Dans son homélie du dimanche des Rameaux, Mgr Di Falco a déclaré :
“Alors parfois dans mes délires et dans mes rêves je me dis : Quand est-ce que l’Église, quand est-ce que les chrétiens, au lieu de sortir dans la rue pour être « contre », manifesteront en masse pour dire : « Nous sommes les témoins de l’amour du Christ ! » ? Vous voyez, je suis bête quand même. Je m’imagine que cela est possible un jour. Que les chrétiens se mobilisent, aillent défiler dans la rue, simplement pour dire : « Nous sommes les témoins de l’amour du Christ ! Et quelle que soit votre situation de vie, quelle que soit la gravité de votre péché, vous êtes aimés ! Vous êtes aimés ! » Alors ras-le-bol, ras-le-bol de ces grincheux aigris, qui ne pensent qu’à nuire, qui ne pensent qu’à critiquer. Ouvrons notre cœur ! Ouvrons notre cœur pour nous laisser aimer par le Christ. Et c’est alors que nous pourrons changer, c’est alors que l’Église et les chrétiens donneront un autre visage. C’est alors que nous donnerons l’envie d’être rejoints. D’être rejoints, parce que l’Église et les communautés chrétiennes seront un lieu où le bonheur d’être ensemble s’ouvrira.”
Mais nous vous attendons Monseigneur, à la tête de votre troupeau, en procession et en pèlerinage, sur les routes de France, dans les rues de nos villes, derrière le Saint-Sacrement, la statue de Notre-Dame et les bannières de la Chrétienté. Nous n’attendons que cela Monseigneur : la fin de l’enfouissement.
Rappelons tout de même à Mgr de Gap que nous n’avons pas seulement manifesté contre une loi perverse, mais surtout pour la famille, pour l’enfant, pour la vie. Quand le verrons-nous manifester pour la vie ? Qui est le grincheux-aigri dans cette affaire ?…
“Mais nous vous attendons Monseigneur, à la tête de votre troupeau, en procession et en pèlerinage, sur les routes de France, dans les rues de nos villes, derrière le Saint-Sacrement, la statue de Notre-Dame et les bannières de la Chrétienté. Nous n’attendons que cela Monseigneur : la fin de l’enfouissement.” – Exactement, c’est ce que j’allais dire ! Nous étions “visibles”, nous “manifestions” notre foi publiquement, en dehors des églises, et qui a supprimé tout cela, sinon le clergé ?
Quel sera le berger, Mgr Di Falco ?
Vous ?
On attend que cette Eglise relève la tête et s’affirme plutôt que d’aller fricoter avec l’islam !
Belle répartie! Merci. Et Joyeuse Pâques!
bisounours…. Déconnecté… Papi nostalgique des années soixante hippies et ayant fumé un gros chichon avant d’attaquer son “mémorial du souvenir” vaticanesque….
Mon rêve à moi Monseigneur ??
A quand des évêques de trente ans enflammés par la Foi catholique, apostolique et Romaine ? A quand des évêques , crosses en main, pourfendant les hérésies, reprenant le Peuple dont ils on la charge et INSTRUISANT les dirigeant dévoyés et perdus par l’Hydre Maçonnique d’Extrême-Gauche aux relents eugénistes nazis dévoilant chaque mois qui passe leurs projets mortifères et abominables ????
A quand Monseigneur ? A quand ?
C’est malheureux, malheureux parce que MR Di Falco montre qu’il n’a pas écouté les Veilleurs, qu’il n’as pas cherché à comprendre, qu’il n’est pas entré en dialogue avec eux. Nous ne sommes pas CONTRE quoi que ce soit ni personne, nous sommes POUR la transcendance face au délitement. Nous n’annonçons pas l’amour de Jésus Christ ? Mais s’il y a des témoins de la foi, il y a aussi des témoin de la charité comme mère Thérésa. Et bien nous, nous sommes les témoins de l’espérance au sens théologale du terme. Nous, monseigneur on sort des sacristies comme le demande le pape, et on va fait table commune avec ceux qui on d’abord dit non à jésus mais font sa volonté. On fait table commune avec les musulmans, les protestants et les athées s’ils veulent être eux aussi témoin de l’espérance, c’est à dire du beau du bien du vrai. Autrement dit de Jésus même s’il ne le savent pas. Monseigneur, j’ai soixante six ans et j’ai connu quarante ans de désespoir, dans ce que vit l’Eglise de France. Mais dans le silence et sans jamais me révolter. Mais désormais pour moi c’est l’aube dans la grisaille du petit matin, alors s’il vous plais ne tuez pas mon espérance. Ne tuez pas l’espérance de toute une génération qui monte.
