Suite à la diffusion du film Tomboy dans quelques établissements de l’Enseignement Catholique, et notamment dans le diocèse d’Angers, Mgr Delmas a publié un communiqué :
éA la suite de la déprogrammation du film Tomboy par un établissement de l’Enseignement Catholique et des réactions que cela a suscités, Mgr Delmas souhaite revenir aux questions de fond qui apparaissent à travers cet évènement. Lorsque le film Tomboy a été retenu dans la sélection de l’opération Collège au cinéma, les représentants de l’Enseignement Catholique au comité de pilotage n’avaient pas connaissance de tous les éléments concernant cette œuvre. En particulier, ils ne connaissaient pas les visées militantes du film, exprimées depuis. La réalisatrice, Cécile Sciamma, a en effet déclaré à TV5 Monde1 : « Je suis bien évidemment tout à fait en faveur de ces enseignements [de la théorie du genre] ». Elle avait également affirmé à propos de son film « il faut toucher un maximum de gens avec des messages subversifs et politiques ».
Mgr Delmas regrette évidemment que ce film ait pu être choisi et comprend que des parents aient pu en être blessés. Ce film, dans son intention, est objectivement contraire au projet éducatif de l’Enseignement Catholique. Pour autant, l’évêque d’Angers souhaite renouveler son entière confiance à chacun des établissements catholiques d’enseignement et à leurs communautés éducatives : à travers cet évènement, l’Enseignement Catholique en Anjou n’en ressortira que plus vigilant pour garantir aux élèves et à leurs parents l’espace serein de construction et d’éducation en fidélité à l’Evangile et à la compréhension chrétienne de la personne humaine.
Monseigneur Delmas, bravo !!!
Merci Mgr Delmas d’avoir rectifié le manque de discernement coupable de l’ensemble de l’enseignement catholique d’Angers mais je ne comprends pas très bien qu’après une telle grossière bévue, préjudiciable aux enfants et à leurs parents et, il va sans dire, une injure majeure à notre Seigneur, vous souhaitiez renouveler à ces esprits opaques votre entière confiance ! ce jésuitisme ne me plaît pas du tout…
Enfin ! Merci à Mgr Delmas d’avoir enfin dit les choses !
Il n’est pas dit si notre Évêque d’Angers apportait toujours son soutien au Directeur diocésain de l’Enseignement catholique…
Si j’étais lui, je partirais immédiatement, lui qui avait apporté son soutien inconditionnel au film et condamné les “intimidations” des parents scandalisés.
Mgr Delmas se ressaisit après l’indigne lettre de son directeur diocésain. Je n’en réjouis. Il ne lui reste plus qu’à licencier celui-ci, dont indirectement il reconnait l’encompétence…il est très regrettable que des représentants de l’enseignement catholique soient aussi mal informés… Ou compromis. Les parents ne doivent pas relacher leur vigilance.
Bien sûr Monseigneur Delmas, les choses sont dites et sont rentrées dans l’ordre, mais…. il a fallu que les parents se mobilisent.
Le directeur d’établissement fera , je l’espère, un peu plus attention à ses décisions à l’avenir. Il n’empêche, il faudrait aussi qu’il change, dans son fort intérieur, son idéologie qui est foncièrement mauvaise quant à l’éducation sexuelle des enfants.
Je pense que le discours de notre pape est tout ce qu’il y a de bienvenu dans une France ou de nombreux évêques furent nommés parce qu’ ils trouvaient irrésistible l’ ascendant intellectuel du Cardinal Lustiger et entraient dans la franmaconnerie pour lui faire plaisir!
Une compromission bien entendu incompatible avec la charge mais que beaucoup d’ ames faibles ont accepté — jusqu’à 92/95 à une époque!
Contre laquelle pope JPII a essayé de s’insurger quand il a explicitement intimer l’ ordre à Msgr Lustiger de “sortir de la f m “(durant les JMJ 1997) – devant qqles eveques ou prêtres temoins: au moins les sauver eux? Car le Cardinal a répondu un “non” péremptoire!
Désormais la qualité de l’ homme – du prêtre – à résister les temptations du monde et éviter les voies larges — ou l’enseignement du Catéchisme en “menu”!
Héroïsme valable pour nos évêques comme pour nous: pour que nous soyons tous conduits à devenir HEROIQUES, en un mot: des SAINTS!
“De mon temps”, il y avait une commission Catholique qui donnait son avis sur les films, et la presse confessionnelle le répercutait.
“De nos jours”, l’enseignement Catholique projette des films sans en connaître le contenu.
C’est ce qu’on appelle le Progrès.
Etonnant qu’un établissement scolaire montre aux élèves ce que le directeur et les professeurs ne connaissent pas: ils auraient pu dans une réunion de parents annoncer le film et prévoir une parade avant la projection
étonnant en effet, ainsi que la réaction tardive de l’évêque du lieu, par définition responsable en chef de l’enseignement catholique.
mais mieux vaut tard que jamais (pour la dernière fois, espérons le)