Le pape François va prononcer un discours le 10 mai prochain, aux dirigeants des 29 agences de l’Organisation des Nations Unies à l’occasion de leur réunion plénière à Rome le 10 mai prochain. Les observateurs considèrent cette rencontre comme un « moment crucial » pour le Saint-Père afin de rappeler quelques principes de la doctrine sociale de l’Église dont les agences de l’ONU se sont sensiblement éloigné, notamment en matière de défense de la vie. Selon une source anonyme du Saint-Siège rapportée par Edward Pentin, correspondant à Rome du National Catholic Register, le message devrait être « fort ». De son côté, Austin Ruse, président du Catholic Family and Human Rights Institute (C-FAM), estime que la rencontre « pourrait être très importante » et offrir au Saint-Père « l’occasion d’inviter les agences à revenir à ce qui les a fondé plutôt qu’à poursuivre un programme radical ». Il est bon de rappeler que, depuis près de vingt ans, le Saint-Siège ne subventionne plus l’UNICEF en raison de la promotion de l’avortement que mène cette agence.
il va s’adresser à les Agences de l ‘ONU??? Elles seront toutes oreilles pour l’ écouter!
Puisque est refusée au Saint Père le droit de s’exprimer devant l’assemblée générale, il est évidemment capital que le Saint Père rappelle à cette occasion la doctrine sociale de l’Église qui affirme la nécessité de respecter les droits des travailleurs autrement qu’en paroles.
Mais il est aussi indispensable (ce que semble-t-il il fera) qu’il rappelle le point de vue des catholiques du monde entier sur les problèmes éthiques familiaux : avortement, euthanasie, et défende la valeur et la nécessité de familles nombreuses.
Shimon
Il est important aussi de travailler à l’éradication de la violence familiale. Les journaux regorgent d’exemples d’enfants tués par leurs parents, de femmes tuées par leur mari et vice-versa. Même si ces cas sont statistiquement rares, il est urgent que l’Eglise s’en occupe. Cela fait partie du sauvetage de la famille.
Les avortements il est vrai relèvent de la torture pure et simple et du déni d’un droit élémentaire le droit à la vie.
Qu’il s’agisse d’un avortement par aspiration (ou curetage de plus en plus rare) d’un empoisonnement par mifégine qui prive l’embryon de l’indispensable progestérone nécessaire à sa croissance (après la nidation) ou (beaucoup plus rare en Europe) un “avortement salin” pour grossesse tardive où l’on transforme le petit homme en hareng saure ou charcuterie salée, ce sont là des pratiques barbares.
Que l’on ne me dise pas que c’est “dans l’intérêt” bien compris de l’enfant. Mieux vaut être vivant pauvre que mort. et par ailleurs les mongols que j’ai connu étaient heureux de vivre.
je voudrais juste ici apporter une expérience particulière. Certes limitée, dont on pourra invoquer les importants biais de recrutement, mais je n’en ai pas d’autre.
En plus de trente années de pratique comme médecin, neuro-psychiatre, psychothérapeute et sexologue, je n’ai rencontré que quelques cas de pédosexualité. (je fais la différence entre pédophilie (attirance) et passage à l’acte plus ou moins fréquent; je distingue aussi entre pédosexualité et éphébosexualité)
Aucune des situations que j’ai eu à connaître dans la réalité n’étaient le fait de clercs. Tous ceux que j’ai connu l’ont été dans des milieux laïques, voire farouchement anti-catholique. Je dois bien à la vérité de dire qu’un certain nombre étaient le fait de membres de sociétés dites discrètes ou secrètes. Une majorité étaient aussi intrafamiliales, soit dans la relation père-fils, ou père fille soit dans une relation oncle à neveux ou beau-père à beau-fils ou fille. .
Il faut bien constater aussi que le « tourisme pédosexuel » asiatique est rarement le fait de clercs. Et les situations que j’ai connues étaient liées à l’homosexualité. Il faut bien constater que les professeurs et entraineurs sportifs ne sont pas à l’abri de tels comportements.
Il faut fuir comme la peste les généralisations hasardeuses ou abusives et je me garderai de tirer quelque conclusion que ce soit de mon expérience professionnelle. Mais je suis lassé du battage abusif que l’on fait autour de cas particuliers de membres du clergé.
Je ne doute pas que certains aient difficile à respecter les engagement qu’ils ont librement choisi. Je ne doute pas que quelque rares prêtres vivent en concubinage. Je ne doute pas que certains, plus rare encore soient homosexuels. Je ne doute pas que certains se soient laissé aller à des relations avec des enfants ou plus souvent avec de jeunes adolescents. Mais ces personnes ne représentent pas, dans mon expérience, la majorité des cas.
Le cath-bashing, cela suffit !!