On ne peut que conseiller à Mgr Di Falco de lire de suite le FIGARO MAGAZINE :
La charge de Jean-Marie Guénois dans Le Figaro Magazine contre le noyau dirigeant de l’épiscopat français est savoureux. Il dénonce la peur de cet épiscopat, qui perd actuellement la jeunesse, après avoir perdu les ouvriers. Nos évêques sont dépassés par les laïcs, lesquels ne font qu’appliquer le décret du Concile Vatican II sur leur rôle dans l’Eglise et lesquels sont bien souvent plus apôtres que le clergé lui-même :
A Lourdes quelques évêques ont tout de même réagi contre les “fadasses” de certains de leurs confrères.
Notons que les jeunes sont très majoritairement plus militants que leurs prédécesseurs et meilleurs apôtres ce qui se traduit par un développement du christianisme chez ces jeunes.
IMPÉRATIVEMENT lire le FIGARO MAGAZINE ou par l’internet ” figaro magazine”
“Alors ras-le-bol, ras-le-bol de ces grincheux aigris, qui ne pensent qu’à nuire, qui ne pensent qu’à critiquer” : otez-moi d’un doute ? Vous n’osez pas ainsi qualifier les Catholiques qui ont fusillé leurs week-ends et leurs finances pour venir manifester contre l’assemblage homo et le droit à l’adoption qu’il ouvre automatiquement ?
Quelle excellente idée, Monseigneur di Falco… Nous vous attendons, l’an prochain, ne serait-ce qu’à l’arrivée de la Marche pour la Vie. Vous et vos collègues, puisque cette marche arrive à deux cent mètres du très bourgeois siège de la CEF dans l’hyper-bourgeoise avenue de Breteuil. Que c’est une manifestation estampillée Catholique et que vous n’y risquez pas de compromission avec des éléments incontrôlés et suspects de flétrir vos lis et griser votre lin blanc.
Votre officine soviétiforme et son énorme capacité de nuisance ont perdu le crédit des Catholiques. Il n’y a guère que les media athées et FM pour relayer vos propos.
La partie est perdue pour vous. N’ajoutez pas l’insulte à l’iniquité.
la ligne directrice de la pensée d’un trop grand nombre d’évêques est qu’il ne faut surtout pas heurter les non-catholiques,les non-chrétiens,les francs-macs,les droits de l’hommistes et tous les parasites de la vie sociale,…notamment par des principes moraux,mais surtout;ils refusent d’avoir le courage de remplir la 1° mission qui leur a été donnée par le Christ: PRÊCHER L’EVANGILE A TOUTE CREATURE! Tout le reste n’est que verbiage!
Ne soyons pas durs avec Mgr Di Falco, il fait ce qu’il peut.
Quand il aura fini la promotion de son groupe, Les prêtres, “pour la bonne cause”, il trouvera certainement du temps pour venir manifester en tête de nos cortèges.
Ou, pourquoi pas, leur faire enregistrer un disque pour le respect de la vie et en reverser les bénéfices à la marche pour la vie.
Je suis un admirateur de Mgr di Falco ! en tous cas, en ce qui me concerne, il s’agit-là d’un bien beau rêve éveillé ! Et pourquoi pas le mettre en oeuvre, en mobilisant les fidèles, diocèse après diocèse ?
Je suis certain, qu’avec l’aide du Saint Esprit, qui nous accompagne partout, ce serait une réussite et la preuve de notre union, plus importante qu’on le dit, et de la vitalité de notre foi !
Je suis partant !
Pendant la première guerre mondiale, les artilleurs avaient mauvaise réputation: ils passaient pour des planqués de l’arrière et il leur arrivait de tirer sur leurs premières lignes. Monseigneur Di Falco ne doit pas être un champion de la balistique!
Oui. C’est un peu en retard mais certes mieux que jamais. Je veux une France qui cherche “en procession” les racines de son bapteme, un “sine qua non” de son identite’. Et c’est pas si loin, juste a’ la porte, on le respire partout grave’ par vos ancetres en pierre. On se dettachant des chaines on gagne la liberte’ mais on se dettachant des racines, on trouve la mort dit un proverbe chinois.
Pas confiance en ce type,,,,un opportuniste ET UN TRISTE SIRE !
iL FERAIT BIEN DE RESTER DANS SON DIOCESE …MAIS QUE FAIT’IL TOUJOURS A PARIS?