe, qui est considérée comme un symbole de la vie commune
Conclusion : l’Eglise Orthodoxe COMME l’Eglise Catholique aujourd’hui n’autorise pas la “communion aux divorcés-remariés” ….. Contrairement à l’idée que répande les Modernistes au sein de l’Eglise , travaillant ainsi pour la Franc-Maçonnerie.
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